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1 (1966) Le grain magique
e obéit et ses cheveux se répandirent en écheveaux de soie jusqu’à la taille . Mais la négresse s'écria : — Mes frères bien-aim
j’ai senti qu'elle me reconnaissait. Elle a souri, Comme un roseau sa taille a ployé. Proverbe Le juif peut-il être brave ? So
limpides, aux cheveux couleur de maïs. Son compagnon était brun et de taille imposante. Son front semblait se perdre dans les
ajouta : — Le malheur est sur notre ville I Alors le jeune homme à la taille imposante et aux yeux de faucon déclara : — Je gu
dans la chambre nuptiale. Il était encore là pour nous unir, avec sa taille imposante et son prestigieux visage, quand soudai
ent : même chevelure blonde, mêmes yeux bleus, même teint blanc, même taille . L’un s’appelait Ahmed et l’autre Mehend. Leur mè
tteindrions le ciel. — Quant à moi, je pars avec tôt Jeune homme à la taille tie roseau, Quant à moi, je vais avec toi Aux pay
se, lumineuse, et ses abondants cheveux la couvraient d’or jusqu’à la taille . Il fut ébloui et pensa : « C’est comme si je voy
comme un miroir et ses cheveux défaits la couvraient d’or jusqu’à la taille . L’Ogre semblait occuper tout l’espace. Sa tête m
es, elle envoya chercher le menuisier et lui commanda un coffre de la taille d’un homme, au couvercle percé de petits trous. C
s en rêver ensuite et ses lourds cheveux qui la couvraient jusqu’à la taille . Le cavalier l'aimait. Il l'épousa. Il était rich
rgamotier feuillu Qui nous donnes ton ombre Salue la jeune fille A la taille flexible. Et toi, chêne altier Jailli de la monta
rique J'ai trouvé le vieux en toilette Une ceinture de cachemire à la taille , Imitant les jouvenceaux. Il tenait un miroir dan
coucherai cependant près de toi mais sans que tu puisses connaître ma taille . Car te laissant endormie, je m'éloignerai chaque
n-aimés A laissé mon cœur meurtri. Me voici debout comme une ombre Ma taille s'est inclinée. Je suis comme l'inconnu qu'une ba
s entants dont s'est retirée la vie : Seghir, l’arbre de douceur A la taille flexible ; Sâdi, le petit oiseau Qui sur les bran
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
rompit plus de douze lacets à force de les ſerrer pour leur rendre la taille plus menuë, & elles eſtoient toûjours devant
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