nt du village et ils attendirent, assis en rond. Settoute, la vieille sorcière , s’avança et leur dit : — Bienvenu soit votre frè

omme ils allaient entreprendre d’abattre l’arbre, Settoute la vieille sorcière , chuchota : — Pour cette nuit laissez-la. Inutile

endit pour aider Settoute. Mais à peine eut-elle touché le sol que la sorcière l'attrapa et fit signe à tous ceux qui voulaient

ser passer le fils du roi qu’elle avait reconnu. Settoute, la vieille sorcière , fut seule à lui barrer le chemin. Comme Mehend l

ce se déclara impuissant. Alors le prince murmura : — Si Settoute, la sorcière , venait et faisait cuire sous mes yeux de la soup

ais. Une négresse partit immédiatement à la recherche de Settoute. La sorcière , fortement appuyée sur un bâton, pénétra dans la

ne s’y fît pas de grumeaux. Mehend bondit, s’empara de la main de la sorcière et ■la plongea dans la soupe bouillante. Settoute

s génies qui se sont emparés d’elle. En vain son père appela-t-il les sorciers et les sorcières. Cheiks, savants, sorciers et so

sont emparés d’elle. En vain son père appela-t-il les sorciers et les sorcières . Cheiks, savants, sorciers et sorcières se reconn

son père appela-t-il les sorciers et les sorcières. Cheiks, savants, sorciers et sorcières se reconnurent impuissants. Alors, d

pela-t-il les sorciers et les sorcières. Cheiks, savants, sorciers et sorcières se reconnurent impuissants. Alors, désespéré, not

cherche de Soumicha, la princesse lointaine dont Settoute, la vieille sorcière , lui avait révélé l’existence. Voici sept ans que

r ruse? Alors, feignant une forte fièvre, j’assurai ma mère que si la sorcière préparait sous mes yeux de la soupe de semoule je

e fois, devinait qui il était. L’Ogre s’en alla finalement trouver le sorcier . — Voici, lui dit-il, il y a un vieil impotent qu

ir une voix aussi fine, aussi claire que celle de sa petite fille. Le sorcier répondit : — Va, enduis-toi la gorge de miel et a

ix s’éclaircira et s’affinera I L’Ogre fit ce que lui recommandait le sorcier : il acheta du miel, s’en remplit la gorge et all

. Affolé, le sultan appela au chevet de son fils tous les docteurs et sorciers du pays. Comme ils défilaient vainement devant le

en était fort aise. Settoute seule verdissait de jalousie (la vieille sorcière en voulait à Cheikh Smain depuis ce jour où, rend

ait-il avec anxiété. C’est alors que se présenta Settoute, la vieille sorcière . Elle dit : — C’est moi qui te renseignerai, sult

vieux chasteau où il revenoit des esprits ; les autres, que tous les sorciers de la contrée y faisoient leur sabbat. La plus co