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1 (1966) Le grain magique
lard. La servante obéit et ses cheveux se répandirent en écheveaux de soie jusqu’à la taille. Mais la négresse s'écria : — M
fenttre, Toi qui connais ma nostalgie : La jeune fille a des yeux de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE TSERIEL Que mon
mais toujours en avant I Elle monta une jument toute caparaçonnée de soie et le roi l’escorta. Mais au bout d’un moment ell
Près de l’arbre magique, elle peignait gravement ses longs cheveux de soie . L’espoir l’avait gardée aussi jeune que belle. E
filles, habillées d’or et d’argent, la tête ornée de longs voiles de soie étoilés d’or, de longs voiles flottants, quatre-v
demandera. J› Il en triompha et je lui donnai ma fille aux cheveux de soie , mon unique fille aussi chère à mes yeux que le h
endait ; autour d'elle broutaient des chevreaux plus brillants que la soie . Lorsque les voyageurs apparurent, la chèvre se r
Aith Ouerthiran Salut à vous, le jour se lève l Vous aux vêtements de soie . Aux écharpes immaculées, Nous vous prions d'impl
prince offrit à sa fiancée de l’or, de l'argent, de riches étoffes de soie et toutes sortes de merveilles. Mais il lui dit a
le O toi ma très chère Que de bijoux finement ciselés Que de robes de soie t'ont parée. Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma trè
it là sur le seuil, debout parmi ses frères, vêtue de longs voiles de soie étoilés d'or. Elle attendait que son époux veuill
our lui. Mon cœur pleure L’hiver tombe sur lui. Je plains la gerbe de soie Qui s'épanouit et retombe. Je pleure la jeune fil
ain Pour que nous l’enduisions de henné. Dénoue ta longue ceinture De soie rehaussée de fils d’or. De son pas de sultan, Ali
fres leurs parures les plus brillantes et s’en habillèrent : robes de soie , voiles de tulle. Elles nouèrent au-dessus de leu
présenterait. Et puis il fit sa toilette. H revêtit une djellabah de soie blanche, deux burnous blancs comme neige et s’ent
et crut rêver quand elle se vit seule, dans un immense lit, parmi la soie , la fine laine et la plume. Yamina était au milie
son cœur. On eût dit qu'il fendait de ses grandes ailes des nappes de soie noire, n vola, il vola. Un peu avant l’aube, il d
e fille se réveilla dans la splendeur de sa chambre toute tapissée de soie . Mais où était l’émerveillement des premiers jour
nt toutes menues Comme celles d'un enfant, Elles ont la douceur de la soie . Le Seigneur l’a créée pleine de grâce ; Les jour
corps modelé dans la grâce Je suis cernée par des démons. Sur moi la soie n'est plus que haillons Souillés de boue et traîn
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