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1 (1966) Le grain magique
lement interdite sans autorisation de l’éditeur. Si vous désirez être tenu régulièrement informé de nos parutions, il vous s
leur passe-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les repas et tenait la maison. L'année suivante, au printemps, à l’en
if comme le vent. Toi aux brillantes ailes, Et pose-toi dans la cour. Tiens -toi au bord de sa fenttre, Toi qui connais ma nos
u auras trouvée. Les aigles descendront pour s’en repaître. Celui qui tient ton fils prisonnier sous son aile sera plus lourd
re : — Certes, belle tu l’es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne . Et la jeune femme, en entendant ces mots, sentai
tu feras courir la laine entre nous. Te voici grande, tu pourras bien tenir la pelote ? La mère savait bien ce qu’elle faisai
arler un langage humain, elle se sentit rassurée. Elle lui dit : — Je tenais une pelote de laine : elle était lourde. Elle est
nce put approcher de la caverne et contempler la jeune fille. Elle se tenait appuyée à un arbre, et elle portait à sa bouche d
ux et Aïcha, la fillette, était trop jeune pour préparer les repas et tenir la maison. Le père se remaria. D’abord, la marâtr
une homme s’en revint songeur au palais. Il entra dans la pièce où se tenait sa mère et se jeta sur un lit en frissonnant. La
caverne. Le plus jeune reçut pour mission d’allumer le grand feu qui tiendrait en respect les fauves et de l'entretenir tandis q
: — C’est un dragon qui a sept têtes et une queue redoutable ; il se tient près de la fontaine. L’homme ou l’animal qui se h
nd-père, posa sur le chemin la galette et le plat de couscous qu’elle tenait , et courut au village alerter ses parents. — L’Og
ne blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit. La jeune femme lui tint compagnie et ne referma sur lui la trappe que ver
e une grenade et toute rieuse? Elle répondit : — Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir guérir, donne-moi la pomme enchantée qu
our la chasse. Elle répondit dans un souffle : — Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir sourire et marcher, donne-moi à boire l
sa noble moustache. Alors le jeune homme découvrit le lionceau qu’il tenait caché dans le capuchon de son burnous et le remit
mme un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Proverbe Le marché se tient à l’aube : Qui ne se lève de grand matin, N’a pas
tendras gazouiller, et tu le verras sourire... ‹ O joie, mon frère se tient debout sur ses petites jambes ! › Et tu le verras
n frère se tient debout sur ses petites jambes ! › Et tu le verras se tenir debout. ‹ O joie, mon frère met un pied en avant
posa l’enfant sur le bord d’un talus et dit : — O joie, mon frère se tient debout ! Elle s'émerveilla de le voir droit sur s
seule au monde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi. Elle tiendra la maison tandis que tu soigneras les bêtes et cu
nts de la femme Sont autour du festin. Mais les parents de l’homme Se tiennent sur le seuil. C’est depuis que je me soigne les y
issement du lion. •Peu de temps après, arriva le chacal, impatient de tenir sa proie qui, cette fois, était royale. 11 aperço
oué le chacal. — Ne te désespère pas, lui dit le Vieux Sage, car nous tenons déjà ton ennemi. Procure-toi une bête bien grasse
. Le lion bondit et, de sa patte puissante saisit son ennemi. — Je te tiens enfin ! lui dit-il. Et il n'en fit qu’une bouchée
e ans. La plus jeune, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha aimait à se tenir près du feu, si près que la cendre poudrait ses c
er près d’une source. Et les fillettes se reposèrent un peu. Aïcha se tenait à l’écart, appuyée contre un arbre : elle ne quit
Soucieuse de garder son secret et de parer à ce nouveau danger, Aïcha tenait à deux mains son cœur, n’osant regarder vers le p
on cœur de s’emplir de mélancolie. L’hiver, elle aimait toujours à se tenir près de Pâtre et à jeter dans le feu des noyaux d
ssière et vêtu comme un mendiant se présenta aux portes du palais. Il tenait dans sa main le bâton des pèlerins. Aïcha courut
t n'entends être vue par personne. Et recommande à Cheikh Smaïn de se tenir prêt à m’enlever dès que je passerai devant sa ma
it donc avec trois femmes d’une éblouissante beauté. Tandis qu’il les tenait toutes trois sur son cheval noir, entrant avec el
e battrai pour toi. — Non, mon fils. Ma vie, à moi, est finie mais la tienne commence. La mort peut bien me prendre, ce ne ser
’a aucun sens Comme une lampe à midi. J’ai pris un chat pour qu’il me tienne compagnie : Et ses yeux menaçants me lancent des
te Une ceinture de cachemire à la taille, Imitant les jouvenceaux. Il tenait un miroir dans sa main, Il mirait d» près son vis
son appel, le Chat-pèlerin fit signe au chaton : — Ferme la porte et tiens -toi prêt I lui dit-il d’un ton sans réplique. Et
nt de fuir. Un seul rat (il était vieux) avait refusé d’entrer. Il se tenait debout, sur le pas de la porte, et il observait.
r son enfant, et par son enfant ?... Mais écoute cette légende que je tiens de mon aïeule qui la tenait elle-même de la sienn
fant ?... Mais écoute cette légende que je tiens de mon aïeule qui la tenait elle-même de la sienne, et ainsi pourrions-nous r
e ? Hélas, elle était seule, toujours seule. Vint le jour où elle n’y tint plus ; où tout lui sembla préférable au sort qui
que nous la tressions. Que celui qui tire sur la corde Sache que j’en tiens le bout. Le lion devenu vieux, Les chacals le bat
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
emple de vous changer en un rat, en une souris : je vous avouë que je tiens cela tout à fait impossible. — Impossible ? repri
qu’il possedoit, luy dit, aprés avoir beu cinq ou six coups : « Il ne tiendra qu’à vous, monsieur le marquis, que vous ne soyez
e diamants. « Vrayment, dit la mere, il faut que j’y envoye ma fille. Tenez , Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de vôtre
is aimer le plus ; et comme vous estes, Madame, cette personne, il ne tiendra qu’à vous que vous n’ayez autant d’esprit qu’on e
reable. Le roi se conduisoit par ses avis, et alloit même quelquefois tenir le conseil dans son appartement. Le bruit de ce c
un prince qui va se marier. « Vous me voyez, dit-il, Madame, exact à tenir ma parole, et je ne doute point que vous ne venie
à, donc comme tu veux me tromper maudite femme, je ne sçais à quoy il tient que je ne te mange aussi , bien t’en prend d’estr
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