te servante est vraiment notre sœur?... Us consultèrent donc le Vieux
Sage
. Ils lui racontèrent comment les chameaux dépéris
renaient part & la peine de la servante qui les gardait. Le Vieux
Sage
les écouta et leur dit : — Une chose n’a pu se tr
e l’aigle lâcherait sa proie. Et puis il décida de consulter le Vieux
Sage
. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'aigle
rait sa proie. Et puis il décida de consulter le Vieux Sage. Le Vieux
Sage
le rassura et lui dit : — L'aigle n’aura pas tué
en beauté toutes les filles du royaume. Blanche et rose, gracieuse et
sage
, ses cheveux sont soyeux et cuivrés comme ceux du
recherche de son frère sans même s'être reposé. H alla voir le Vieux
Sage
et lui demanda dès le seuil : — Pourquoi le sulta
ce que c’est là que se trouve le jardin de Tseriel, répondit le Vieux
Sage
. Si Mehend s’y est aventuré, elle l’aura avalé. M
Ils atteignirent l’ermitage entouré de prairies qu’habitait un vieux
Sage
, ami du jeune homme. L’ami souhaita la bienvenue
vu celle- là I — Puisses-tu ne pas t’en repentir I lui dit encore le
Sage
. Après s'être bien reposés, Mehend et celle qu’il
ormir tant il était inquiet. Il se rendit au petit jour chez le Vieux
Sage
, son ami, qui l’accueillit par ces mots : — Ne t’
mme enchantée. — Dans le jardin de Tseriel, consentit à dire le Vieux
Sage
. Mais, afin que l’Ogresse ne t’avale pas, il te f
oici qu’elle me demande l’eau pour laquelle se battent les monts ! Le
Sage
le considéra longuement avant de répondre : — Cro
et jusqu’où va mon amour ; une dernière fois obéir à son caprice. Le
Sage
n’insista pas. — Puisqu'il te plaît de mourir pou
ectement chez lui, le jeune homme fit une halte auprès de son ami. Le
Sage
qui le sentait désemparé et sombre offrit de le r
sée : — Toi et moi, si tu veux, nous allons nous rendre chez le Vieux
Sage
. Lui, j’en suis sûr, nous révélera la vérité. A p
vérité. A peine jeta-t-il un regard sur la jeune fille, que le Vieux
Sage
annonça : — Ce sont des serpents que cette pauvre
reconnaîtrait son ennemi ! Le lion, embarrassé, alla trouver le Vieux
Sage
et lui raconta le vilain tour que lui avait joué
que lui avait joué le chacal. — Ne te désespère pas, lui dit le Vieux
Sage
, car nous tenons déjà ton ennemi. Procure-toi une
ut pas, car c'est lui qui a voulu ta mort ! Le lion remercia le Vieux
Sage
et se mit immédiatement en quête de la génisse la
s larmes vaines. C’est alors que se dressant parmi les dunes un Vieux
Sage
me dit : — Homme I tes filles sont en vie. Dirige
it retrouvé son pays. Et il vivait parmi des épouses aussi belles que
sages
qui, loin de se nuire et de s'envier, s'aimaient.