eul sur mon cheval d'éclairs et de vent. Je prendrai ma carabine, mon
sabre
et l’un de nos lévriers (je te laisserai l’autre)
urs. Le lévrier que je te laisse te conduira jusqu'à moi. Il prit son
sabre
, sa carabine, son lévrier et il partit sur son ch
êtes, déclara Mehend. Le lendemain, il se leva dès l’aube. H prit son
sabre
, emmena un berger et son troupeau pour attirer le
me tête, de toutes la plus monstrueuse. Le jeune homme alors prit son
sabre
à deux mains et la fit voler au loin. Les champs
l monta son cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier, prit son
sabre
, sa carabine et, à son tour, s’éloigna. A peine s
enue I Elle s'approcha, mais plus prompt qu’elle, il la frappa de son
sabre
à la tête. Elle chavira et s’écroula lourdement.
la gueule du lion ›, quand la porte s’ouvrit brusquement. Un coup de
sabre
trancha la tête de l’Ogre et la fit voler en écla
? Ne sais-tu pas que c’est moi qui ai ruiné cette cité ? — Prends ton
sabre
, répondit Cheikh Smaïn avec calme. Prends ton sab
té ? — Prends ton sabre, répondit Cheikh Smaïn avec calme. Prends ton
sabre
, et battons-nous. Le nègre tomba et le prince all
ni vaincus, ni vainqueurs, le prince et son nègre fidèle prirent leur
sabre
et s’unirent aux sept frères. L’armée du roi des
ce et celui qui ne le quittait ni jour ni nuit, attendaient avec leur
sabre
les cavaliers du sultan. Sans doute les anges gue
rtenir au père monstrueux de notre bien-aimé maître. Cheikh Smaïn, le
sabre
à la main, s’était frayé un passage parmi la foul
utour de ta poitrine, sous tes vêtements. Je crèverai ce boyau de mon
sabre
. Le sang se répandra sur ton corps : alors, toi,
ègre indomptable. Alerté, le sultan donna au guerrier le cheval et le
sabre
de ce fils qu’il croyait mort depuis longtemps. C
cheval fameux qui lui avait valu tant de victoires, alla planter son
sabre
dans le boyau gonflé de sang. Le nègre s’affaissa