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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
en luy tendant le col ; executez l’ordre qu’on vous a donné ; j’irai revoir mes enfans, mes pauvres enfans, que j’ay tant aim
out attendri, vous ne mourrez point, et vous ne laisserez pas d’aller revoir vos chers enfans ; mais ce sera chez moy, où je l
rir la porte, et leur dit en les embrassant, que je suis aise de vous revoir mes chers enfants, vous estes bien las, et vous a
lant presque toûjours tous ensemble: Ces bonnes gens étoient ravis de revoir leurs enfans avec eux, et cette joye dura tant qu
lque temps avec ses freres du costé qu’il avoit veu la lumiere, il la revit en sortant du Bois. Ils arriverent enfin à la mai
son pere, où il n’est pas possible d’imaginer la joye qu’on eut de le revoir . Il mit toute sa famille à son aise. Il achepta d
2 (1966) Le grain magique
qui danserait devant un aveugle. Chant d’exil Ma mère, je rêve de te revoir Mais l'océan est entre nous. Tel est le vouloir d
de ce nue je faisais. Agrippé à la crinière d’un jeune poulain, je me revois m’élançant vers le marché. L’assistance me reconn
eureuse, et le sultan content de lui. Mais, Mehend, lui, était las de revoir les mêmes prairies, les mêmes montagnes, les même
’attendent. — Moi aussi j’ai le mal du pays, répondit Mehend. Je veux revoir ma mère et lui amener ma femme et mon fils. Le su
temps de se jeter sur son lit : ‹ Et moi qui espérais tant ne plus le revoir I › se dit-elle, déçue. Elle but l’eau pour laque
ouïedhmim qui veut dire : Aubépin. Mais la nostalgie qu’elle avait de revoir son frère ne fit qu'augmenter. Et le temps s’écou
le, lui dit-il d’une voix humble, je n’osais croire que la joie de te revoir et de revoir tes sœurs pût m’être donnée I Chassé
l d’une voix humble, je n’osais croire que la joie de te revoir et de revoir tes sœurs pût m’être donnée I Chassé de ma propre
es yeux dans ses poches, répondit gravement le vieil aigle. S’il veut revoir la lumière de Dieu, qu’il prenne quelques feuille
rquoi pleures-tu ? Ce bonheur ne te suffit-il plus ?... — Je voudrais revoir ma famille, gémit Yamina. J'étais une enfant lors
ui dire : — Tu as manqué à ton serment. Tu as cassé ta joie. Tu ne me reverras jamais. Tu as entendu comme moi les bêtes te mett
tombèrent tous les trois en un an Et sans que j’aie pu seulement les revoir , Soleil, épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœ
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