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1 (1966) Le grain magique
’autre Dieu qu’Allah.) Proverbes Qui osera dire au lion : ‹ ta bouche sent mauvais ? » Tu m'as vendu des oignons pourris Je
près avoir été tout blanc, tu ne serais pas devenu tout noir et tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau partit l’aile bass
fille éclipsera la tienne. Et la jeune femme, en entendant ces mots, sentait le poignard de la jalousie la transpercer. Elle s
e pleurer. Entendant le serpent lui parler un langage humain, elle se sentit rassurée. Elle lui dit : — Je tenais une pelote d
Que l'aurore à sa montée. A mon appel, elle s’est retournée. Et j’ai senti qu'elle me reconnaissait. Elle a souri, Comme un
s arbres. Le froid allait être bientôt là, sur le seuil ; la veuve le sentait . Aussi avait-elle mis sur le métier une belle cou
ud l’hiver et passait-elle ses veillées à tisser. Une nuit, elle crut sentir dans l’air comme l’odeur des olives et de la neig
une bûche et de hautes flammes jaillirent. Un moment après, la veuve sentit une démangeaison à la tête. Elle saisit par le mi
Ah I la la Ne l’épouse pas Ah I la la Epousailles de vieux Ah I la la Sentent le crapaud Ah I la la. Epousailles de jouvenceau
nades. Et chaque fois que la marâtre posait sur eux ses yeux, elle se sentait mourir de jalousie. Aussi, un soir, dit-elle à sa
ne possédait plus que ce poisson. Il s’endormit. Dans son sommeil, il sentit une main se poser doucement sur son épaule et il
forme d'un énorme poisson. Et je riais de ma métamorphose quand je me sentis emprisonné dans le filet d’un pêcheur, tiré hors
et aux veaux. Et le voyage reprit encore plus lentement. Les jumeaux sentaient déjà l’odeur de la terre natale. Ils allaient, il
mme devenait soupçonneux. Elle dut finir par dire, le jour où elle se sentit acculée : — Je ne sais ce que le petit est devenu
forêt était là, tout près, et le gibier y abondait. Le jeune homme se sentit profondément heureux. Il se rendit auprès de sa b
x poils dérobés à la moustache du lion. » L’Ogre et la jeune femme se sentirent heureux et insouciants tout le jour, tant ils éta
hés 'à la moustache du lion, qui puisse peut-être me ranimer ! Mehend sentit la joie le déserter pour toujours. Il se leva dès
z lui, le jeune homme fit une halte auprès de son ami. Le Sage qui le sentait désemparé et sombre offrit de le raccompagner. Il
auvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde : elle se sentait bien lasse et la petite fille aussi. La nuit les
un peu de moelle et poursuivit son voyage. Elle suivait l’ombre et se sentait plus courageuse parce qu’elle avait laissé derriè
i caresser les cheveux. Il demeura là, immobile, jusqu’à ce qu’il eût senti la vie frémir en elle. Et puis il se leva. Il att
te... Si tu veux t’en convaincre, appuie ta joue sur son ventre et tu sentiras le frémissement de la vie. » Ce sont les serpents
t tu sentiras le frémissement de la vie. » Ce sont les serpents qu’il sentit frémir, mais il crut à autre chose... Et c'est ai
lors lève-toi. Tu courras comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te sentiras des ailes. Tu ne sauras comment me témoigner ta g
on âge et du mauvais traitement qu’il venait de subir, les perdrix se sentirent largement payées de leur peine. — Que Dieu vous b
puissance et de ses richesses, il était malheureux. Un jour qu’il se sentait le plus pauvre des hommes, il partit dès l'aube e
e sultan pâlit de stupeur et d'envie. Il en mangea tout de travers et sentit les griffes de la jalousie le lacérer. Car loin d
n échappa à cette mort qui paraissait si sûre. Mais plus le sultan se sentait impuissant contre son fils et les forces qui le p
rent-elles avec tristesse, le maître est bien mort. Aussi, dès que tu sentiras ta force faiblir, ne manque pas de nous prévenir,
e femme. Comme dans l’Arche de Noé, belle-mère et bru ne pouvaient se sentir et le moindre incident allumait d’interminables d
e serais-je plus heureuse dans mon jardin?» Mais là encore elle ne se sentit pas mieux car ni les fleurs, ni les fruits qui pe
gère qui lui annonçait chaque nuit le retour de son mari. Dès qu’elle sentit l’Oiseau de l’Orage sur le seuil, elle voulut déc
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
roy, à qui elle estoit reservée. » Le jeune prince, à ce discours, se sentit tout de feu ; il crut, sans balancer, qu’il mettr
à la Houppe qu’elle l’épouseroit dans un an à pareil jour qu’elle se sentit tout autre qu’elle n’estoit auparavant : elle se
uy dit sa femme, que ce soit ce Veau que je viens d’habiller que vous sentez . Je sens la chair frâiche, te disje encore une fo
dormoient tous excepté le petit Poucet, qui eut bien peur lors qu’il sentit la main de l’Ogre qui luy tastoit la teste, comme
la teste, comme il avoit tasté celle de tous ses freres. L’Ogre, qui sentit les Couronnes d’or ; vrayment, dit-il, j’allois f
us trop hier au soir. Il alla ensuite au lit de ses filles, où ayant senti les petits bonnets des garçons. Ah , les voilà, d
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