la en maîtresse dans la maison des sept frères. La jeune fille dut la
servir
et mener les chameaux au pâturage. La négresse lu
I L’arbre suit sa racine. Guéris ou emporte ! Chant satirique Que te
sert
d'épier 0 coeur jaloux ? De soucis, de veilles Tu
de Dieu. C'est son odeur que tu sens. Tseriel s’avança et ordonna : —
Sers
-moi mon dîner ! Loundja le lui servit. Puis elle
. Tseriel s’avança et ordonna : — Sers-moi mon dîner ! Loundja le lui
servit
. Puis elle alla s'asseoir sur le plat de bois qui
ra. Au matin, lorsque la servante entra pour saluer les époux et leur
servir
leur déjeuner, elle découvrit la chienne veillant
lui laver le visage, les mains et les pieds. Il la fit asseoir et lui
servit
à manger. Elle mangea de la galette de blé et but
rivière avait dû l’emporter et qu’une crevasse devait sans doute lui
servir
de tombe. Les parents alarmés firent appel à leur
ndre, je le mangerais. — Tu auras, toi, du couscous de blé. L’Ogresse
servit
le dîner et ils s’installèrent tous les trois pou
targette. Aïcha entrait, balayait la masure, aérait le lit. Puis elle
servait
au vieillard son repas, lui versait à boire. Aprè
ami du jeune homme. L’ami souhaita la bienvenue aux visiteurs et leur
servit
un bon repas. Il les invita à séjourner chez lui
ieu à des réjouissances qui durèrent sept jours et sept nuits. Le roi
servit
un énorme festin. Durant plusieurs années, le pri
’arrêta devant la première maison pour demander l’hospitalité. On lui
servit
un bon repas et on lui prépara un lit. Au lever d
tent les figues sèches ? I e couffin qui n’a plus de fond, A quoi lui
servent
les anses 7 L’homme frappé de malédiction, Que pe
vos bijoux, enlevez-les et ne gardez que vos chemises. Cette corde me
servira
à vous descendre ; elle est solide et supporterai
pas, il la fouettait à tour de pattes. Tant que Aïcha n’eut pas à se
servir
du feu, elle ne s’inquiéta pas des menaces du cha
posé près de lui et quelques pierres. Mais pourrait-il seulement s’en
servir
? Il était aveugle... Soudain, il perçut très haut
hé les yeux du meilleur des princes et l’a conduit dans la forêt pour
servir
de pâture aux fauves I — Cheikh Smaïn a ses yeux
r de mourir seuls. Pouvions-nous rêver d’un fils plus accompli ? Elle
servit
, dans la pièce la plus claire, un grand plat de c
l contraignit le sultan à s'asseoir par terre comme un mendiant et se
servit
de son genou comme d’un billot pour couper la têt
: ses doigts rencontrèrent des feuilles d’oignons sauvages. Elle s’en
servit
pour lier l’outre qu’elle adossa au figuier. Et p
ils se mirent à manger de grand appétit. Velâjoudh versait la sauce,
servait
la viande, apportait à boire, veillait à tout. Le
mablement : — Quand vous aurez fini, mes tantes. Je veux d’abord vous
servir
I Non loin du foyer, dans la cour, les troncs d'a
fleur jaune couchée. Lorsqu’elle se réveilla, un goûter l’attendait,
servi
sur des feuilles de bananiers et de figuiers. Dev