i dit : — Qui es-tu, créature ? Elle lui répondit : — Moi? Je-suis ta
sœur
. Lorsque j’étais dans la maison de mon père, je s
venue blanche et je suis devenue noire. Mais c’est moi qui suis votre
sœur
. › ♦ Le plus jeune des sept garçons se rendit aup
t : — A quoi reconnattrons-nous que cette servante est vraiment notre
sœur
?... Us consultèrent donc le Vieux Sage. Ils lui r
crépus. La jeune fille dont les cheveux sont lisses, c'est elle votre
sœur
. Mais la négresse ne voudra pas Oter son foulard
naçant : — Tu es donc la négresse ? Et tu as usurpé la place de notre
sœur
I Ils se tournèrent vers leur sœur pour lui deman
Et tu as usurpé la place de notre sœur I Ils se tournèrent vers leur
sœur
pour lui demander : — Qu’est-ce qui soulagerait t
èrent et répandirent ses cendres dehors. Puis ils rapportèrent à leur
sœur
de l’eau puisée à la fontaine des blanches. Elle
t frères purent retourner à leur passe-temps favori : la chasse. Leur
sœur
préparait les repas et tenait la maison. L'année
1 si tu étais la Perdrix la plus jolie du pays, aurais-je trouvé tes
sœurs
en boule dans la gibecière d’un chasseur? La Perd
une galette de son et leur fit cette recommandation : — Djohra, votre
sœur
, vous accompagne. Veillez sur elle et que rien de
le et que rien de fâcheux ne lui arrive ! Les orphelins aimaient leur
sœur
. Ils partirent tous les trois. A peine arrivés, i
le gagnait le puits. Elle se penchait vers la margelle et disait à sa
sœur
: Ils aiguisent des lames Pour Ali-Gazelle-le-p
œur : Ils aiguisent des lames Pour Ali-Gazelle-le-pauvre O Aïcha ma
sœur
, fille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui
lle-le-pauvre O Aïcha ma sœur, fille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa
sœur
lui répondait : Aïcha, ta sœur, est dans le puit
ille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui répondait : Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le p
sa sœur lui répondait : Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
, elle levait la tête et lui répondait du fond du puits : ‹ Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le pu
dait du fond du puits : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
ts : ‹ Ils aiguisent des lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma
sœur
, fille de ma mère, Délivre-moi I › C’est ainsi qu
est ainsi qu'il entendit le puits répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le pu
répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
its : «Ils aiguisent des lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma
sœur
, fille de ma mère. Délivre-moi ! › Ils entendiren
-moi ! › Ils entendirent le puits répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Aïcha, ta sœur, est dans le pu
répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta
sœur
, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi Die
is de Dieu ! » C’est ainsi qu’Ali retrouva sa forme humaine et que sa
sœur
et lui connurent enfin la paix et le bonheur. Mon
à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ MON PERE M’A MANGÉ MA
SŒUR
A RASSEMBLÉ MES OS L’on raconte qu’autrefois où l
anter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé, mangé... Ma
sœur
a rassemblé mes os. La petite fille reconnut la v
anter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé, mangé... Ma
sœur
a rassemblé mes os. Le père comprit. Il se leva,
la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer... Car ma
sœur
pleurerait, pleurerait... Et serait orpheline. L’
être qu’elle n’a jamais vu. Mes frères frappent l’eau avec l’eau. Ma
sœur
se trouve entre un mur et un autre. Le fils du ro
rappent l’eau avec l’eau ›, ils arrosaient des jardins. Et quant à ta
sœur
, ‹ entre un mur et un autre ›, elle tissait la la
chercherai ». Lorsque tu es entré dans notre maison, tu as regardé ma
sœur
et tu as dit : ‹ Le plat est beau, mais il a une
ma sœur et tu as dit : ‹ Le plat est beau, mais il a une fêlure ». Ma
sœur
est belle en effet, elle est vertueuse, mais elle
veilla le premier. H alla vers la vieille femme et lui déclara : — Ma
sœur
et moi nous voudrions vivre dans ce pays. Où pour
is âgée, fatiguée, seule au monde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta
sœur
et toi. Elle tiendra la maison tandis que tu soig
et lui dit : — Ali, mon frère, je veux te marier I Il répondit : — Ma
sœur
, ne sommes-nous pas heureux? Pourquoi introduire
quoi introduire chez nous une étrangère qui nous diviserait ? Mais la
sœur
reprit : — Quelqu’un peut-il nous séparer?... Ras
a un soir son époux dans un coin et lui chuchota : — As-tu observé ta
sœur
? L’as-tu bien regardée?... Vois comme son ventre
vit la jeune femme. Puisque tu ne veux pas me croire, demain dis à ta
sœur
: ‹ Je sens une démangeaison à la tête, regarde u
ttentivement. Et alors tu entendras... Peu de temps après, Ali vit sa
sœur
assise dans la cour au soleil. H s’approcha d’ell
. Il se réveilla dès l’aube. H prit une corde et s’en alla trouver sa
sœur
: — Lève-toi, lui dit-il. Allons couper du bois,
a forêt. Un trou profond s’y trouvait : le jeune homme y conduisit sa
sœur
et l’y précipita sans un mot. Elle appela et pleu
le nouveau-né après bien des recommandations : c’était un garçon. Sa
sœur
le serra contre elle en pleurant. Elle le porta d
t un homme. Une nuit, à l’entrée d’un village inconnu, le frère et la
sœur
rencontrèrent une vieille femme. Ils lui dirent :
en mourant, elle laissa tous ses biens aux orphelins. Le frère et la
sœur
vivaient unis et heureux. Mais la sœur voulut pou
aux orphelins. Le frère et la sœur vivaient unis et heureux. Mais la
sœur
voulut pour son frère un bonheur encore plus parf
ait de rien. Alors, la jeune épouse dit au frère : ‹ As-tu observé ta
sœur
? Elle est enceinte... Si tu veux t’en convaincre,
rémir, mais il crut à autre chose... Et c'est ainsi qu’il entraîna sa
sœur
dans les bois, qu’il la précipita au fond d’un tr
saisit par les cheveux, le dégagea, tandis qu’elle laissait sa belle-
sœur
disparaître et la terre se refermer sur elle. Mon
ir près du feu, si près que la cendre poudrait ses cheveux et que ses
sœurs
la surnommaient : Aïcha- Cendrinette. Ces petites
ne partie de la nuit. Elle se leva dès l’aube et se prépara comme ses
sœurs
. Mais tandis que la marâtre distribuait les provi
e son corsage de noyaux d’olives et suivit docilement son père et ses
sœurs
. A dessein Aïcha traînait un peu le pas et nul ne
e plus en plus fort et se mirent à pleurer. Alors Aïcha rassembla ses
sœurs
et leur dit : — Ne pleurez pas. Notre père nous a
our d’un piquet, elle se laissa glisser. Dès qu’elle eut retrouvé ses
sœurs
, elle tira prestement la corde afin que le père n
bres étaient complètes. Tandis que pleuraient et se désespéraient ses
sœurs
, Aïcha tâtait les parois dans l'espoir de découvr
ndemain, elle en trouva deux autres qu'elle partagea encore entre ses
sœurs
. La fillette avait mis la main sur une mine de fè
oux. Elle s’empara aussi d’une corbeille de figues et courut vers ses
sœurs
avec ces nourritures inespérées. Et ce jour-là, i
feu, elle ne s’inquiéta pas des menaces du chat. Mais du jour où ses
sœurs
se mirent à exiger de véritables repas, elle trem
e ni à surprendre Aïcha. Un après-midi de printemps, assise parmi ses
sœurs
dans la caverne obscure, la petite fille pensait
plus heureuses. Voici bientôt l’été ; et il y a si longtemps que mes
sœurs
n’ont vu la lumière du jour... Pourtant, lui, ren
ui sortaient par les oreilles et les narines. Alors, elle pensa à ses
sœurs
. Retroussant sa robe jusqu’aux genoux, elle la re
une galette de blé ronde et dorée comme une lune et se hâta vers ses
sœurs
, une corbeille de fruits au bras. Ce jour-là enco
ie des sept petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nourrir ses
sœurs
. — Ma fève ou j’éteins le feu ! menaçait Moche, c
quelques jours le retour du chat. Et ce n’est que lorsqu'elle vit ses
sœurs
affamées la cerner comme des louves et la menacer
graisse et des ossements calcinés. Alors Aïcha-Cendrinette appela ses
sœurs
. En un rien de temps, les restes du chat furent e
romenant ses regards autour d’elle : ‹ Quel va être le bonheur de mes
sœurs
lorsque je leur révélerai l’existence du ruisseau
x humble, je n’osais croire que la joie de te revoir et de revoir tes
sœurs
pût m’être donnée I Chassé de ma propre demeure e
sultan leur dit : — Cheikh Smain, mon fils, a résolu d’épouser votre
sœur
ou de mourir. ■Les sept frères allèrent chercher
ne une maisonnette tout éclairée. Sept frères y demeuraient avec leur
sœur
, une toute jeune fille, et regardaient avec inqui
galette de blé, des fruits et du lait. — Cette jeune fille est notre
sœur
, expliqua l’aîné. Le roi des Incroyants veut nous
si jusqu’à la mort, car rien ne nous est plus cher au monde que notre
sœur
au visage de lait et aux cheveux couleur de maïs.
à toi et à ton vaillant compagnon, nous avons triomphé. Prends notre
sœur
, elle te revient. — Je la prendrai avec joie, rép
lama Settoute, tu as bien dit Cheikh Smaïn ? Mais c’est le fils de ma
sœur
chérie que tu viens de nommer I Mène-moi vers lui
ité, roule le grain du couscous, car j'irai au petit jour inviter mes
sœurs
, mes frères, mes tantes, toute notre famille enfi
Quelle joie serait la mienne si mon père, ma mère, mes frères et mes
sœurs
étaient là pour jouir avec moi de tant de délices
: la présence de son père et de sa mère, les jeux avec ses frères et
sœurs
sur la place du pressoir, la galette d’orge, le c
donne un mois pour jouir de ton père, de ta mère et de tes frères et
sœurs
; pour retrouver la saveur de l’eau et du pain de
rente jours exactement, mon mari reviendra me chercher. Ses frères et
sœurs
accoururent des villages voisins pour fêter son r
voici que quelques jours avant le retour de l’Oiseau de l’Orage, ses
sœurs
lui demandèrent : — Yamina pourquoi ne nous parle
r avouer : — Je ne sais comment il est car je ne l’ai jamais vu ! Ses
sœurs
ne la crurent pas tout d'abord. Yamina poursuivit
ais chercher à le surprendre. — Et toi, pauvre naïve, s'écrièrent ses
sœurs
indignées, tu as vécu tout ce temps sans oser lev
Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté I Yamina était prête : ses
sœurs
lui avaient remis une petite bougie qu’elle avait
on de son malheur. Elle était troublée par ce que lui avaient dit ses
sœurs
. C’est en vain que les bêtes lui avaient chuchoté
moi les bêtes te mettre en garde contre les conseils funestes de tes
sœurs
. Tu les as entendues te dire : «Tes parents feron
ina vit mourir son père et sa mère. Yamina se sépara de ses frères et
sœurs
mais ne quitta jamais la maison. Elle attendit du
til et l’innocent 99 Ma mère m’a égorgé, mon père m’a mangé, ma
sœur
a rassemblé mes os 107 Le chêne de l’ogre