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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
et ses enfans. MORALITÉ Attendre quelque temps pour avoir un époux Riche , bien-fait, galant et doux, La chose est assez na
es chambres, les cabinets, les garderobes, toutes plus belles et plus riches les unes que les autres. Elles monterent ensuite
va enfin dans un beau château, dont le maistre étoit un ogre, le plus riche qu’on ait jamais veu ; car toutes les terres par
tir.   MORALITÉ Quelque grand que soit l’avantage De joüir d’un riche héritage Venant à nous de pere en fils, Aux jeune
ans s’engager à pas un d’eux, Cependant il en vint un si puissant, si riche , si spirituel et si bien fait, qu’elle ne pust s’
2 (1966) Le grain magique
’épouserai ou je mourrai. Il l’épousa. Loundja reçut toutes sortes de riches présents et une nouvelle servante fut engagée. Le
peignait et parfumait ses longs cheveux, revêtait ses habits les plus riches , se parait de tous ses bijoux et sortait. Pour mi
verbes Bats des mains pour qui veut danser ! L'on entoure d’égards le riche Qui peut offrir beurre et lait Mais le déshérité,
-dix-neuf jeunes filles, après-demain, revêtent leurs habits les plus riches , se parent de tous leurs bijoux, montent des jume
es plaines et gravit les monts. Lorsqu'à son tour il pénétra dans une riche et verte contrée, le soleil se levait. Un grand v
mme au cœur noir s’était parée pour cette fête : Elle avait revêtu le riche vêtement de ses noces. Son petit front étincelait
e tu l’aimes I Le prince offrit à sa fiancée de l’or, de l'argent, de riches étoffes de soie et toutes sortes de merveilles. M
raient jusqu’à la taille. Le cavalier l'aimait. Il l'épousa. Il était riche ; il possédait de nombreux champs d’oliviers et d
prendre la nouvelle au village et emprunter, de maison en maison, les riches vêtements et les bijoux dont elle entendait parer
e et lui dire : — Où portes-tu tes pas si matin, sultan ? N’es-tu pas riche et puissant, que peux-tu désirer de plus ? — Héla
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