e faim. Six chameaux l'imitaient et pleuraient avec elle. Le septième
seul
, qui était sourd, se nourrissait et profitait. Au
urée d’une haie d’épines. Il appela ; une jeune fille se montra. Dieu
seul
avait pu la créer : son teint était blanc comme n
les appela par leur nom. Ils vinrent tous, les uns après les autres.
Seul
le plat sur lequel Loundja était assise ne se dép
pas une déesse? › Il épousa donc une chienne. La nuit, lorsqu’il fut
seul
avec elle dans la cham’ure nuptiale, il lui dit :
à qui est-elle ? (Il n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) La nourriture
seule
nous est due ; La terre, son maître est un seigne
jeunèrent. Ils se délectèrent des fruits : ils n’en laissèrent pas un
seul
dans la corbeille. Ils burent à une source, dans
enouille, exténuée, s’assit sur le bord du chemin et déclara : — Pars
seul
si tu veux. Je ne puis plus faire un pas. Alors l
x : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud? La nuit est venue ; que fais-tu
seul
par les chemins ? — Le sel de l’univers a fui. La
comme des étoiles et la regarda.-11 regarda la petite fille que Dieu
seul
avait pu ^réer. La course avait rendu son visage
oleil. Elle voulut découvrir le monde. Le serpent la laissait souvent
seule
pour aller chasser et couper du bois : elle mit à
qui la guettaient à travers le feuillage. Le prince décida de rester
seul
pour savoir si l’étrange créature était mortelle
i Dieu soit avec elle et avec toi l › Le Cheikh de la Mosquée pouvait
seul
les entendre, car lui seul passait près du puits
ec toi l › Le Cheikh de la Mosquée pouvait seul les entendre, car lui
seul
passait près du puits avant le lever du soleil, à
fils du roi qu’elle avait reconnu. Settoute, la vieille sorcière, fut
seule
à lui barrer le chemin. Comme Mehend la bousculai
e quitte pas, toi que j’ai rencontré sur mon chemin alors que j’étais
seul
et loin de mon pays. Souviens-toi que sans toi je
orais-tu qu’aucun être au monde n’avait pouvoir de la sauver, que mon
seul
mérite, à moi pauvre prince, était de l'aimer plu
rangea (j’étais inexpérimenté et le poulain était fougueux). Settoute
seule
eut l’audace de me barrer le chemin. Elle me dit
malade d’amour mais résolu à découvrir Soumicha ou à mourir. Settoute
seule
pouvait m’aider mais comment l’y contraindre, sin
t le pêcheur levait sur lui son couteau, quand j’offris en échange le
seul
bien qui me restait : mon cheval. Et je demeurai
s en échange le seul bien qui me restait : mon cheval. Et je demeurai
seul
sur le rivage, avec mon poisson. Le souci, le déc
entrer à la maison. Comme ses parents s’étonnaient de le voir revenir
seul
, il leur raconta qu’il avait perdu de vue son frè
le vent les avait dispersés. Les bêtes les avaient emportés au loin.
Seul
restait encore l’os de l’avant-bras. Un jeune ber
ras sur notre mère, sur notre maison et sur nos biens. Et je partirai
seul
sur mon cheval d'éclairs et de vent. Je prendrai
s’étendirent au soleil dans le champ. Quand il ne leur resta plus une
seule
fève ni un seul petit pois, ils mangèrent la gale
oleil dans le champ. Quand il ne leur resta plus une seule fève ni un
seul
petit pois, ils mangèrent la galette, les œufs, l
ongea et la replongea désespérément : la marmite ne contenait plus un
seul
morceau de viande ! Alors, la malheureuse se souv
n. L’homme se remit à manger de plus belle. Quand il ne resta plus un
seul
morceau de viande ni un grain de couscous, l’homm
plat de bois qui avait contenu le festin : il était vide maintenant.
Seuls
quelques os fragiles et blancs traînaient au fond
ait un pauvre vieux qui s’entêtait à vivre et à attendre la mort tout
seul
dans sa masure. Il habitait en dehors du village.
ir au plus tôt son jeune ami. Il profita d’un matin où il se trouvait
seul
avec lui au jardin pour lui dire : — Avant qu’il
, rien ne nous séparera désormais. Il m'est dur, crois-moi, de dormir
seul
toutes les nuits dans cette fosse humide et noire
yeux que tout au monde. Plus chère que sa femme et que sa fille. Lui
seul
en approchait, lui donnait à boire et à manger, f
né. Au point du jour, les fauves se dispersèrent et la lapine demeura
seule
. Alors, elle leva son regard vers l’arbre et dit
et du travail? La vieille femme répondit : — Je suis âgée, fatiguée,
seule
au monde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur
m de Dieu I » Elle les accueillit, les aima et les adopta. Elle était
seule
au monde : en mourant, elle laissa tous ses biens
onnée I... Ali et sa femme s’enfonçaient de plus en plus. Leurs têtes
seules
dépassaient lorsque Reskia bondit vers son frère.
orde avec courage Et se regarde avec orgueil, Le rire des ennemis est
seul
redoutable. Comme une amulette d’argent Le bien-a
tu les verras accourir les uns après les autres pour se repaître. Un
seul
, parmi eux, approchera avec quelque inquiétude, c
ours trop gros le morceau de galette aux mains de l'orphelin. › Aîcha
seule
demeurait près de l'âtre et se contentait de pous
se dit : ‹ Quelle ruse me faudra-t-il encore inventer pour être enfin
seule
dans cette maison I › Des semaines s’écoulèrent d
tre et s’accusaient naïvement dans leur cœur de l’avoir si mal jugée.
Seule
Aïcha était clairvoyante. Le père fit avancer la
te. Le père fit avancer la mule et la caravane s'éloigna. Aïcha était
seule
à savoir ce que signifiaient ce voyage et l’allég
errière les rochers. Il appela, il appela désespérément, mais le vent
seul
lui répondit, un vent qui hurlait à la mort. Alor
fes : — O Moche, où que tu sois et quoi que tu fasses, tu n’es jamais
seul
. Ta queue est là qui t’accompagne et t’espionne.
des femmes qu’elles missent au monde des enfants sans répit. Or Dieu
seul
octroie les enfants, les octroie comme il l’enten
Aïcha, épousèrent des princes venus des royaumes voisins. Aïcha régna
seule
sur l'empire de Moche avec justice et amour. Mais
Dieu quelle est ma part ? Toutes mes compagnes se sont mariées Et moi
seule
suis restée. A certaines, tu as donné des beignet
sultan qui l'avait cru malade à mourir, en était fort aise. Settoute
seule
verdissait de jalousie (la vieille sorcière en vo
e mit à méditer. La nuit venait, une nuit fraîche. Cheikh Smaïn était
seul
avec le bruit ■des feuilles et du vent. Il n’avai
fils, répondit le vieillard, c’est Dieu qui t’envoie, car nous sommes
seuls
ma femme et moi. Nos champs sont vastes, tu les c
prenant la tête entre ses mains brunes. Nous avions si peur de mourir
seuls
. Pouvions-nous rêver d’un fils plus accompli ? El
est digne et juste que le sultan épouse les veuves de son fils I Une
seule
voix, inexorable et froide comme une lame, clama
ntre tes mains et me laisser enchaîner par la chaînette d’argent qui,
seule
, avait pouvoir de me réduire. Tu m’as eu donc à t
t descendu sur la terre ! Bien entendu, le figuier ne portait pas une
seule
figue. A l'heure chaude, l'ogresse passa. Il fais
uis purifié. Maintenant, je vais honorer Dieu. Je ne mangerai plus un
seul
rat. Je vais me marier et inviter mes amis et mêm
tir à notre guise car nous n’aurons plus à craindre, désormais, notre
seul
ennemi ! Pour faire honneur au Chat-pèlerin, les
de tentures écarlates ; il le garnit de coussins. Il ne laissa qu’une
seule
ouverture, celle par où devaient entrer les rats.
oustaches avec lenteur. Me voici de retour. N’ayez aucune inquiétude,
seul
le bien nous unira désormais. J’ai juré à la Mecq
suite tous les rats pris au piège qui tentaient vainement de fuir. Un
seul
rat (il était vieux) avait refusé d’entrer. Il se
t pas un ami I Des milliers de rats furent dévorés en deux jours. Lui
seul
survécut. Mon conte est comme un ruisseau, je l’a
le se réveilla très tard le lendemain et crut rêver quand elle se vit
seule
, dans un immense lit, parmi la soie, la fine lain
res, les agneaux et même l’âne — se mirent alors à chuchoter pour que
seule
Yamina les entende : — Tes parents feront ton mal
visage de l'époux, à demeurer fidèle à elle-même ? Hélas, elle était
seule
, toujours seule. Vint le jour où elle n’y tint pl
ux, à demeurer fidèle à elle-même ? Hélas, elle était seule, toujours
seule
. Vint le jour où elle n’y tint plus ; où tout lui
érobé son visage. Car il a changé de maître Et brisé son serment. Moi
seule
suis démente. Proverbes Le tronc veut marcher Mai
donne deux chevreaux. Mais si je suis absent : « Elle n’en a eu qu’un
seul
Et il était mort-né ! » Chant d'amour Mon cœur pl
oi riront. Ceux qui sont séparés se retrouveront Dans mon paradis, le
seul
éternel. Ne sois pas impatient, Ne désespère pas
ma vie bien-aimée, Aujourd'hui même, ils l'ont décidé, Mon Dieu, mon
seul
; pardon ! Chant satirique Mais qui donc a engend
Chant épique Depuis le commencement de l'année Nous n'avons connu un
seul
jour de gaieté. Nous voici muets comme des charog