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1 (1966) Le grain magique
i dit : — Qui es-tu, créature ? Elle lui répondit : — Moi? Je-suis ta sœur . Lorsque j’étais dans la maison de mon père, je s
venue blanche et je suis devenue noire. Mais c’est moi qui suis votre sœur . › ♦ Le plus jeune des sept garçons se rendit aup
t : — A quoi reconnattrons-nous que cette servante est vraiment notre sœur ?... Us consultèrent donc le Vieux Sage. Ils lui r
crépus. La jeune fille dont les cheveux sont lisses, c'est elle votre sœur . Mais la négresse ne voudra pas Oter son foulard
naçant : — Tu es donc la négresse ? Et tu as usurpé la place de notre sœur I Ils se tournèrent vers leur sœur pour lui deman
Et tu as usurpé la place de notre sœur I Ils se tournèrent vers leur sœur pour lui demander : — Qu’est-ce qui soulagerait t
èrent et répandirent ses cendres dehors. Puis ils rapportèrent à leur sœur de l’eau puisée à la fontaine des blanches. Elle
t frères purent retourner à leur passe-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les repas et tenait la maison. L'année
1 si tu étais la Perdrix la plus jolie du pays, aurais-je trouvé tes sœurs en boule dans la gibecière d’un chasseur? La Perd
une galette de son et leur fit cette recommandation : — Djohra, votre sœur , vous accompagne. Veillez sur elle et que rien de
le et que rien de fâcheux ne lui arrive ! Les orphelins aimaient leur sœur . Ils partirent tous les trois. A peine arrivés, i
le gagnait le puits. Elle se penchait vers la margelle et disait à sa sœur : Ils aiguisent des lames Pour Ali-Gazelle-le-p
œur : Ils aiguisent des lames Pour Ali-Gazelle-le-pauvre O Aïcha ma sœur , fille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui
lle-le-pauvre O Aïcha ma sœur, fille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui répondait : Aïcha, ta sœur, est dans le puit
ille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui répondait : Aïcha, ta sœur , est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le p
sa sœur lui répondait : Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta sœur , est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
, elle levait la tête et lui répondait du fond du puits : ‹ Aïcha, ta sœur , est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le pu
dait du fond du puits : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta sœur , est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
ts : ‹ Ils aiguisent des lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur , fille de ma mère, Délivre-moi I › C’est ainsi qu
est ainsi qu'il entendit le puits répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur , est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le pu
répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta sœur , est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
its : «Ils aiguisent des lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur , fille de ma mère. Délivre-moi ! › Ils entendiren
-moi ! › Ils entendirent le puits répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur , est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le pu
répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta sœur , est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
is de Dieu ! » C’est ainsi qu’Ali retrouva sa forme humaine et que sa sœur et lui connurent enfin la paix et le bonheur. Mon
à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ MON PERE M’A MANGÉ MA SŒUR A RASSEMBLÉ MES OS L’on raconte qu’autrefois où l
anter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite fille reconnut la v
anter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père comprit. Il se leva,
la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer... Car ma sœur pleurerait, pleurerait... Et serait orpheline. L’
être qu’elle n’a jamais vu. Mes frères frappent l’eau avec l’eau. Ma sœur se trouve entre un mur et un autre. Le fils du ro
rappent l’eau avec l’eau ›, ils arrosaient des jardins. Et quant à ta sœur , ‹ entre un mur et un autre ›, elle tissait la la
chercherai ». Lorsque tu es entré dans notre maison, tu as regardé ma sœur et tu as dit : ‹ Le plat est beau, mais il a une
ma sœur et tu as dit : ‹ Le plat est beau, mais il a une fêlure ». Ma sœur est belle en effet, elle est vertueuse, mais elle
veilla le premier. H alla vers la vieille femme et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voudrions vivre dans ce pays. Où pour
is âgée, fatiguée, seule au monde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi. Elle tiendra la maison tandis que tu soig
et lui dit : — Ali, mon frère, je veux te marier I Il répondit : — Ma sœur , ne sommes-nous pas heureux? Pourquoi introduire
quoi introduire chez nous une étrangère qui nous diviserait ? Mais la sœur reprit : — Quelqu’un peut-il nous séparer?... Ras
a un soir son époux dans un coin et lui chuchota : — As-tu observé ta sœur ? L’as-tu bien regardée?... Vois comme son ventre
vit la jeune femme. Puisque tu ne veux pas me croire, demain dis à ta sœur : ‹ Je sens une démangeaison à la tête, regarde u
ttentivement. Et alors tu entendras... Peu de temps après, Ali vit sa sœur assise dans la cour au soleil. H s’approcha d’ell
. Il se réveilla dès l’aube. H prit une corde et s’en alla trouver sa sœur : — Lève-toi, lui dit-il. Allons couper du bois,
a forêt. Un trou profond s’y trouvait : le jeune homme y conduisit sa sœur et l’y précipita sans un mot. Elle appela et pleu
le nouveau-né après bien des recommandations : c’était un garçon. Sa sœur le serra contre elle en pleurant. Elle le porta d
t un homme. Une nuit, à l’entrée d’un village inconnu, le frère et la sœur rencontrèrent une vieille femme. Ils lui dirent :
en mourant, elle laissa tous ses biens aux orphelins. Le frère et la sœur vivaient unis et heureux. Mais la sœur voulut pou
aux orphelins. Le frère et la sœur vivaient unis et heureux. Mais la sœur voulut pour son frère un bonheur encore plus parf
ait de rien. Alors, la jeune épouse dit au frère : ‹ As-tu observé ta sœur ? Elle est enceinte... Si tu veux t’en convaincre,
rémir, mais il crut à autre chose... Et c'est ainsi qu’il entraîna sa sœur dans les bois, qu’il la précipita au fond d’un tr
saisit par les cheveux, le dégagea, tandis qu’elle laissait sa belle- sœur disparaître et la terre se refermer sur elle. Mon
ir près du feu, si près que la cendre poudrait ses cheveux et que ses sœurs la surnommaient : Aïcha- Cendrinette. Ces petites
ne partie de la nuit. Elle se leva dès l’aube et se prépara comme ses sœurs . Mais tandis que la marâtre distribuait les provi
e son corsage de noyaux d’olives et suivit docilement son père et ses sœurs . A dessein Aïcha traînait un peu le pas et nul ne
e plus en plus fort et se mirent à pleurer. Alors Aïcha rassembla ses sœurs et leur dit : — Ne pleurez pas. Notre père nous a
our d’un piquet, elle se laissa glisser. Dès qu’elle eut retrouvé ses sœurs , elle tira prestement la corde afin que le père n
bres étaient complètes. Tandis que pleuraient et se désespéraient ses sœurs , Aïcha tâtait les parois dans l'espoir de découvr
ndemain, elle en trouva deux autres qu'elle partagea encore entre ses sœurs . La fillette avait mis la main sur une mine de fè
oux. Elle s’empara aussi d’une corbeille de figues et courut vers ses sœurs avec ces nourritures inespérées. Et ce jour-là, i
feu, elle ne s’inquiéta pas des menaces du chat. Mais du jour où ses sœurs se mirent à exiger de véritables repas, elle trem
e ni à surprendre Aïcha. Un après-midi de printemps, assise parmi ses sœurs dans la caverne obscure, la petite fille pensait
plus heureuses. Voici bientôt l’été ; et il y a si longtemps que mes sœurs n’ont vu la lumière du jour... Pourtant, lui, ren
ui sortaient par les oreilles et les narines. Alors, elle pensa à ses sœurs . Retroussant sa robe jusqu’aux genoux, elle la re
une galette de blé ronde et dorée comme une lune et se hâta vers ses sœurs , une corbeille de fruits au bras. Ce jour-là enco
ie des sept petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nourrir ses sœurs . — Ma fève ou j’éteins le feu ! menaçait Moche, c
quelques jours le retour du chat. Et ce n’est que lorsqu'elle vit ses sœurs affamées la cerner comme des louves et la menacer
graisse et des ossements calcinés. Alors Aïcha-Cendrinette appela ses sœurs . En un rien de temps, les restes du chat furent e
romenant ses regards autour d’elle : ‹ Quel va être le bonheur de mes sœurs lorsque je leur révélerai l’existence du ruisseau
x humble, je n’osais croire que la joie de te revoir et de revoir tes sœurs pût m’être donnée I Chassé de ma propre demeure e
sultan leur dit : — Cheikh Smain, mon fils, a résolu d’épouser votre sœur ou de mourir. ■Les sept frères allèrent chercher
ne une maisonnette tout éclairée. Sept frères y demeuraient avec leur sœur , une toute jeune fille, et regardaient avec inqui
galette de blé, des fruits et du lait. — Cette jeune fille est notre sœur , expliqua l’aîné. Le roi des Incroyants veut nous
si jusqu’à la mort, car rien ne nous est plus cher au monde que notre sœur au visage de lait et aux cheveux couleur de maïs.
à toi et à ton vaillant compagnon, nous avons triomphé. Prends notre sœur , elle te revient. — Je la prendrai avec joie, rép
lama Settoute, tu as bien dit Cheikh Smaïn ? Mais c’est le fils de ma sœur chérie que tu viens de nommer I Mène-moi vers lui
ité, roule le grain du couscous, car j'irai au petit jour inviter mes sœurs , mes frères, mes tantes, toute notre famille enfi
Quelle joie serait la mienne si mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs étaient là pour jouir avec moi de tant de délices
: la présence de son père et de sa mère, les jeux avec ses frères et sœurs sur la place du pressoir, la galette d’orge, le c
donne un mois pour jouir de ton père, de ta mère et de tes frères et sœurs ; pour retrouver la saveur de l’eau et du pain de
rente jours exactement, mon mari reviendra me chercher. Ses frères et sœurs accoururent des villages voisins pour fêter son r
voici que quelques jours avant le retour de l’Oiseau de l’Orage, ses sœurs lui demandèrent : — Yamina pourquoi ne nous parle
r avouer : — Je ne sais comment il est car je ne l’ai jamais vu ! Ses sœurs ne la crurent pas tout d'abord. Yamina poursuivit
ais chercher à le surprendre. — Et toi, pauvre naïve, s'écrièrent ses sœurs indignées, tu as vécu tout ce temps sans oser lev
Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté I Yamina était prête : ses sœurs lui avaient remis une petite bougie qu’elle avait
on de son malheur. Elle était troublée par ce que lui avaient dit ses sœurs . C’est en vain que les bêtes lui avaient chuchoté
moi les bêtes te mettre en garde contre les conseils funestes de tes sœurs . Tu les as entendues te dire : «Tes parents feron
ina vit mourir son père et sa mère. Yamina se sépara de ses frères et sœurs mais ne quitta jamais la maison. Elle attendit du
til et l’innocent      99 Ma mère m’a égorgé, mon père m’a mangé, ma sœur a rassemblé mes os 107 Le chêne de l’ogre     
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
, qu’on nomma le Jour, parce qu’il paroissoit encore plus beau que sa sœur . La reine dit plusieurs fois à son fils, pour le
ais pas un moment davantage. » Lorsqu’elle fut seule, elle appella sa sœur , et luy dit : « Ma sœur Anne (car elle s’appelloi
age. » Lorsqu’elle fut seule, elle appella sa sœur, et luy dit : « Ma sœur Anne (car elle s’appelloit ainsi), monte ; je te
r aujourd’huy ; et, si tu les vois, fais-leur signe de se hâter. » La sœur Anne monta sur le haut de la tour ; et la pauvre
our ; et la pauvre affligée luy crioit de temps en temps : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne l
emps en temps : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne luy répondoit : « Je ne vois rien que le sol
répondoit sa femme ; et aussi tost elle crioit tout bas : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne r
ioit tout bas : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne répondoit : « Je ne vois rien que le soleil
Je m’en vais, » répondoit la femme ; et puis elle crioit : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit
« Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit la sœur Anne, une grosse poussiere qui vient de ce costé-
re qui vient de ce costé-cy… — Sont-ce mes freres ? — Hélas ! non, ma sœur : c’est un troupeau de moutons… — Ne veux-tu pas
re un moment, » répondoit sa femme ; et puis elle crioit : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit
maistresse de tous ses biens. Elle en employa une partie à marier sa sœur Anne avec un jeune gentilhomme dont elle estoit a
oye ma fille. Tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de vôtre sœur quand elle parle ; ne seriez-vous pas bien aise d
vint luy demander à boire. C’estoit la même fée qui avoit apparu à sa sœur , mais qui avoit pris l’air et les habits d’une pr
et deux crapaus. — O Ciel, s’écria la mere, que vois-je là ? C’est sa sœur qui en est cause : elle me le payera. » Et aussi
ne autre, l’emmena au palais du roi son pere, où il l’épousa. Pour sa sœur , elle se fit tant haïr que sa propre mere la chas
né sans regret toute sa beauté pour avoir la moitié de l’esprit de sa sœur . La reine, toute sage qu’elle estoit, ne put s’em
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