sser dans la montagne. Ils tuèrent une perdrix. Ils l’égorgèrent, son
sang
coula sur la neige et l’empourpra. L’un dit : — H
qui épouserait une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme
sang
! L’autre répondit : — Il n’y a que Loundja, la f
e de Tseriel, qui soit ainsi : blanche comme neige et vermeille comme
sang
. ’ — Et où se trouve cette Loundja fille de Tseri
ui qui rêvait d’une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme
sang
abandonna la perdrix à son compagnon, mit son fus
vait pu la créer : son teint était blanc comme neige et vermeil comme
sang
. — J'ai perdu mon chemin, dit le jeune homme, et
que fuyait la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme
sang
. L’ogresse appela : — Loundja, Loundja ! Mais ell
jeune homme et la jeune fille blanche comme neige et vermeille comme
sang
étaient déjà loin. Us arrivaient en vue d’une hau
pas une négresse ! Madame est blanche comme neige et vermeille comme
sang
I Tous accoururent pour constater le miracle. Or
a des bêtes, se mit à vivre à leur façon, à se nourrir de chair et de
sang
. Mais si son corps était celui d’un serpent, son
ici. Quant & moi, je ne te demanderai qu’une chose : une outre de
sang
. Le jour où elle devait se séparer de lui pour su
vers la caverne où elle surprit le serpent en train de se repaître de
sang
. Elle le vit changer d’expression. Il lui dit, to
nir en arrière. Tu es revenue et tu m’as surpris en train de boire du
sang
. Tu m’as humilié et je t’ai dit : ‹ Tu t’en repen
prochait sa bouche des roseaux, elle reçut d’eux un jet de fiel et de
sang
. Elle s’en revint en vomissant par les chemins. A
le vint. Mais elle remarqua, dès qu’elle fut devant la masure, que du
sang
coulait sous la porte. Elle se dit : ‹ Qu’est-il
e bien-aimé repose au fond d'une tombe; O mes yeux, emplissez-vous de
sang
I Proverbes Comme les rats et la citrouille : Ceu
lle que lune et que rose l’arrêta par ces mots : — Maître, je vois du
sang
parmi tes proches. Il répondit ; — Que la volonté
de mais l’arrêta : — Maître, lui dit-elle avec tendresse, je vois du
sang
sur tes vêtements. Il répondit : — Que la volonté
se qui avait le pouvoir de se transformer en nègre, maître je vois du
sang
parmi tes proches et cette fois je crains que rie
devant le nègre. Il lui dit à mi-voix : — Tue une bête et remplis de
sang
un boyau que tu enrouleras autour de ta poitrine,
a poitrine, sous tes vêtements. Je crèverai ce boyau de mon sabre. Le
sang
se répandra sur ton corps : alors, toi, fais le m
tomber. Le nègre fidèle égorgea dans la nuit un agneau. H remplit de
sang
un long boyau et l’enroula dès l’aube autour de s
alu tant de victoires, alla planter son sabre dans le boyau gonflé de
sang
. Le nègre s’affaissa. Quelques-uns des combattant
la soie n'est plus que haillons Souillés de boue et traînant dans le
sang
Mon collier d'ambre s’égrène à terre. Ils vont te