t à moi, de lui exprimer ici notre gratitude pour nous avoir aidées à
sauver
de l’oubli ces chants dont la lumière chemine ver
ée. Ma fille, ô ma tille Ah I la la Se sont-ils présentés? Me suis-je
sauvée
? Ma mère, ô ma mère Ah I la la Tu dois me secour
En pleine inconscience. Le tabac de Cheikh Amar Réveille et cingle Et
sauve
qui le prise. Ma mère j’ai mâché de la braise J'a
ucon. Alors, se tournant vers la princesse médusée, celui qui l’avait
sauvée
lui dit : — Jeune fille plus belle que lune en pl
. Sans doute ignorais-tu qu’aucun être au monde n’avait pouvoir de la
sauver
, que mon seul mérite, à moi pauvre prince, était
sson avait disparu, mais le jeune homme aux yeux de faucon qui devait
sauver
ta fille était devant moi ! Il devint mon frère.
e tranchant et blême comme une pierre faisait peur aux enfants qui sc
sauvaient
, comme des oiseaux effarouchés, dès qu’ils l’aper
alé. Mais, si tu parviens à la surprendre et à lui fendre la tête, tu
sauveras
ton frère car alors tu n’auras qu’à ouvrir avec d
e Subtil disait à l’Innocent : — Va voir un peu si l’âne ne s’est pas
sauvé
. Et l’Innocent répondait : — Il est toujours à la
que se missent à crier toutes les bêtes qu'elle avait mangées pour se
sauver
. Ce n’est que tard dans la nuit qu’il entendit l’
et le veau beugler. Alors j'ai réveillé mon frère et nous nous sommes
sauvés
. Le père leur dit : — Ce qui est passé est passé
ix : — Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba 1 —
Sauve
-toi, maudit ! lui répondit le vieux. Crois-tu que
is-lui : «Ma dernière heure est arrivée. Rien ne saurait peut-être me
sauver
qu’un peu de lait de lionne dans une outre en pea
teint les épaules Sa maison est pleine et regorge, Que ses mérites le
sauvent
. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort ar
le portait en elle et le donna à la lapine. La petite fille aussi fut
sauve
. La lapine lui ternit le nouveau-né après bien de
xé les cent queues, il s’éloigna et se mit à crier comme un brûlé : —
Sauve
qui peut ! le propriétaire de l'arbre est là ! Le
sang parmi tes proches et cette fois je crains que rien ne puisse te
sauver
I Et il avait été assez insensé pour répondre enc
er la vie? Tu as d’abord eu recours au poison ; un anneau magique m'a
sauvé
. Alors, tu as imaginé de me faire tomber dans une
l’enferma dans l’outre qu’elle noua solidement. — Cette fois tu ne te
sauveras
pas ! dit-elle en jetant à la hâte Poutre sur son
bitants de la terre, dit-il, ce foie qui m’a défendu, ce foie qui m’a
sauvé
, c’est celui même de ma mère que je viens de tuer
es oiseaux, les poissons et les insectes d’or n’avaient pouvoir de la
sauver
: Yamina n’était pas heureuse et savait maintenan