ux. Ils se mirent à courir, à courir de toutes leurs forces. Mais une
rivière
tumulteuse leur apparut. Loundja supplia : — O ri
rces. Mais une rivière tumulteuse leur apparut. Loundja supplia : — O
rivière
de miel et de beurre, laisse-nous passer ! Les ea
— O rivière de miel et de beurre, laisse-nous passer ! Les eaux de la
rivière
se retirèrent devant Loundja et le jeune homme. E
trahie. Tu m’as abandonnée I Mais Loundja avait changé de maître I La
rivière
arrêta l’ogresse. Tseriel lui cria furieusement :
ître I La rivière arrêta l’ogresse. Tseriel lui cria furieusement : —
Rivière
d’immondices, je veux passer I Mais la rivière se
cria furieusement : — Rivière d’immondices, je veux passer I Mais la
rivière
se mit à gronder de façon menaçante. Tseriel s’y
porterons demain car nous irons, dès l’aurore, laver notre laine à la
rivière
. Et nous passerons à la campagne tout le jour. No
t le battoir à la main, sortirent à l’aube. Le chemin qui menait à la
rivière
était en pente. Ils s’y engagèrent. Ils atteignir
à la rivière était en pente. Ils s’y engagèrent. Ils atteignirent la
rivière
comme le soleil se montrait. La Grenouille posa s
pour se rendre dans un jardin potager qui se trouvait tout près de la
rivière
: les légumes, gorgés d’eau, y étaient splendides
euse, ton mari T'épie du grenier I Proverbes L’âne est emporté par la
rivière
Et il s'écrie : « O les beaux pâturages ! » Le fe
s les sables, les plaines, les bois, et les forêts. Ils longèrent des
rivières
, parcoururent des contrées tour à tour verdoyante
raconta qu’il avait perdu de vue son frère dans la tourmente, que la
rivière
avait dû l’emporter et qu’une crevasse devait san
onstitua qui partit à la recherche du bel adolescent. Mais ni dans la
rivière
, ni dans les ravins, on ne trouva trace de celui
rgeait-il qu’il entendit le bruit de l'eau. Ce bruit le guida vers la
rivière
. Il la franchit et c’est alors que lui apparut un
a malade d'impatience, guidé par son chien. A peine eut-il franchi la
rivière
que Tseriel lui apparaissait immense, dans son me
t et le lévrier. Et puis il traîna le cadavre de l’ogresse jusqu’à la
rivière
et l’y jeta. Il revint alors sur ses pas, s’émerv
rs lévriers, ils abandonnèrent le jardin de l’ogresse, franchirent la
rivière
, et s’engagèrent dans la forêt. Ils la parcourure
nt jusqu'au palais. — J’ai tué l’Ogresse, annonça Ahmed au sultan. La
rivière
emporte son cadavre vers la mer 1 — Dieu te bénis
lle contrée verdoyante. Ils parcoururent les plaines, franchirent les
rivières
, gravirent les monts. Et puis des chameliers les
mère, je suis un exilé, Laisse-moi m’en retourner. Le train longe la
rivière
, Chargé de vin et de pavots. Ma mère, ma mère, je
é des sillons, et nous descendrons tous les jours un peu plus vers la
rivière
. Les enfants se rendirent au champ plusieurs mati
us semé? Us répondirent : — Des fèves ? Nous en avons semé jusqu'à la
rivière
. Le champ de fèves atteindra sûrement la riv'ère.
qui mieux mieux et claironnaient en rentrant : — Des fèves jusqu’à la
rivière
. Des petits pois jusqu’au ruisseau I Ainsi firent
ger sur son dos. Le Subtil courait toujours. Il atteignit à l’aube la
rivière
mais n’osa la passer sans son frère. Il l’attendi
main et chercha le gué. Il faisait jour lorsqu'ils eurent traversé la
rivière
. Ils purent aisément retrouver le chemin de leur
èrent droit devant eux, en demandant la charité. Ils traversèrent des
rivières
, gravirent des hauteurs. Ils marchèrent, marchère
u je parlerai. Le surveillant garda le silence. Ils rencontrèrent une
rivière
: Le fils du roi dit : — Fais-moi traverser la ri
contrèrent une rivière : Le fils du roi dit : — Fais-moi traverser la
rivière
ou je te la ferai traverser. Le surveillant qui n
lorsque vous vous êtes trouvés devant la rivère : «Fais-moi passer la
rivière
ou je te la ferai passer» : tu voulais dire : ‹ I
n ami. Chant d'amour Jeune tille, veux-tu m’accompagner Le long de la
rivière
? Nous irions mangeant des figues La mort met (in
e peines O mon frère, anneau d’argent clair. Partons, courons vers la
rivière
, Viens, nous suivrons la rivière. Le mariage d’au
gent clair. Partons, courons vers la rivière, Viens, nous suivrons la
rivière
. Le mariage d’aujourd’hui N’est plus que misère O