lement interdite sans autorisation de l’éditeur. Si vous désirez être
tenu
régulièrement informé de nos parutions, il vous s
leur passe-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les repas et
tenait
la maison. L'année suivante, au printemps, à l’en
if comme le vent. Toi aux brillantes ailes, Et pose-toi dans la cour.
Tiens
-toi au bord de sa fenttre, Toi qui connais ma nos
u auras trouvée. Les aigles descendront pour s’en repaître. Celui qui
tient
ton fils prisonnier sous son aile sera plus lourd
re : — Certes, belle tu l’es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la
tienne
. Et la jeune femme, en entendant ces mots, sentai
tu feras courir la laine entre nous. Te voici grande, tu pourras bien
tenir
la pelote ? La mère savait bien ce qu’elle faisai
arler un langage humain, elle se sentit rassurée. Elle lui dit : — Je
tenais
une pelote de laine : elle était lourde. Elle est
nce put approcher de la caverne et contempler la jeune fille. Elle se
tenait
appuyée à un arbre, et elle portait à sa bouche d
ux et Aïcha, la fillette, était trop jeune pour préparer les repas et
tenir
la maison. Le père se remaria. D’abord, la marâtr
une homme s’en revint songeur au palais. Il entra dans la pièce où se
tenait
sa mère et se jeta sur un lit en frissonnant. La
caverne. Le plus jeune reçut pour mission d’allumer le grand feu qui
tiendrait
en respect les fauves et de l'entretenir tandis q
: — C’est un dragon qui a sept têtes et une queue redoutable ; il se
tient
près de la fontaine. L’homme ou l’animal qui se h
nd-père, posa sur le chemin la galette et le plat de couscous qu’elle
tenait
, et courut au village alerter ses parents. — L’Og
ne blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit. La jeune femme lui
tint
compagnie et ne referma sur lui la trappe que ver
e une grenade et toute rieuse? Elle répondit : — Si tu m’aimes, si tu
tiens
à me voir guérir, donne-moi la pomme enchantée qu
our la chasse. Elle répondit dans un souffle : — Si tu m’aimes, si tu
tiens
à me voir sourire et marcher, donne-moi à boire l
sa noble moustache. Alors le jeune homme découvrit le lionceau qu’il
tenait
caché dans le capuchon de son burnous et le remit
mme un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Proverbe Le marché se
tient
à l’aube : Qui ne se lève de grand matin, N’a pas
tendras gazouiller, et tu le verras sourire... ‹ O joie, mon frère se
tient
debout sur ses petites jambes ! › Et tu le verras
n frère se tient debout sur ses petites jambes ! › Et tu le verras se
tenir
debout. ‹ O joie, mon frère met un pied en avant
posa l’enfant sur le bord d’un talus et dit : — O joie, mon frère se
tient
debout ! Elle s'émerveilla de le voir droit sur s
seule au monde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi. Elle
tiendra
la maison tandis que tu soigneras les bêtes et cu
nts de la femme Sont autour du festin. Mais les parents de l’homme Se
tiennent
sur le seuil. C’est depuis que je me soigne les y
issement du lion. •Peu de temps après, arriva le chacal, impatient de
tenir
sa proie qui, cette fois, était royale. 11 aperço
oué le chacal. — Ne te désespère pas, lui dit le Vieux Sage, car nous
tenons
déjà ton ennemi. Procure-toi une bête bien grasse
. Le lion bondit et, de sa patte puissante saisit son ennemi. — Je te
tiens
enfin ! lui dit-il. Et il n'en fit qu’une bouchée
e ans. La plus jeune, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha aimait à se
tenir
près du feu, si près que la cendre poudrait ses c
er près d’une source. Et les fillettes se reposèrent un peu. Aïcha se
tenait
à l’écart, appuyée contre un arbre : elle ne quit
Soucieuse de garder son secret et de parer à ce nouveau danger, Aïcha
tenait
à deux mains son cœur, n’osant regarder vers le p
on cœur de s’emplir de mélancolie. L’hiver, elle aimait toujours à se
tenir
près de Pâtre et à jeter dans le feu des noyaux d
ssière et vêtu comme un mendiant se présenta aux portes du palais. Il
tenait
dans sa main le bâton des pèlerins. Aïcha courut
t n'entends être vue par personne. Et recommande à Cheikh Smaïn de se
tenir
prêt à m’enlever dès que je passerai devant sa ma
it donc avec trois femmes d’une éblouissante beauté. Tandis qu’il les
tenait
toutes trois sur son cheval noir, entrant avec el
e battrai pour toi. — Non, mon fils. Ma vie, à moi, est finie mais la
tienne
commence. La mort peut bien me prendre, ce ne ser
’a aucun sens Comme une lampe à midi. J’ai pris un chat pour qu’il me
tienne
compagnie : Et ses yeux menaçants me lancent des
te Une ceinture de cachemire à la taille, Imitant les jouvenceaux. Il
tenait
un miroir dans sa main, Il mirait d» près son vis
son appel, le Chat-pèlerin fit signe au chaton : — Ferme la porte et
tiens
-toi prêt I lui dit-il d’un ton sans réplique. Et
nt de fuir. Un seul rat (il était vieux) avait refusé d’entrer. Il se
tenait
debout, sur le pas de la porte, et il observait.
r son enfant, et par son enfant ?... Mais écoute cette légende que je
tiens
de mon aïeule qui la tenait elle-même de la sienn
fant ?... Mais écoute cette légende que je tiens de mon aïeule qui la
tenait
elle-même de la sienne, et ainsi pourrions-nous r
e ? Hélas, elle était seule, toujours seule. Vint le jour où elle n’y
tint
plus ; où tout lui sembla préférable au sort qui
que nous la tressions. Que celui qui tire sur la corde Sache que j’en
tiens
le bout. Le lion devenu vieux, Les chacals le bat