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1 (1966) Le grain magique
seul avait pu ^réer. La course avait rendu son visage semblable à une rose ; les épines avaient égratigné ses pieds et ses m
ue lui apparut la fillette. C'est pourquoi, à la vue de son visage de rose et de ses petits membres fatigués, le cœur du ser
andis qu’elle parlait, s’émerveillant de son visage épanoui comme une rose . Il l’interrogea sur son village, sur ses parents
moins. Les orphelins, de jour en jour, devenaient plus blancs et plus roses : leurs joues étaient comme des grenades. Et chaq
trant : — Maman, je sais maintenant pourquoi ils sont si blancs et si roses : ils boivent le lait de la vache ! — Tu feras co
e aux roseaux, les orphelins qui avaient dépéri redevinrent blancs et roses . Leur marâtre se dit à nouveau : ‹ Les voici enco
suce toi aussi les roseaux de la tombe pour avoir comme eux des joues roses et blanches. Ainsi fit Djohra le lendemain. Mais
er derrière les montagnes. Le ciel, le sable et l'eau en étaient tout roses . Le prince se réveilla, chercha le poisson et ne
ahman détestait farouchement son frère. Hacène était trop blond, trop rose et trop heureux. L’impitoyable soleil d’août, ce
fille qui surpasse en beauté toutes les filles du royaume. Blanche et rose , gracieuse et sage, ses cheveux sont soyeux et cu
ténèbres. Dansb sacrés Femmes vénérées des Aith Ouerthiran/ Vous êtes roses comme des perdrix. Quand retentit votre serment T
Il venait de courir dans les champs et de boire à la source. Il était rose et tout essoufflé. Elle l’égorgea comme un agneau
elle qu’on en bénissait Dieu qui l’avait créée. Elle était blanche et rose , lumineuse, et ses abondants cheveux la couvraien
u inextinguible, Et les eaux sont loin de lui. La jeune fille est une rose A l'aurore éclose, Dans un jardin, près de l’étan
bouche d’autrui ! ROUNDJA, LA JEUNE FILLE PLUS BELLE QUE LUNE ET QUE ROSE Que mon conte soit beau et se déroule comme un lo
moi ma chasse I Une jeune fille se montra, plus belle que lune et que rose . Elle dit : — Je m'appelle Roundja. Ce perdreau n
ient ensemble dans ce jardin de montagne où se trouvaient les raisins roses les plus prodigieux de la terre. Parle, bougie, o
s : c’étaient les frères de la jeune fille plus belle que lune et que rose . Le sultan leur dit : — Cheikh Smain, mon fils, a
était la tente qui abritait la jeune fille plus belle que lune et que rose ?... Le prince allait s’en retourner, lorsqu’une
ents qu’il était résolu à retrouver Rondja plus belle que lune et que rose , ou à mourir. Sa mère essaya vainement de le rete
mon fils, amenant avec eux une jeune fille plus belle que lune et que rose . A peine la vit-il, notre sultan ébloui l’épousa.
lle joyeusement au prince : la jeune fille plus belle que lune et que rose va passer en voiture devant la porte et tu n’aura
et à la confier à ton cheval noir. Roundja plus belle que lune et que rose ne tarda pas à passer. Cheikh Smaïn s’élança, il
oiffure. Parti pour reconquérir sa fiancée plus belle que lune et que rose , Cheikh Smaïn revenait donc avec trois femmes d’u
nça-t-elle, haletante. Il a ramené Roundja plus belle que lune et que rose et deux autres jeunes femmes aussi éblouissantes
ïn voulut se rendre chez son père, Roundja plus belle que lune et que rose l’arrêta par ces mots : — Maître, je vois du sang
i observaient par le judas. Alors, Roundja plus belle que lune et que rose déclara : — Voici une pomme. Lance-la lui : s’il
peuple, ainsi que la splendeur de Roundja plus belle que lune et que rose , réussirent à peine à endormir le mal secret qui
eurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se mirent du noir aux yeux, du rose aux joues. Elles sortirent des coffres leurs paru
noirs encore, Et ses grands cils recourbés. Sa chair est pareille aux roses épanouies Sur lesquelles s’est posée la rosée, Al
t du pou      173 Roundja, la jeune fille plus belle que lune et que rose .. 181 Histoire de Velâjoudh et de l’ogresse Tser
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ong-temps » ; et, en disant ces mots, il luy sortit de la bouche deux roses , deux perles et deux gros diamans. « Que voy-je l
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