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1 (1966) Le grain magique
t l’empourpra. L’un dit : — Heureux celui qui épouserait une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang ! L’autre
et dit : — Là-bas, très loin. Alorf, celui qui rêvait d’une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang abandonna
appela ; une jeune fille se montra. Dieu seul avait pu la créer : son teint était blanc comme neige et vermeil comme sang. —
l’autre rive. Tseriel.se réveilla tandis que fuyait la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang. L’ogress
ut, près de la fontaine Attendant son tour, à l'ombre d’un chêne. Son teint est comme le lait. N’est à sa ressemblance Que l'
toyable soleil d’août, ce soleil à tuer les ânes, n'empêchait pas son teint d'être transparent et frais, ni ses yeux d’être a
semblaient absolument : même chevelure blonde, mêmes yeux bleus, même teint blanc, même taille. L’un s’appelait Ahmed et l’au
tirique Celui qui rêve d'une toute jeune fille, A la chair tendre, au teint blanc comme lait, Prenne Aichoucha Lârbi Youssef.
veut péter Frappe plus fort sur son tambour. Chant du berceau Que son teint soit sombre Qu’importe ? Raisins mordorés en grap
jeune fille qui vit au bout de quelques jours son ventre enfler, son teint se ternir et son visage se couvrir de taches. Si
pré, ma belle-sœur et moi... Mon ventre enfle de jour en jour et mon teint se brouille. Et voici que mon frère bien-aimé me
a dans une outre. Peu de temps après, la beauté de Reskia éclata. Son teint redevint clair et sa bouche comme la grenade se r
parée. Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma très chère Que de fois ai-je teint au henné Tes cheveux, tes mains et tes pieds. Ahd
ellé de fleurs Pourquoi ne te montres-tu pas ? L’amour d'un garçon au teint clair Creuse et fait des ravages, Il brûle comme
ise sous la paille Qui, à l’insu de tous, A dévasté deux contrées. Ni teint , ni sourire, Ni longue chevelure pour que nous la
rs. Et laisse-la, dans son exil. L'âme en fête 1 Me voici maigre, mon teint s'est assombri, Je suis la feuille jaunie qui se
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
e : car son évanouissement n’avoit pas osté les couleurs vives de son teint : ses joues estoient incarnates, et ses lévres co
objet où la nature Aura mis de beaux traits et la vive peinture D’un teint où jamais l’art ne sçauroit arriver, Tous ces don
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