e ton cheval I Mais la jeune fille refusa. Dès qu’elle eut atteint un
rocher
, elle se mit à chanter d’une voix plaintive : ‹ E
elle se mit à chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi,
rocher
Rocher, élève-toi Pour que m’apparaisse Le pays d
e mit à chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi, rocher
Rocher
, élève-toi Pour que m’apparaisse Le pays de mes p
ntourée des sept chameaux confiés à sa garde : ‹ Elève-toi, élève-toi
rocher
, Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays
des sept chameaux confiés à sa garde : ‹ Elève-toi, élève-toi rocher,
Rocher
, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes p
t il l'entendit chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi
rocher
Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays d
entendit chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi rocher
Rocher
, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes p
r c’est ce jour-là que Abderahman poussa «on jeune frère du haut d’un
rocher
. La tête charmante vint S écraser sur de grosses
is dix ans je dormais... Mon frère Abderahman m’a poussé Du haut d’un
rocher
Dans le précipice. La terre éboulée A recouvert m
le maintenant posait son pied avec une particulière prudence car 'des
rochers
venaient d’apparaître et l’endroit était farouche
paru ! Aïcha lui aurait-elle joué un tour?... Il chercha derrière les
rochers
. Il appela, il appela désespérément, mais le vent
et il a disparu t Le fleuve déborde et s’étale. La terre tremble. Un
rocher
demande : — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Hou ! hou ! C
escendu aux enfers. Il est tombé dans la marmite et il a disparu ! Le
rocher
s’éboule. Le soleil parle. Il dit : — Qu’as-tu, D
s-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai ? Hou ! hou I Que n’est-il arrivé ! Le
rocher
éboulé, le fleuve démonté, la haie d’épines noyée
hou I Que n’est-il arrivé ! Le ciel bouleversé, le soleil en'fui, le
rocher
éboulé, le fleuve démonté, la haie d’épines noyée
u ! Alors, la mer déchaînée s’avance et balaie tout. Plie entraîne le
rocher
, la haie d’épines, la maison écroulée. Elle empor
fourvoyé I Mère, ma solitude Est celle de l'ascète Retranché sur son
rocher
. Pitié, maître des deux, Frayez-moi le chemin I P