et se déroule comme un long fil I Dans un village, autrefois, étaient
sept
frères. Ils se réunirent et se dirent : — Cette f
roit devant eux. Settoute avait menti. Elle voulait que s’exilent les
sept
frères. La famille s'était augmentée non d'un fil
sser I Settoute lui répondit : — Comment oses-tu parler, toi dont les
sept
frères se sont exilés le jour de ta naissance ? L
lui expliquât les paroles de Settoute. — Ma fille, avoua la mère, tes
sept
frères se sont dit : ‹Si un huitième garçon vient
à pied. Les voyageuses atteignirent enfin le village où vivaient les
sept
frères : on leur indiqua leur maison. Us étaient
réfléchirons. La négresse s’installa en maîtresse dans la maison des
sept
frères. La jeune fille dut la servir et mener les
a jeune fille se mettait à chanter d’une voix plaintive, entourée des
sept
chameaux confiés à sa garde : ‹ Elève-toi, élève-
s pressée). Elle m’a répondu : ‹ Comment oses-tu parler, toi dont les
sept
frères se sont exilés le jour de ta naissance ? ›
enue noire. Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus jeune des
sept
garçons se rendit auprès de ses frères et leur ré
désirons que, devant nous, vous teigniez vos cheveux au henné. › Les
sept
frères apportèrent le henné. La servante le pila,
oulard. Et une chevelure dressée vers le ciel, épineuse, apparut. Les
sept
garçons cernèrent la négresse et lui dirent d’un
aigna. Son visage et son corps redevinrent aussi clairs qu’avant. Les
sept
frères purent retourner à leur passe-temps favori
ssa. La jeune fille le coupa et en fit un plat qu’elle présenta à ses
sept
frères, lorsqu’ils rentrèrent de la chasse. Tous
squ’ils rentrèrent de la chasse. Tous mangèrent de grand appétit. Les
sept
garçons furent alors changés en ramiers et la jeu
, Je te donnerai des dents et une autre jeunesse. Tu pourras enfanter
sept
nouveaux enfants, Tous à l'image de Tifas. Mais s
Donne-moi ta fille pour mon fils. Le serpent répondit : — Roi, il y a
sept
ans qu'elle est venue à moi. Je l’ai élevée comme
s enfants qu’elle me donnerait. La jeune princesse eut successivement
sept
garçons, sept garçons à la chevelure d'or qui, to
lle me donnerait. La jeune princesse eut successivement sept garçons,
sept
garçons à la chevelure d'or qui, tous, lui furent
L’on raconte qu’aux temps anciens, il existait une veuve entourée de
sept
enfants, de sept enfants qui se suivaient de près
aux temps anciens, il existait une veuve entourée de sept enfants, de
sept
enfants qui se suivaient de près. Elle était très
de l’huile en échange. Elle parvenait ainsi à nourrir et à élever ses
sept
enfants. Quelques-uns la secondaient et venaient
les rires et des agnelets aussi. Les noces commencèrent qui durèrent
sept
jours et sept nuits. Car durant sept jours et sep
des agnelets aussi. Les noces commencèrent qui durèrent sept jours et
sept
nuits. Car durant sept jours et sept nuits, tambo
noces commencèrent qui durèrent sept jours et sept nuits. Car durant
sept
jours et sept nuits, tambourins et tambours, fifr
èrent qui durèrent sept jours et sept nuits. Car durant sept jours et
sept
nuits, tambourins et tambours, fifres et clarinet
t clarinettes, emplirent l’espace de chants et de rythmes. Car durant
sept
jours et sept nuits la poudre parla très haut, pr
emplirent l’espace de chants et de rythmes. Car durant sept jours et
sept
nuits la poudre parla très haut, propageant la jo
nt Settoute, la vieille sorcière, lui avait révélé l’existence. Voici
sept
ans que nous ne nous sommes quittés lui et moi et
mais pour moi, et il est retourné à son empire marin abandonné depuis
sept
ans, nous •laissant ta fille et moi, face à face,
éblouissait comme une lampe dans ses vêtements de noce. O roi, depuis
sept
ans il était mon ami et mon frère, il veillait su
devait sauver ta fille était devant moi ! Il devint mon frère. Durant
sept
années nous avons erré par le monde, à la recherc
andit. Il garda miraculeusement ses feuilles hiver comme été. Pendant
sept
ans, il ne donna que des fleurs. La mère confiant
. L’aîné, Abderahman, avait dix ans. Le plus 'jeune, Hacène, en avait
sept
à peine. Autant Hacène était beau, tendre, gracie
hèvre rétive. Il le ramassa et s’en fit une flûte. Quand il eut percé
sept
trous et taillé le bout, il voulut en tirer des s
oute la contrée ? L’un d’entre eux répondit : — C’est un dragon qui a
sept
têtes et une queue redoutable ; il se tient près
u l’animal qui se hasarde jusque-là est perdu : il est pris entre les
sept
têtes et la queue du dragon et, en un éclair, il
eval d’éclairs et de vent, et la ramena au palais. Les noces durèrent
sept
jours et sept nuits. Le sultan y convia tous ses
et de vent, et la ramena au palais. Les noces durèrent sept jours et
sept
nuits. Le sultan y convia tous ses sujets. Aux qu
ci I Il fut à son tour terrassé et tous le furent successivement. Les
sept
frères gisaient en désordre et Mehend les regarda
de l’époux. Les noces donnèrent lieu à des réjouissances qui durèrent
sept
jours et sept nuits. Le roi servit un énorme fest
s noces donnèrent lieu à des réjouissances qui durèrent sept jours et
sept
nuits. Le roi servit un énorme festin. Durant plu
ne fit qu'augmenter. Et le temps s’écoula. L’enfant avait maintenant
sept
ans. Sa mère lui dit un matin : — Ecoute, Vouïedh
roule comme un long fil ! L’on raconte qu’aux temps anciens, il était
sept
petites filles aussi gracieuses que des perdrix :
ent de près. L'ainée avait quinze ans. La plus jeune, Aîcha, en avait
sept
à peine. Aicha aimait à se tenir près du feu, si
oyaux d’olives. Aïcha ouvrit la marche. Et à la tombée de la nuit les
sept
petites filles frappaient à la porte de leur père
le beurre de la maison si on ne l’avait modérée. Puis elle baigna les
sept
petites filles. Elle les habilla. les pomponna, l
use crevasse, et la marâtre exiger qu’il y précipitât, une à une, les
sept
petites filles, après les avoir dépouillées de le
crevasse et s'en revint honteux et craintif. Il venait de livrer ses
sept
filles à la mort et de les enterrer vives. Mais i
ts au bras. Ce jour-là encore la grotte retentit des cris de joie des
sept
petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nou
e sous leurs yeux étonnés. Un flot de soleil balaya le repaire et les
sept
filles s’échappèrent et coururent comme des gazel
détruisait troupeaux et enfants ? — Moche est mort ! annoncèrent les
sept
filles d'une voix forte. Moche a brûlé vif dans s
nouvelle, asseyez-vous pour que je vous raconte son histoire. Et les
sept
filles formèrent une guirlande autour du vieillar
é soit Dieu mille fois qui nous en a enfin délivrés, mes filles I Les
sept
filles retournèrent à leur nouvelle demeure avant
ikh Smain, mon fils, a résolu d’épouser votre sœur ou de mourir. ■Les
sept
frères allèrent chercher Roundja. Le sultan put a
t ses plus beaux atours et partit à la recherche de Roundja et de ses
sept
gardiens. — Le sultan arrive pour emmener sa bru
sultan arrive pour emmener sa bru ! annonça-t-elle d’un ton bref aux
sept
frères. Préparez-vous à le recevoir. Et elle s’en
nger de Cheikh Smaïn. —• Puisque c’est ainsi, se dirent mortifiés les
sept
frères, puisque le sultan néglige de nous préveni
au sultan que la fiancée de son fils avait quitté le royaume, que les
sept
frères avaient choisi de planter leur tente aux c
rs, le prince et son nègre fidèle prirent leur sabre et s’unirent aux
sept
frères. L’armée du roi des Impies fut décimée. Le
s’unirent aux sept frères. L’armée du roi des Impies fut décimée. Les
sept
frères, qui n’étaient pas des ingrats, se tournèr
sé devant l’entrée majestueuse son trône splendide qu’entouraient les
sept
Notables comme de blancs ramiers. Une immense cla
le contredire et ordonna à ses domestiques de le rouer de coups. Par
sept
fois les six premiers Notables déclarèrent : — La
èrent : — La loi de Dieu permet l’union du père avec ses brus. Et par
sept
fois, la voix du septième Notable clama de plus e
lus pathétique : — Dieu maudit l’union du père avec ses brus ! Et par
sept
fois, cet homme juste, fut roué de coups et couve
ttue Sous les yeux de toutes les voisines. Je lui souhaite d'enfanter
sept
filles Mangées de teigne par surcroît Mieux vaudr
é, ma sœur a rassemblé mes os 107 Le chêne de l’ogre 111 Les
sept
ogres 117 Histoire du coffre 129 O