tous ces bons conseils et monta à cheval. Elle se mit donc en route,
suivie
de la négresse. De colline en colline, d’étape en
elle monta à cheval et prit une pose digne. La pauvre jeune fille dut
suivre
à pied. Les voyageuses atteignirent enfin le vill
e ! H a le derrière dans une flaque Et il rêve de pastèques I L’arbre
suit
sa racine. Guéris ou emporte ! Chant satirique Qu
g abandonna la perdrix à son compagnon, mit son fusil sur l'épaule et
suivit
la direction qui lui était indiquée. Il marcha, m
nque pas de la tuer pour revêtir sa peau sombre. Tu n’auras plus qu’à
suivre
les ânes. Ils te mèneront chez nous. Et là, dis à
é du millet Et puis de la fleur de blé. Tu as dédaigné le faucon Pour
suivre
le chat-huant. Proverbes Comme le petit de l'âne
r. Mais elle ne leur a pas fait bon visage. — Tu verras, moi, elle me
suivra
, car je ne la prierai pas. — Qui cogne à mon nid
lourde. Elle est tombée de mes mains et elle a roulé, roulé. Je l’ai
suivie
... Je l’ai perdue de vue et j’ai continué à march
se : une outre de sang. Le jour où elle devait se séparer de lui pour
suivre
le roi & la cour, le serpent dit à la jeune f
l existait une veuve entourée de sept enfants, de sept enfants qui se
suivaient
de près. Elle était très pauvre et sa tâche était
encore découvert qui les engraisse? › Elle ordonna à sa fille de les
suivre
et de les imiter en tout. Djohra les suivit donc
ordonna à sa fille de les suivre et de les imiter en tout. Djohra les
suivit
donc au cimetière. Elle les vit s’approcher de la
. Aîcha se mit à courir, à courir comme le vent. Son frère-gazelle la
suivait
de près. Un dattier géant leur apparut : un datti
je mourrai. Alors, le cœur navré, ils le laissèrent s'éloigner et le
suivirent
longtemps des yeux. Mehend, comme une flèche, se
Mehend et lui dit : — Je suis ton frère. Il ne te reste plus qu'à me
suivre
et tous tes désirs seront comblés. Ils partirent.
is, ses mains blanches chargées de bagues. Ce fut Mehend qui apparut,
suivi
du jeune homme aux yeux de faucon. Alors, se tour
(Mais pouvait-il deviner que par une faveur du ciel, sa mère l’avait
suivi
d’étape en étape, en dépit de l’éloignement et du
sabre, emmena un berger et son troupeau pour attirer le dragon. Et il
suivit
le chemin de la fontaine, accompagné des vieillar
tout où il te plaira, sauf du côté de la forêt, car tous ceux qui ont
suivi
cette direction ne sont pas revenus I Un temps, l
u nord, aller partout sauf du côté de la forêt, car tous ceux qui ont
suivi
cette voie ne sont pas revenus I › Nous vivions e
e le vent, son enfant dans les bras, sortit du palais. Les jumeaux la
suivirent
, sur leurs chevaux d’éclairs et de vent, accompag
e ils longeaient un pré en bordure du chemin, une belle vache rousse,
suivie
de ses veaux, délaissa l’herbe verte pour se join
sait. Des champs de figuiers et d’oliviers bordaient le chemin qu’ils
suivaient
: une chèvre noire les y attendait ; autour d'ell
lorsque le village s’ouvrit enfin devant eux et qu'ils y pénétrèrent,
suivis
de tous les animaux qui leur faisaient escorte. L
e, écoute ; Aucun mal ne te viendra par moi. Ecoute, si tu voulais me
suivre
, De ce pays nous nous enfuirions, Avec les oiseau
ils de ramier. Parmi les chemins qui t'agréent Choisis en hâte lequel
suivre
. Où tu iras, partout, je serai avec toi Dans la d
! Ils lancèrent donc leur tamis qui se mit à rouler, à rouler. Us le
suivirent
et se trouvèrent bientôt au milieu d’un champ, un
son départ, sur sa jument bleue, Il était tout joyeux. Les cavaliers
suivaient
un chemin de montagne, Et sa beauté rejaillissait
presque cuite : elle en prit un morceau et s’éloigna. Mais l’odeur la
suivait
, la bonne odeur de la sauce l’enveloppait et la r
eaucoup à la voir venir. Mais un jour, l’Ogre aperçut l’enfant. Il la
suivit
en cachette jusqu’à la masure et l’entendit chant
gements. Et elle quitta le palais ne perdant pas de vue le coffre qui
suivait
. Une fois dans la maison de ses parents, la jeune
ors elle le nourrit d’un peu de moelle et poursuivit son voyage. Elle
suivait
l’ombre et se sentait plus courageuse parce qu’el
s champs à la tombée de la nuit et se diriger vers sa maison. Elle le
suivit
et lui dit : — Donne-nous asile pour cette nuit,
s aussi grosses que des citrouilles. Que celui qui veut se régaler me
suive
I Les chacals, alléchés, coururent plus vite que
était sept petites filles aussi gracieuses que des perdrix : elles se
suivaient
de près. L'ainée avait quinze ans. La plus jeune,
fila près de Pâtre, remplit en hâte son corsage de noyaux d’olives et
suivit
docilement son père et ses sœurs. A dessein Aïcha
soleil. Mais leur père, appuyé sur un bâton, avançait comme à regret,
suivi
de la mule alourdie de présents. Soucieuse de gar
ur... Pourtant, lui, rentre et sort à sa guise ! › Aïcha se promit de
suivre
chacun des mouvements du chat et d’explorer pouce
ques pas et aperçut un perdreau qui trottinait dans le sentier. Il le
suivit
et le vit disparaître sous une tente. Il approcha
ts et de cacher son message près de l’âtre, sous une pierre, avant de
suivre
docilement ses frères. Ce message disait : ‹ La p
essaya vainement de le retenir par ses larmes. 11 s’éloigna. Elle le
suivit
longtemps des yeux. Il alla. Il alla sur son chev
Cheikh Smaïn, mais seulement à mon retour, car j’ai affaire au loin.
Suivi
de son nègre fidèle, Cheikh Smaïn prit le chemin
s vif que l’éclair, les emporta tous deux. A quelques pas en arrière,
suivait
le nègre fidèle. Parvenus au sommet d’une colline
ikh Smaïn put remonter paisiblement avec Roundja sur son cheval noir,
suivi
du nègre qui faisait bonne garde. Ils allèrent ai
e seuil de la salle qu’il devait traverser aux côté de son père et la
suivit
pas à pas. Le sultan eut beau tenter de le distra
nt d’une main leurs présents et de l’autre leurs souriceaux. Les rats
suivaient
par groupes. Le chaton conduisit d'abord les sour
de la femme de m'accompagner. La mère sans méfiance prit une corde et
suivit
son fils. La forêt était proche du village ; il l
raîne Et puis il rampe, Et enfin il marche. Chant dh dansb Veux-tu me
suivre
Zârour, Zârour, veux-tu me suivre ? Le mariage d'
l marche. Chant dh dansb Veux-tu me suivre Zârour, Zârour, veux-tu me
suivre
? Le mariage d'aujourd'hui Est plein de tromperie
anneau d’argent clair. Partons, courons vers la rivière, Viens, nous
suivrons
la rivière. Le mariage d’aujourd’hui N’est plus q
frère que tu es blême I Tu as cru ce que t’ont dit les autres. Tu as
suivi
ce que t'ont dit les autres. Les propos d’autrui
ui léger l'exil Et transfigure-la au regard de chacun. Qu’on aimerait
suivre
les âmes Au pays où elle s'enfuient. Je marcherai
élèverions en plein ciel Vers mes enfants bien-aimés. Qu’on aimerait
suivre
les âmes Au pays où elles s’enfuient. J’irais à t