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1 (1966) Le grain magique
lement transcrites et mises à l’abri — la venue d’un être joignant au savoir la probité la plus absolue et le respect des trad
ns le connaître. › Voici quinze ans qu’ils sont partis et que nous ne savons rien d’eux. La jeune fille déclara : — Je vais me
eil comme sang. — J'ai perdu mon chemin, dit le jeune homme, et je ne sais où aller. Ne pourrais-tu me donner asile pour cet
nduise vers eux ? Elle répondit : — Je m’appelle Jedjigha, mais je ne sais ni le nom de mes parents ni celui de mon village.
ettaient à travers le feuillage. Le prince décida de rester seul pour savoir si l’étrange créature était mortelle ou fée. La j
'avaient plus que leur père. Ils se serrèrent contre lui. Mais lui ne savait pas prendre soin d’eux et Aïcha, la fillette, éta
rva mais n’approcha pas. Elle dit à sa mère en rentrant : — Maman, je sais maintenant pourquoi ils sont si blancs et si rose
re s'avança vers lui et déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait vivre dans ma maison. Homme, tu la vendras. Tu la
s à la vendre, tu l’égorgeras. Car la vache qui a frappé ma fille, ne saurait vivre dans ma maison. Il égorgea la vache. Les or
e mère, que l’on pose le plat à galette I Settoute répondit : — Je ne sais comment m’y prendre, mon enfant. Je n’y vois gout
gazelle? C'est le frère de ma jeune femme, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou mangé qui l’a ainsi changé en ga
de mauvais présage? demandèrent à un passant les deux amis. — Vous ne savez donc pas? s’étonna le passant. Sans doute êtes-vo
que j’étais seul et loin de mon pays. Souviens-toi que sans toi je ne saurais trouver celle que je cherche. — Ne crains rien, r
volèrent à tire d’aile vers la chambre de Soumicha. Alors, les hommes surent que le temps de la confiance était revenu : ils s
et la nôtre, ô roi, est le Génie de la mer. Il l’a conquise comme tu sais , non pour lui mais pour moi, et il est retourné à
vie de le quitter pour courir le monde ne pût me venir jamais I II ne savait pas que Dieu avait décidé de me révéler la splend
quitté ma cellule et me suis trouvé dans l’écurie de mon père, je ne saurais le dire, ô roi ! A peine étais-je conscient de ce
s va nous revenir. Peut-être même est-il déjà en route ! Le sultan ne sut que répondre. Mais telle était la certitude de sa
ssons tes prouesses ; tu as tué un tigre, un lion. Mais nous, nous ne savons quel fauve (tigre, lion ou panthère) nous décime
énétra. Un crieur public y clamait par les chemins : — Le sultan fait savoir : ‹ A celui qui délivrera mon royaume du dragon-a
el et plus chère que mon royaume et tous les royaumes de la terre. Je savais ton frère grand chasseur. Je lui dis un jour : ‹
Elle dut finir par dire, le jour où elle se sentit acculée : — Je ne sais ce que le petit est devenu. Ma mère m’a dit qu'il
trembler. Mais l’homme perdit à jamais le goût de vivre. PROVERBE Qui sait la vérité ?... Celui qui a frappé Et celui qui a
eillard le reconnut encore. — Eloigne-toi, maudit 1 lui cria-t-il. Je sais qui tu es. L’Ogre s’en retourna chez lui. Il mang
verbe Elle voulait imiter la démarche de la perdrix, Et elle n’a plus su retrouver celle de la poule. LES SEPT OGRES
r une vagabonde rencontrée par hasard sur le chemin et de qui nous ne savons rien, je ne puis le tolérer : l'honneur nous le d
qu’un, toi et moi. Car il croyait être aimé de la jeune fille. Il ne savait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils parcoururent u
e au cœur noir? Comment peux-tu être encore ébloui par son visage? Ne sais -tu pas qu'elle en veut à ta vie? — Si tu es mon a
malade à mourir et dis-lui : «Ma dernière heure est arrivée. Rien ne saurait peut-être me sauver qu’un peu de lait de lionne d
ouze branches et dont chaque branche porte trente feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les hommes restèrent muets. Le mar
t aussi d’un air grave : — Souviens-toi bien de ceci : le jour où ton savoir dépassera le mien, ce jour-là nous nous sépareron
enus le jour de nos épousailles?... Je t'ai déclaré : «Le jour où ton savoir se révélera plus grand que le mien, ce jour-là no
man. La mère à son tour parla. Elle dit : — Il y a huit ans que je ne sais rien de mon frère, laisse-nous partir et Dieu t’e
ans que je ne sais rien de mon frère, laisse-nous partir et Dieu t’en saura gré. Le père la regarda et ne dit mot. Reskia se
comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te sentiras des ailes. Tu ne sauras comment me témoigner ta gratitude. Le lion était
sembler une centaine de ses frères et leur annonça joyeusement : — Je sais un figuier couvert de figues mûres à point, de fi
es Seigneurs. Proverbes — Mon père, on nous a battus. — Mon fils, ils savaient ce que nous sommes ! Il a commencé par être adult
ère fit avancer la mule et la caravane s'éloigna. Aïcha était seule à savoir ce que signifiaient ce voyage et l’allégresse de
qui vous aventurez dans la ville que Moche-le- Cruel a dévastée ? Ne savez -vous pas que tous les habitants ont fui devant lu
me que la terre avait englouti. Les orphelines l’habitèrent et firent savoir à tout le pays que Moche-le-Maudit était mort et
ner De la plaine à la plaine ? Nous verrions la gloire du monde Tu le sais , la mort est là. Ma mère, le fleuve m'a emportée.
dit : ‹ Elle est à moi, car je lui ai donné l'âme. » Bougie, toi qui sais , dis-nous à qui est cette femme. Cheikh Smain alo
r en perdre à nouveau le boire et le manger. Il fit même discrètement savoir à ses sujets : ‹ Celui qui osera dire à mon fils
rée. Le nègre dit : — Où as-tu pris l’audace d’arriver jusqu’ici ? Ne sais -tu pas que c’est moi qui ai ruiné cette cité ? —
le prince se tournant vers la vieille femme, demanda : — Notre mère, sais -tu si des étrangers sont venus ici s’ins taller d
e j’ai dû de ne pas mourir, percé de toutes parts. Enfin, tu as voulu savoir ce qui pourrait me rendre aussi impuissant et ino
doucement la jeune fille sur le seuil de la maison familiale. Yamina savait que son père et sa mère ne manquaient jamais la p
une ou laid à s'en voiler la face ? Yamina finit par avouer : — Je ne sais comment il est car je ne l’ai jamais vu ! Ses sœu
d’or n’avaient pouvoir de la sauver : Yamina n’était pas heureuse et savait maintenant la raison de son malheur. Elle était t
chevelure pour que nous la tressions. Que celui qui tire sur la corde Sache que j’en tiens le bout. Le lion devenu vieux, Les
le meilleur Ta volonté doit s'accomplir. Elle doit s’accomplir, je le sais , Mais daigne me consoler Toi qui m’as tout donné,
i j'ai un ami qu'il pleure ! Proverbe Les dents ont beau rire Le cœur sait la blessure qu’il porte. Appel a la joib Aubade r
a "poésie ininterrompue". » Georges Heinein, Jeune Afrique. « Il faut savoir gré à M.-Taos Amrouche de nous avoir donné ces ad
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