du sang. Tu m’as humilié et je t’ai dit : ‹ Tu t’en repentiras ›. Il
tendit
à la princesse le bébé qu’il avait dans les bras
ur le toit paternel pour courir le monde. Ils s'aimaient d’amour très
tendre
. Avant de les laisser partir, le père leur recomm
ois frères unis comme les doigts de la main qui s’aimaient d’amour si
tendre
, s’entretuèrent pour la femme-arbrisseau qui n’ét
sable tiède, pour ne me réveiller qu’au crépuscule. Une main ferme et
tendre
me touchait l'épaule, une voix persuasive me disa
plus 'jeune, Hacène, en avait sept à peine. Autant Hacène était beau,
tendre
, gracieux, autant Abderahman était laid, sournois
posait sur ses genoux pour la caresser à loisir tout en murmurant les
tendres
berceuses qui prenaient naissance dans son cœur.
t tout le long du chemin en croquant les fèves (elles étaient presque
tendres
). Ils croquèrent aussi les petits pois. Et puis i
a. Chant satirique Celui qui rêve d'une toute jeune fille, A la chair
tendre
, au teint blanc comme lait, Prenne Aichoucha Lârb
gnons le long d’un brin de jonc. C'était de la belle viande de mouton
tendre
et grasse. La femme avait déjà allumé le feu dans
suis très lasse. 118 C’est alors qu’apparut au loin une fumée. Mehend
tendit
le bras vers cette fumée et dit à sa compagne : —
on, Seigneur I s’écria l’une des femmes, il mourra 1 Alors le roi lui
tendit
l’enfant et dit : — Tu es sa mère puisque tu n’as
ia la mère. — Je ne peux pas ! répondit l’enfant. Alors, la mère, lui
tendit
l’une après l’autre ses oreilles en maugréant : —
xtraire la moelle. Elle remplit de moelle i’os posé près d'elle et le
tendit
à la fillette. Et puis elle lui confia son frère.
ais puisque Dieu vous a conduites jusqu’ici, puisqu’il a permis à vos
tendres
bouches d’apporter si importante nouvelle, asseye
ce mère, Que celui qui s'apitoie sur moi Pleure avec moi. Ma mère, ma
tendre
mère, Si j’ai par le monde un ami Qu'il pleure av
ur offrir qu’une galette d’orge et une cruche d’eau. Cheikh Smaïn lui
tendit
une poignée de pièces d’or et elle courut au vill
eil aigle et pria Dieu que se réalisât ce qu’il venait d’entendre. Il
tendit
le bras et cueillit une poignée de feuilles à une
ble. Les propos des hommes sont perfides, Ils creusent des ravages Et
tendent
à nous séparer. Mais nous continuerons à nous voi
, donne-moi ta main pour que je voie si elle est plus potelée. Il lui
tendit
le manche d’une cuiller en bois. — Tu es toujours
l’offrir au Chat- pèlerin. Lui, prépara soigneusement sa réception. H
tendit
toute sa maison de nattes, de tapis, de couvertur
Oiseau de l’Orage. Il était là, tout près, et il demandait d'une voix
tendre
et basse : — Es-tu heureuse ? Parle, y a-t-il une