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1 (1966) Le grain magique
et se déroule comme un long fil I Dans un village, autrefois, étaient sept frères. Ils se réunirent et se dirent : — Cette f
roit devant eux. Settoute avait menti. Elle voulait que s’exilent les sept frères. La famille s'était augmentée non d'un fil
sser I Settoute lui répondit : — Comment oses-tu parler, toi dont les sept frères se sont exilés le jour de ta naissance ? L
lui expliquât les paroles de Settoute. — Ma fille, avoua la mère, tes sept frères se sont dit : ‹Si un huitième garçon vient
à pied. Les voyageuses atteignirent enfin le village où vivaient les sept frères : on leur indiqua leur maison. Us étaient
réfléchirons. La négresse s’installa en maîtresse dans la maison des sept frères. La jeune fille dut la servir et mener les
a jeune fille se mettait à chanter d’une voix plaintive, entourée des sept chameaux confiés à sa garde : ‹ Elève-toi, élève-
s pressée). Elle m’a répondu : ‹ Comment oses-tu parler, toi dont les sept frères se sont exilés le jour de ta naissance ? ›
enue noire. Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus jeune des sept garçons se rendit auprès de ses frères et leur ré
désirons que, devant nous, vous teigniez vos cheveux au henné. › Les sept frères apportèrent le henné. La servante le pila,
oulard. Et une chevelure dressée vers le ciel, épineuse, apparut. Les sept garçons cernèrent la négresse et lui dirent d’un
aigna. Son visage et son corps redevinrent aussi clairs qu’avant. Les sept frères purent retourner à leur passe-temps favori
ssa. La jeune fille le coupa et en fit un plat qu’elle présenta à ses sept frères, lorsqu’ils rentrèrent de la chasse. Tous
squ’ils rentrèrent de la chasse. Tous mangèrent de grand appétit. Les sept garçons furent alors changés en ramiers et la jeu
, Je te donnerai des dents et une autre jeunesse. Tu pourras enfanter sept nouveaux enfants, Tous à l'image de Tifas. Mais s
Donne-moi ta fille pour mon fils. Le serpent répondit : — Roi, il y a sept ans qu'elle est venue à moi. Je l’ai élevée comme
s enfants qu’elle me donnerait. La jeune princesse eut successivement sept garçons, sept garçons à la chevelure d'or qui, to
lle me donnerait. La jeune princesse eut successivement sept garçons, sept garçons à la chevelure d'or qui, tous, lui furent
L’on raconte qu’aux temps anciens, il existait une veuve entourée de sept enfants, de sept enfants qui se suivaient de près
aux temps anciens, il existait une veuve entourée de sept enfants, de sept enfants qui se suivaient de près. Elle était très
de l’huile en échange. Elle parvenait ainsi à nourrir et à élever ses sept enfants. Quelques-uns la secondaient et venaient
les rires et des agnelets aussi. Les noces commencèrent qui durèrent sept jours et sept nuits. Car durant sept jours et sep
des agnelets aussi. Les noces commencèrent qui durèrent sept jours et sept nuits. Car durant sept jours et sept nuits, tambo
noces commencèrent qui durèrent sept jours et sept nuits. Car durant sept jours et sept nuits, tambourins et tambours, fifr
èrent qui durèrent sept jours et sept nuits. Car durant sept jours et sept nuits, tambourins et tambours, fifres et clarinet
t clarinettes, emplirent l’espace de chants et de rythmes. Car durant sept jours et sept nuits la poudre parla très haut, pr
emplirent l’espace de chants et de rythmes. Car durant sept jours et sept nuits la poudre parla très haut, propageant la jo
nt Settoute, la vieille sorcière, lui avait révélé l’existence. Voici sept ans que nous ne nous sommes quittés lui et moi et
mais pour moi, et il est retourné à son empire marin abandonné depuis sept ans, nous •laissant ta fille et moi, face à face,
éblouissait comme une lampe dans ses vêtements de noce. O roi, depuis sept ans il était mon ami et mon frère, il veillait su
devait sauver ta fille était devant moi ! Il devint mon frère. Durant sept années nous avons erré par le monde, à la recherc
andit. Il garda miraculeusement ses feuilles hiver comme été. Pendant sept ans, il ne donna que des fleurs. La mère confiant
. L’aîné, Abderahman, avait dix ans. Le plus 'jeune, Hacène, en avait sept à peine. Autant Hacène était beau, tendre, gracie
hèvre rétive. Il le ramassa et s’en fit une flûte. Quand il eut percé sept trous et taillé le bout, il voulut en tirer des s
oute la contrée ? L’un d’entre eux répondit : — C’est un dragon qui a sept têtes et une queue redoutable ; il se tient près
u l’animal qui se hasarde jusque-là est perdu : il est pris entre les sept têtes et la queue du dragon et, en un éclair, il
eval d’éclairs et de vent, et la ramena au palais. Les noces durèrent sept jours et sept nuits. Le sultan y convia tous ses
et de vent, et la ramena au palais. Les noces durèrent sept jours et sept nuits. Le sultan y convia tous ses sujets. Aux qu
ci I Il fut à son tour terrassé et tous le furent successivement. Les sept frères gisaient en désordre et Mehend les regarda
de l’époux. Les noces donnèrent lieu à des réjouissances qui durèrent sept jours et sept nuits. Le roi servit un énorme fest
s noces donnèrent lieu à des réjouissances qui durèrent sept jours et sept nuits. Le roi servit un énorme festin. Durant plu
ne fit qu'augmenter. Et le temps s’écoula. L’enfant avait maintenant sept ans. Sa mère lui dit un matin : — Ecoute, Vouïedh
roule comme un long fil ! L’on raconte qu’aux temps anciens, il était sept petites filles aussi gracieuses que des perdrix :
ent de près. L'ainée avait quinze ans. La plus jeune, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha aimait à se tenir près du feu, si
oyaux d’olives. Aïcha ouvrit la marche. Et à la tombée de la nuit les sept petites filles frappaient à la porte de leur père
le beurre de la maison si on ne l’avait modérée. Puis elle baigna les sept petites filles. Elle les habilla. les pomponna, l
use crevasse, et la marâtre exiger qu’il y précipitât, une à une, les sept petites filles, après les avoir dépouillées de le
crevasse et s'en revint honteux et craintif. Il venait de livrer ses sept filles à la mort et de les enterrer vives. Mais i
ts au bras. Ce jour-là encore la grotte retentit des cris de joie des sept petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nou
e sous leurs yeux étonnés. Un flot de soleil balaya le repaire et les sept filles s’échappèrent et coururent comme des gazel
détruisait troupeaux et enfants ? — Moche est mort ! annoncèrent les sept filles d'une voix forte. Moche a brûlé vif dans s
nouvelle, asseyez-vous pour que je vous raconte son histoire. Et les sept filles formèrent une guirlande autour du vieillar
é soit Dieu mille fois qui nous en a enfin délivrés, mes filles I Les sept filles retournèrent à leur nouvelle demeure avant
ikh Smain, mon fils, a résolu d’épouser votre sœur ou de mourir. ■Les sept frères allèrent chercher Roundja. Le sultan put a
t ses plus beaux atours et partit à la recherche de Roundja et de ses sept gardiens. — Le sultan arrive pour emmener sa bru
sultan arrive pour emmener sa bru ! annonça-t-elle d’un ton bref aux sept frères. Préparez-vous à le recevoir. Et elle s’en
nger de Cheikh Smaïn. —• Puisque c’est ainsi, se dirent mortifiés les sept frères, puisque le sultan néglige de nous préveni
au sultan que la fiancée de son fils avait quitté le royaume, que les sept frères avaient choisi de planter leur tente aux c
rs, le prince et son nègre fidèle prirent leur sabre et s’unirent aux sept frères. L’armée du roi des Impies fut décimée. Le
s’unirent aux sept frères. L’armée du roi des Impies fut décimée. Les sept frères, qui n’étaient pas des ingrats, se tournèr
sé devant l’entrée majestueuse son trône splendide qu’entouraient les sept Notables comme de blancs ramiers. Une immense cla
le contredire et ordonna à ses domestiques de le rouer de coups. Par sept fois les six premiers Notables déclarèrent : — La
èrent : — La loi de Dieu permet l’union du père avec ses brus. Et par sept fois, la voix du septième Notable clama de plus e
lus pathétique : — Dieu maudit l’union du père avec ses brus ! Et par sept fois, cet homme juste, fut roué de coups et couve
ttue Sous les yeux de toutes les voisines. Je lui souhaite d'enfanter sept filles Mangées de teigne par surcroît Mieux vaudr
é, ma sœur a rassemblé mes os 107 Le chêne de l’ogre      111 Les sept ogres      117 Histoire du coffre      129 O
n et du vol de perdrix         153 Histoire     de     Moche et des sept petites filles         159 Histoire     de    
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
cesse toutes les fées qu’on pust trouver dans le pays (il s’en trouva sept ), afin que, chacune d’elles luy faisant un don, c
or massif, comme aux autres, parce que l’on n’en avoit fait faire que sept , pour les sept fées. La vieille crût qu’on la mép
e aux autres, parce que l’on n’en avoit fait faire que sept, pour les sept fées. La vieille crût qu’on la méprisait, et grom
n fut avertie en un instant par un petit nain qui avoit des bottes de sept lieues (c’estoit des bottes avec lesquelles on fa
bottes de sept lieues (c’estoit des bottes avec lesquelles on faisoit sept lieues d’une seule enjambée). La fée partit aussi
iquet à la Houppe, car Riquet estoit le nom de la famille. Au bout de sept ou huit ans, la reine d’un royaume voisin accouch
POUCET   Il estoit une fois un Bucheron et une Bucheronne qui avoient sept enfans tous Garçons. L’aîné n’avoit que dix ans,
Garçons. L’aîné n’avoit que dix ans, et le plus jeune n’en avoit que sept. On s’estonnera que le Bucheron ait eu tant d’enfa
ait pas moins que deux à la fois. Ils estoient fort pauvres, et leurs sept enfans les incommodoient beaucoup, parce qu’aucun
a un peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. L’Ogre avoit sept filles qui n’étoient encore que des enfans. Ces p
g. On les avoit fait coucher de bonne heure, et elles estoient toutes sept dans un grand lit, ayant chacune une Couronne d’o
grandeur , ce fut dans ce lit que la femme de l’Ogre mit coucher les sept petits garçons , aprés quoi elle s’alla coucher a
freres et le sien, il alla tout doucement les mettre sur la teste des sept filles de l’Ogre aprés leur avoir osté leurs Cour
hardiment; en disant ces mots, il coupa sans balancer la gorge à ses sept filles. Fort content de cette expedition, il alla
elle monta en haut, où elle fut bien surprise lorsqu’elle aperçût ses sept filles égorgées et nageant dans leur sang. Elle c
de sa femme, et, l’ayant fait revenir , donne moy viste mes bottes de sept lieuës, luy dit-il, afin que j’aille les attrappe
t las du long chemin qu’il avoit fait inutilement, (car les bottes de sept lieuës fatiguent fort leur homme,) voulut se repo
Comme la chose presse beaucoup, il a voulu que je prise ses bottes de sept lieuës que voilà pour faire diligence, et aussi a
a vérité, il n’avoit pas fait conscience de luy prendre ses bottes de sept lieües, parce qu’il ne s’en servoit que pour cour
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