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1 (1966) Le grain magique
s’approcha pour demander : — Qu’as-tu, ma fille? Tu viens à peine de sortir bien portante et heureuse. Que t’a-t-on dit de ma
eaux, Pleurez, chameaux, comme je pleure I › Le plus jeune des frères sortit de sa cachette et Interrogea la jeune fille. Il l
je devant vous découvrir ma tête? J’aurais honte I Lorsque vous serez sortis , j'enduirai mes cheveux de henné. Le'plus jeune d
s. Car je ne suis venu ici que pour toi. — Bien, lui dit-elle. Et ils sortirent . Une haie d’épines les arrêta. Loundja dit : — O
atigué, alla se coucher de bonne heure. La Grenouille plus vaillante, sortit la laine du chaudron, la pressa et la mit à égout
dos et le Crapaud, la sacoche en bandoulière et le battoir à la main, sortirent à l’aube. Le chemin qui menait à la rivière était
revêtait ses habits les plus riches, se parait de tous ses bijoux et sortait . Pour mieux découvrir le ciel, elle gagnait une h
cœur du serpent se fondit de tendresse. L’enfant s’était endormie. Il sortit , tua deux perdrix, cueillit des légumes et des fr
t l’entendre : — J’allais couper du bois dans la forêt lorsque je vis sortir de terre une créature, une créature... une nappe
ne rampait pas I Le serpent déjeuna, fit la sieste (c’était l’été) et sortit à la fraîcheur pour faire sa promenade. Alors, le
e serpent m'a élevée : je suis sa fille. Mais c'est à son insu que je sors . Ne va pas le lui dire, ni lui raconter que tu m’
re tâche. › Quand il n’y eut plus de cordelettes, Tseriel et la veuve sortirent du métier et s’assirent près du feu. La veuve ajo
rippé. O Dieu, que mon étoile Triomphe du malheur qui s’attache à mon sort I Proverbe A celui qui est monté sur un âne Dis :
que jamais encore il n’avait vu : la foule sur la place du marché. Il sortit de sa chambre comme un fou, s’empara d'un poulain
inquiète lui prit la main : — Mon fils, lui dit-elle, on t'a jeté un sort . Des regards malveillants se sont posés sur toi e
’un homme. Ce poisson vivait encore et se débattait farouchement pour sortir du filet. Le pêcheur levait déjà son couteau lors
baignèrent leurs pieds endoloris et se disposèrent à partir. A peine sortaient -ils qu’ils virent une multitude de corbeaux tourn
Par la grâce de Dieu qui est grande et par la mienne, ô méchante fée, sors de cette jeune fille, je te l’ordonne. Je te l’or
upières et ouvrit sa bouche toute grande : une longue vipère noire en sortit qui disparut en fumée (c’était la méchante fée qu
. Depuis longtemps la mère était morte de chagrin. Le père aveugle ne sortait plus. Mais le coupable, qui passait là par hasard
tan garda un instant le silence et puis il répondit : — Après-demain, sortiront de mon palais cent jeunes filles. St tu parviens
jeunes filles montées sur des juments bleues aussi vives que le vent, sortirent du palais, l'une après l’autre. Un peu à l’écart,
e. C’est alors que se montra la centième, vêtue très simplement. Elle sortit du palais, montée sur une jument blanche qui boit
vrier, prit son sabre, sa carabine et, à son tour, s’éloigna. A peine sortait -il du village que des chevriers l’appelèrent : —
ur une jument bleue aussi vive que le vent, son enfant dans les bras, sortit du palais. Les jumeaux la suivirent, sur leurs ch
et douce. Zaïna comprit mais ne dit mot, craignant sans doute le même sort . Elle se retira tristement dans un coin. Peu aprè
asure. Il habitait en dehors du village. Et jamais il n’entrait ni ne sortait , car il était paralysé. On lui avait traîné son l
t. Il devint blême et dit : — Qu’as-tu, mon Dieu, mais qu’as-tu? Quel sort s’acharne après nous ? Nous n’avons pourtant pas
eu qu’Allah.) La mort est montée jusqu’aux lèvres Ses amis entrent et sortent , Que les amis de Dieu intercèdent pour lui. ta mo
La mère remplit un panier de provisions, prit sa fille par la main et sortit . Elles marchèrent jusqu'au soir. La pauvre femme
t se remit en marche. Elle traversa la forêt, toute la forêt. Elle en sortait , lorsqu'elle posa l’enfant sur le bord d’un talus
ents, prit son fils d’une main, un panier de provisions de l’autre et sortit sans bruit. C’était l'été. La mère et l’enfant ma
e tandis que la terre s’entrouvrait sous eux pour les engloutir. Elle sortit précipitamment de l’outre les serpents séchés et,
es Comme les rats et la citrouille : Ceux qui sont dedans rêvent d’en sortir ; Ceux qui sont dehors cherchent à y entrer. La p
nt elle ne se plaignirent pas, bien au contraire, tant les navrait le sort de leur malheureux maître. Les lanières finirent
dans les fourrés. Quand tu les verras fatiguées, abandonne-les à leur sort et reviens. Elles sont grandettes, maintenant. Il
que mes sœurs n’ont vu la lumière du jour... Pourtant, lui, rentre et sort à sa guise ! › Aïcha se promit de suivre chacun d
le eût l’impression qu’abricots, pêches, poires, prunes et nèfles lui sortaient par les oreilles et les narines. Alors, elle pens
el. 'La Puce prit une outre en peau de chèvre et le Pou une corde Ils sortirent ensemble et tirèrent la porte derrière eux. La Pu
abandonne ses ânes. Une voisine qui s’apprêtait à cuire des galettes, sort de sa maison, une galette crue dans chaque main.
pli, il dit un jour à son père : — Noble sultan, mon père, j’aimerais sortir et aller à la chasse. — C’est bien, mon fils, rép
te, le sultan tout joyeux se présenta devant la tente. Sept hommes en sortirent aussi majestueux et forts que des chênes : c’étai
té s’accomplisse, loué soit Dieu qui t’a envoyée ! Aujourd'hui nul ne sortira dans la ville, sous peine de mort. Ni même demain
le prince, n’est-ce pas toi qui m’as enseigné pareille cruauté? Et le sort que tu subis, ne me le ferais-tu pas subir, si je
faire ses ablutions dans le ruisseau pour rom- pre le lien fragile et sortir . Il ramassa des cailloux ; il en remplit l’outre
e feu et mets au-dessus la grande marmite des mariages. Et puis, fais sortir Velâjoudh de la dépense, égor- ge-le, et jette-le
un mot des recommandations que l’ogresse faisait à sa fille. Tseriel sortit à l’aube. Vetellis rangea la maison, alluma le fe
fit courir la rumeur qu’il était allé en pèlerinage. Un beau matin il sortit , se montra et fit crier sur la place publique et
ièrent-ils. Nous ne connaîtrons plus la peur. Nous pourrons entrer et sortir à notre guise car nous n’aurons plus à craindre,
de noyer. Elles se mirent du noir aux yeux, du rose aux joues. Elles sortirent des coffres leurs parures les plus brillantes et
debout, sur le pas de la porte, et il observait. Il attendait de voir sortir ceux qu'il avait vu entrer. Il cria au Chat-pèler
Pour être le premier parmi les hommes. Si j'avais pu prévoir que j’en sortirais avili, Je ne me serais jamais marié Et comme jadi
ande et dit : — Qui va porter cela au malheureux qui ne craint pas de sortir par ce temps ? — Moi I dit Yamina, la plus jeune
faut que je te demeure invisible jusqu’au jour où je serai délivré du sort qu’un esprit méchant m’a jeté. Jusque-là, enfant,
e le safran. Elle chaussa de petites mules qu’on eût dit en corail et sortit pour faire le tour de sa demeure. Elle traversa d
tout d'abord. Yamina poursuivit : — Je ne l'ai jamais vu parce qu’un sort lui interdit de se montrer à moi. Et je ne connaî
t de se montrer à moi. Et je ne connaîtrai pas son visage tant que ce sort pèsera sur lui, car je me suis engagée, en me mar
Vint le jour où elle n’y tint plus ; où tout lui sembla préférable au sort qui était le sien. Elle regagna sa chambre au cré
u sort qui était le sien. Elle regagna sa chambre au crépuscule. Elle sortit de son corsage la précieuse bougie qu’elle alluma
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
donner quelque fâcheux don à la petite princesse, alla, dés qu’on fut sorti de table, se cacher derriere la tapisserie, afin
, et il n’y eut personne qui ne pleurât. Dans ce moment, la jeune fée sortit de derriere la tapisserie, et dit tout haut ces p
reine, aprés avoir baisé leur chere enfant sans qu’elle s’éveillast, sortirent du chasteau, et firent publier des deffenses à qu
ur don, poursuivit la fée, qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fleur, ou une pierre précieus
fille, d’avoir tardé si long-temps » ; et, en disant ces mots, il luy sortit de la bouche deux roses, deux perles et deux gros
ans. « Que voy-je là ? dit sa mere tout estonnée ; je crois qu’il luy sort de la bouche des perles et des diamants. D’où vie
a mere, il faut que j’y envoye ma fille. Tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de vôtre sœur quand elle parle ; ne
le logis. Elle ne fut pas plustost arrivée à la fontaine qu’elle vit sortir du bois une dame magnifiquement vestuë, qui vint
te, je vous donne pour don qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent, ou un crapau. » D’abo
ur, c’est ma mere qui m’a chassée du logis. » Le fils du roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six perles et autant de diam
sortes d’officiers necessaires pour faire un festin magnifique. Il en sortit une bande de vingt ou trente rotisseurs, qui alle
qu’ils ne fussent entendus par le petit Poucet, qui fit son compte de sortir d’affaire comme il avoit déjà fait ; mais quoy qu
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