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1 (1966) Le grain magique
r de maïs. Son compagnon était brun et de taille imposante. Son front semblait se perdre dans les nues et ses yeux étaient d’un
protection de Dieu. Peu après il était au chevet de la princesse qui semblait dormir. Il lui dit : — O Soumicha, plus belle que
es aux mendiants et fit des dons aux mosquées. Car à chacun le sultan semblait dire : ‹ O toi qui as partagé ma peine, viens et
grand mal qui, s'il ne l’emporta pas, la laissa infirme. Le pire qui semblait supporter plus vaillamment sa peine, ne tarda pas
. Il prit dans ses bras la jeune fille si belle qu’autour d’elle tout semblait plus lumineux. Il l’éleva dans les airs, l’assit
il voyagea la nuit et le jour, les yeux attachés sur son lévrier qui semblait voler tant il courait. Tout à l'espoir de retrouv
très doucement et lui remit les pommes enchantées. Elle en mangea et sembla revenir à la vie, ce qui rassura Mehend. Elle ret
r et ses cheveux défaits la couvraient d’or jusqu’à la taille. L’Ogre semblait occuper tout l’espace. Sa tête monstrueuse frôlai
-moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», pour que le chemin te semble plus court. Tout comme tu lui as dit, lorsque vou
us ce toit, si tes filles y demeurent. Le père baissa la tête. Il lui semblait que la terre se creusait sous lui, car il aimait
ailleur dormaient quand le menuisier remarqua un frêle arbrisseau qui semblait danser sous la lune. Il le coupa et se mit à le s
ble : — Mon fils, est-ce l'effet de la vieillesse?-... les soirées me semblent bien longues. Demain, ne pourrais-tu venir passer
dans sa demeure splendide et jusque dans son jardin. Les journées lui semblaient longues. Elle n’avait plus conscience de son bonh
ule, toujours seule. Vint le jour où elle n’y tint plus ; où tout lui sembla préférable au sort qui était le sien. Elle regagn
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
On ne trouve plus de femelle Qui dormist si tranquillement. La fable semble encor vouloir nous faire entendre Que souvent de
ormité de son corps ny la laideur de son visage ; que sa bosse ne lui sembla plus que le bon air d’un homme qui fait le gros d
mit à table. Le Mouton estoit encore tout sanglant, mais il ne luy en sembla que meilleur. Il flairoit à droite et à gauche, d
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