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1 (1966) Le grain magique
alette qu’elle mit de côté pour la montrer à son époux. Et puis, elle roula le grain du couscous. Lorsqu’elle eut mis la marm
pelote était lourde. Elle s'échappa des mains de l’enfant et se mit à rouler . — Cours et rattrape-la ! cria la mère. L’enfant
! cria la mère. L’enfant s’élança. La mère coupa le fil et la pelote roula plus vite, encore plus vite, entraînant 'Jedjigha
de laine : elle était lourde. Elle est tombée de mes mains et elle a roulé , roulé. Je l’ai suivie... Je l’ai perdue de vue e
ne : elle était lourde. Elle est tombée de mes mains et elle a roulé, roulé . Je l’ai suivie... Je l’ai perdue de vue et j’ai
’énormes troncs. Chacun offrit son blé le plus brillant et les femmes roulèrent , en chantant, le couscous des noces. Des veaux fu
semé de fèves? — Ne t’inquiète de rien, répondit le Subtil : faisons rouler notre tamis : là où il s’arrêtera, nous cueillero
l’époque de l’abondance ! Ils lancèrent donc leur tamis qui se mit à rouler , à rouler. Us le suivirent et se trouvèrent bient
de l’abondance ! Ils lancèrent donc leur tamis qui se mit à rouler, à rouler . Us le suivirent et se trouvèrent bientôt au mili
n tendre et grasse. La femme avait déjà allumé le feu dans la cour et roulé le grain du couscous, un grain si blond qu’il rép
ement de se libérer. Il tenta dans un suprême effort de se dresser et roula dans le ravin : c’est miracle qu’il n’en mourût p
vent seul lui répondit, un vent qui hurlait à la mort. Alors, le père roula une énorme pierre jusqu'à l’ouverture de la creva
re, la petite fille pensait avec mélancolie : ‹ Si notre père n’avait roulé cet énorme bloc au-dessus de nos têtes, il ferait
opagea à tout le pelage et fit de Moche une torche qui bondissait, se roulait , se tordait dans les flammes et rebondissait. Nul
a l’outre à terre. Le lien se brisa et les cailloux se répandirent et roulèrent , blessant Tseriel au pied. — Que Dieu te trompe c
elle et lui dit : — Mouds du blé, prépare de la semoule en quantité, roule le grain du couscous, car j'irai au petit jour in
upirs gros comme des vagues soulevaient sa poitrine et que des larmes roulaient sur ses joues. Le sommeil, heureusement, ne tarda
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