lement transcrites et mises à l’abri — la venue d’un être joignant au
savoir
la probité la plus absolue et le respect des trad
ns le connaître. › Voici quinze ans qu’ils sont partis et que nous ne
savons
rien d’eux. La jeune fille déclara : — Je vais me
eil comme sang. — J'ai perdu mon chemin, dit le jeune homme, et je ne
sais
où aller. Ne pourrais-tu me donner asile pour cet
nduise vers eux ? Elle répondit : — Je m’appelle Jedjigha, mais je ne
sais
ni le nom de mes parents ni celui de mon village.
ettaient à travers le feuillage. Le prince décida de rester seul pour
savoir
si l’étrange créature était mortelle ou fée. La j
'avaient plus que leur père. Ils se serrèrent contre lui. Mais lui ne
savait
pas prendre soin d’eux et Aïcha, la fillette, éta
rva mais n’approcha pas. Elle dit à sa mère en rentrant : — Maman, je
sais
maintenant pourquoi ils sont si blancs et si rose
re s'avança vers lui et déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne
saurait
vivre dans ma maison. Homme, tu la vendras. Tu la
s à la vendre, tu l’égorgeras. Car la vache qui a frappé ma fille, ne
saurait
vivre dans ma maison. Il égorgea la vache. Les or
e mère, que l’on pose le plat à galette I Settoute répondit : — Je ne
sais
comment m’y prendre, mon enfant. Je n’y vois gout
gazelle? C'est le frère de ma jeune femme, répondit le sultan. Je ne
sais
ce qu'il a bu ou mangé qui l’a ainsi changé en ga
de mauvais présage? demandèrent à un passant les deux amis. — Vous ne
savez
donc pas? s’étonna le passant. Sans doute êtes-vo
que j’étais seul et loin de mon pays. Souviens-toi que sans toi je ne
saurais
trouver celle que je cherche. — Ne crains rien, r
volèrent à tire d’aile vers la chambre de Soumicha. Alors, les hommes
surent
que le temps de la confiance était revenu : ils s
et la nôtre, ô roi, est le Génie de la mer. Il l’a conquise comme tu
sais
, non pour lui mais pour moi, et il est retourné à
vie de le quitter pour courir le monde ne pût me venir jamais I II ne
savait
pas que Dieu avait décidé de me révéler la splend
quitté ma cellule et me suis trouvé dans l’écurie de mon père, je ne
saurais
le dire, ô roi ! A peine étais-je conscient de ce
s va nous revenir. Peut-être même est-il déjà en route ! Le sultan ne
sut
que répondre. Mais telle était la certitude de sa
ssons tes prouesses ; tu as tué un tigre, un lion. Mais nous, nous ne
savons
quel fauve (tigre, lion ou panthère) nous décime
énétra. Un crieur public y clamait par les chemins : — Le sultan fait
savoir
: ‹ A celui qui délivrera mon royaume du dragon-a
el et plus chère que mon royaume et tous les royaumes de la terre. Je
savais
ton frère grand chasseur. Je lui dis un jour : ‹
Elle dut finir par dire, le jour où elle se sentit acculée : — Je ne
sais
ce que le petit est devenu. Ma mère m’a dit qu'il
trembler. Mais l’homme perdit à jamais le goût de vivre. PROVERBE Qui
sait
la vérité ?... Celui qui a frappé Et celui qui a
eillard le reconnut encore. — Eloigne-toi, maudit 1 lui cria-t-il. Je
sais
qui tu es. L’Ogre s’en retourna chez lui. Il mang
verbe Elle voulait imiter la démarche de la perdrix, Et elle n’a plus
su
retrouver celle de la poule. LES SEPT OGRES
r une vagabonde rencontrée par hasard sur le chemin et de qui nous ne
savons
rien, je ne puis le tolérer : l'honneur nous le d
qu’un, toi et moi. Car il croyait être aimé de la jeune fille. Il ne
savait
pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils parcoururent u
e au cœur noir? Comment peux-tu être encore ébloui par son visage? Ne
sais
-tu pas qu'elle en veut à ta vie? — Si tu es mon a
malade à mourir et dis-lui : «Ma dernière heure est arrivée. Rien ne
saurait
peut-être me sauver qu’un peu de lait de lionne d
ouze branches et dont chaque branche porte trente feuilles ? Aucun ne
sut
répondre. Tous les hommes restèrent muets. Le mar
t aussi d’un air grave : — Souviens-toi bien de ceci : le jour où ton
savoir
dépassera le mien, ce jour-là nous nous sépareron
enus le jour de nos épousailles?... Je t'ai déclaré : «Le jour où ton
savoir
se révélera plus grand que le mien, ce jour-là no
man. La mère à son tour parla. Elle dit : — Il y a huit ans que je ne
sais
rien de mon frère, laisse-nous partir et Dieu t’e
ans que je ne sais rien de mon frère, laisse-nous partir et Dieu t’en
saura
gré. Le père la regarda et ne dit mot. Reskia se
comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te sentiras des ailes. Tu ne
sauras
comment me témoigner ta gratitude. Le lion était
sembler une centaine de ses frères et leur annonça joyeusement : — Je
sais
un figuier couvert de figues mûres à point, de fi
es Seigneurs. Proverbes — Mon père, on nous a battus. — Mon fils, ils
savaient
ce que nous sommes ! Il a commencé par être adult
ère fit avancer la mule et la caravane s'éloigna. Aïcha était seule à
savoir
ce que signifiaient ce voyage et l’allégresse de
qui vous aventurez dans la ville que Moche-le- Cruel a dévastée ? Ne
savez
-vous pas que tous les habitants ont fui devant lu
me que la terre avait englouti. Les orphelines l’habitèrent et firent
savoir
à tout le pays que Moche-le-Maudit était mort et
ner De la plaine à la plaine ? Nous verrions la gloire du monde Tu le
sais
, la mort est là. Ma mère, le fleuve m'a emportée.
dit : ‹ Elle est à moi, car je lui ai donné l'âme. » Bougie, toi qui
sais
, dis-nous à qui est cette femme. Cheikh Smain alo
r en perdre à nouveau le boire et le manger. Il fit même discrètement
savoir
à ses sujets : ‹ Celui qui osera dire à mon fils
rée. Le nègre dit : — Où as-tu pris l’audace d’arriver jusqu’ici ? Ne
sais
-tu pas que c’est moi qui ai ruiné cette cité ? —
le prince se tournant vers la vieille femme, demanda : — Notre mère,
sais
-tu si des étrangers sont venus ici s’ins taller d
e j’ai dû de ne pas mourir, percé de toutes parts. Enfin, tu as voulu
savoir
ce qui pourrait me rendre aussi impuissant et ino
doucement la jeune fille sur le seuil de la maison familiale. Yamina
savait
que son père et sa mère ne manquaient jamais la p
une ou laid à s'en voiler la face ? Yamina finit par avouer : — Je ne
sais
comment il est car je ne l’ai jamais vu ! Ses sœu
d’or n’avaient pouvoir de la sauver : Yamina n’était pas heureuse et
savait
maintenant la raison de son malheur. Elle était t
chevelure pour que nous la tressions. Que celui qui tire sur la corde
Sache
que j’en tiens le bout. Le lion devenu vieux, Les
le meilleur Ta volonté doit s'accomplir. Elle doit s’accomplir, je le
sais
, Mais daigne me consoler Toi qui m’as tout donné,
i j'ai un ami qu'il pleure ! Proverbe Les dents ont beau rire Le cœur
sait
la blessure qu’il porte. Appel a la joib Aubade r
a "poésie ininterrompue". » Georges Heinein, Jeune Afrique. « Il faut
savoir
gré à M.-Taos Amrouche de nous avoir donné ces ad