ion, comme une graine de bonheur : ‹ Va, ma fille, Dieu fasse que ton
soleil
perce les nuages.» EN MANIERE DE PROLOGUE ‹L
e. Ma mère est allée à la chasse ; elle ne reviendra qu'au coucher du
soleil
. Si tu consens à entrer, entre. Il dit : — J’y co
it en pente. Ils s’y engagèrent. Ils atteignirent la rivière comme le
soleil
se montrait. La Grenouille posa sa charge de lain
, dans le creux de leur main. Et puis, comme l'air était chaud, et le
soleil
piquant, ils s’apprêtèrent à faire la sieste. Le
urnous à l’ombre des peupliers : ils se couchèrent dessus. Lorsque le
soleil
se mit à baisser, la Grenouille dit au Crapaud :
e Le métier du bel adolescent. — Jeune homme, prends soin de toi : Le
soleil
d'été est piquant. Proverbes La vache qui donne d
e adolescente, elle connut l’ennui. Elle eut la nostalgie du ciel, du
soleil
. Elle voulut découvrir le monde. Le serpent la la
it une hutte, en dehors du village. Elle en partait avant le lever du
soleil
et n’y revenait qu’au crépuscule. C’est la nuit q
ul les entendre, car lui seul passait près du puits avant le lever du
soleil
, à cette heure où la gazelle avait l’usage de la
coup fut si violent qu’il ébranla le mur, y faisant un trou par où le
soleil
et la lumière entrèrent à profusion. Ebloui, le j
us lui montraient l’Orient et répondaient : — Va, va toujours face au
soleil
levant I Après bien des jours, il atteignit le bo
et il entendit une voix lui dire : — Lève-toi, Mehend et partons. Le
soleil
venait juste de se retirer derrière les montagnes
rait qui, un jour d'été, m’apporta un gigot d’agneau non désossé ! Le
soleil
était haut dans le ciel. L'ennui, une nostalgie i
marché et la foule mouvante et toutes les richesses étalées en plein
soleil
, parmi les hommes et les bêtes : les fruits, les
Et tous me désignant l’Orient répondaient : « Va, va toujours face au
soleil
levant I » J'avais épuisé déjà mes provisions et
fenêtre, dans une énorme jarre, un svelte grenadier s’épanouissait au
soleil
. La reine entendit une voix lui murmurer à l’orei
re. Hacène était trop blond, trop rose et trop heureux. L’impitoyable
soleil
d’août, ce soleil à tuer les ânes, n'empêchait pa
rop blond, trop rose et trop heureux. L’impitoyable soleil d’août, ce
soleil
à tuer les ânes, n'empêchait pas son teint d'être
é la terre qui recouvrait le corps d’Hacène, laissant ses os à nu. Le
soleil
les avait blanchis, le vent les avait dispersés.
ras. Un jeune berger remarqua cet os blanc comme craie et net dans le
soleil
, un jour qu’il poursuivait dans le ravin une chèv
eau de proie qui prend entre ses serres nos agneaux l A l’heure où le
soleil
est le plus puissant, à l’heure chaude où les ber
tion qu’il n’aurait jamais dû prendre. Il atteignit la forêt comme le
soleil
se montrait ; il s'y enfonça. Il en traversa la z
nts. Lorsqu'à son tour il pénétra dans une riche et verte contrée, le
soleil
se levait. Un grand village lui apparut, le villa
t le ventre de Tseriel. Il retira d’abord le lévrier qu’il étendit au
soleil
. Et puis son frère. Et enfin le cheval d’éclairs
e vent et la princesse, sur sa jument bleue, partageait leur joie. Le
soleil
baissait. Des champs de figuiers et d’oliviers bo
s). Ils croquèrent aussi les petits pois. Et puis ils s’étendirent au
soleil
dans le champ. Quand il ne leur resta plus une se
etits pois, il atteindra le ruisseau 1 Le long de l'hiver, dès que le
soleil
se montrait, le père disait aux deux garçons : —
ondit : — Va, enduis-toi la gorge de miel et allonge-toi par terre au
soleil
, la bouche grande ouverte. Des fourmis y entreron
rcier : il acheta du miel, s’en remplit la gorge et alla s'étendre au
soleil
, la bouche ouverte. Une armée de fourmis entra da
Il mangea encore et encore du miel. Il s’étendit de longues heures au
soleil
. Il laissa des légions de fourmis aller et venir
avait un remède I Il est mort de soif près de l’eau ! Entre ombre et
soleil
. Comme qui épouillerait un chien. Chant d'exil Il
rasser bientôt de Mehend. Ils flânèrent longuement dans le jardin, au
soleil
, et ne rentrèrent qu’à l’heure du goûter pour se
ité. On lui servit un bon repas et on lui prépara un lit. Au lever du
soleil
, elle repartit droit devant elle. Près d’un ruiss
tendras... Peu de temps après, Ali vit sa sœur assise dans la cour au
soleil
. H s’approcha d’elle, s’allongea à ses pieds et e
fit selon son désir. Alors, elle s’en empara, les sala, les exposa au
soleil
et, lorsqu’ils furent absolument secs, les enferm
Aux temps où parlaient les bêtes, un lion déjà vieux se chauffait au
soleil
sur la pente d'une colline, quand un chacal vint
e lacer avec des lanières de cuir, le chacal dit au lion : — Reste au
soleil
le plus longtemps que tu pourras. Et ne manque pa
itude. Le lion était naïf. Il exposa consciencieusement ses pattes au
soleil
, en ayant soin de les déplacer. Or le soleil étai
cieusement ses pattes au soleil, en ayant soin de les déplacer. Or le
soleil
était piquant. Si bien que la peau ne tarda pas à
Les orphelines, dans la campagne, étaient aussi jolies que fleurs au
soleil
. Mais leur père, appuyé sur un bâton, avançait co
troupeaux elles rencontrèrent I — Arriverons-nous avant le coucher du
soleil
? demandaient- elles par moment à leur père. Et l
couscous (elle en avait découvert une pleine jarre qui avait séché au
soleil
). Et des semaines passèrent ainsi, sans que Moche
se dit : ‹ Ce qui m’a échappé ce soir, ne m’échappera pas au lever du
soleil
! › Elle se mit à l’affût de grand matin et elle
s ! › Elle fit basculer la pierre sous leurs yeux étonnés. Un flot de
soleil
balaya le repaire et les sept filles s’échappèren
Il est tombé dans la marmite et il a disparu ! Le rocher s’éboule. Le
soleil
parle. Il dit : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Ce que j
e que j’ai ? Hou ! hou I Que n’est-il arrivé ! Le ciel bouleversé, le
soleil
en'fui, le rocher éboulé, le fleuve démonté, la h
eikh Smain et de la fille la plus belle qui se puisse trouver sous le
soleil
. Le prince nageait dans la joie et le sultan qui
des signes d’amitié. Arrivée devant la tour, elle fit briller dans le
soleil
l’anneau que lui avait remis Cheikh Smaïn et le l
ants de la ville furent saisis d’effroi lorsqu’ils virent au lever du
soleil
se dresser devant eux le palais magique au milieu
pas une seule figue. A l'heure chaude, l'ogresse passa. Il faisait un
soleil
à tuer les ânes : Tseriel, l’ogresse, allait boir
admirer. Il y avait là tous les fruits susceptibles de mûrir sous le
soleil
de Dieu, à la fois ceux de l’automne, du printemp
nt tous les trois en un an Et sans que j’aie pu seulement les revoir,
Soleil
, épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit