ue Dieu la brûle I — vous a trompés. Et maintenant me voici ! Dois-je
rester
parmi vous ou m'accompagnerez-vous à la maison de
Sa peau aura beau être devenue blanche comme lait, ses cheveux seront
restés
crépus. La jeune fille dont les cheveux sont liss
st plus colorée. Proverbes La bouteille s’est brisée Mais l’huile est
restée
suspendue ! H a le derrière dans une flaque Et il
ain du couscous. Lorsqu’elle eut mis la marmite sur le feu, il ne lui
resta
plus qu’à attendre. Au crépuscule, elle se porta
lui dit : — Tu m’as écrasé. Tu deviendras serpent comme moi et tu le
resteras
tant que je vivrai, afin que les hommes te foulen
i son corps était celui d’un serpent, son coeur et son esprit étaient
restés
ceux d’un homme. Il n’avait fui ses semblables qu
onguement, promena ses regards autour de lui et finit par dire : — Tu
resteras
ici jusqu’à ce que Dieu t’ouvre un chemin. J'épou
ûcheron qui la guettaient à travers le feuillage. Le prince décida de
rester
seul pour savoir si l’étrange créature était mort
blement et la lampe posée près du métier. Soudain, la porte qui était
restée
entrouverte fut poussée et la veuve vit une silho
e secourir Ah ! la la J’ai mis mes beaux atours Ah ! la la Et je suis
restée
Ah I la la Les curieux sont venus Ah ! la la Ils
is de désosser. Le prince le mangea de grand appétit ; lorsqu'il n’en
resta
que l’os, il prit cet os et le frappa contre le m
congé de ses parents. Le roi et la reine le supplièrent vainement de
rester
. Il leur répondit d'une voix ferme : — Je reviend
it sur lui son couteau, quand j’offris en échange le seul bien qui me
restait
: mon cheval. Et je demeurai seul sur le rivage,
ent les avait dispersés. Les bêtes les avaient emportés au loin. Seul
restait
encore l’os de l’avant-bras. Un jeune berger rema
rcouru tout le royaume, qu’il en eut exploré les bois et qu'il ne lui
resta
plus rien à découvrir, il s’ennuya. La princesse
s. Et puis ils s’étendirent au soleil dans le champ. Quand il ne leur
resta
plus une seule fève ni un seul petit pois, ils ma
x joyeuse : — Soyez les bienvenus, mes enfants, soyez les bienvenus I
Restez
ici cette nuit, au matin vous repartirez. Sa mais
r âne, ce matin. L’homme se remit à manger de plus belle. Quand il ne
resta
plus un seul morceau de viande ni un grain de cou
ues os fragiles et blancs traînaient au fond : c’était là tout ce qui
restait
de son frère. La fillette les ramassa soigneuseme
ranche porte trente feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les hommes
restèrent
muets. Le marché se dissout. Une semaine tourna.
œur de la maison. A nous, les filles, tu as donné les ailes : nous ne
resterons
pas ici ; nous nous envolerons. A mes frères, tu
à la lapine. Les fauves se partagèrent la pauvre femme. D’elle, il ne
resta
bientôt que quelques os et des vêtements en lambe
t au loin. Ils l’atteignirent et Reskia offrit à son frère ce qui lui
restait
de moelle en s’écriant : — O joie, mon frère est
e répondit : — Je suis âgée, fatiguée, seule au monde et je m’ennuie.
Restez
avec moi, ta sœur et toi. Elle tiendra la maison
aison tandis que tu soigneras les bêtes et cultiveras les champs. Ils
restèrent
et vécurent heureux et paisibles près de la vieil
e les couffins de friandises et la corbeille de beignets. Et il ne me
restera
plus qu'à vous rejoindre. Toutes, à l’exception d
vêtements et leurs bijoux. Une après l’autre, le père les descendit.
Restait
Aïcha, menue, gracieuse et douce. Elle était sa p
intivement le tour du repaire : le feu était éteint ; de Moche, il ne
restait
plus qu’une traînée de graisse et des ossements c
tre donnée I Chassé de ma propre demeure et triste à mourir, il ne me
restait
que l’exil et ce bâton des pèlerins. Où conduire
est ma part ? Toutes mes compagnes se sont mariées Et moi seule suis
restée
. A certaines, tu as donné des beignets, Une lampe
de cette belle armée venant sur eux dans un nuage de poussière, il ne
resta
bientôt que des morts, des blessés et quelques pa
met dans sa poche, c’est lui. Mais s'il la laisse à terre, il ne nous
restera
plus qu’à mourir. Le nègre lança la pomme. Le jeu
loin qu’ils l’apercevaient — les souris et les rats s’enfuyaient. Il
resta
longtemps sans rien attraper. Alors, il réfléchit
et jeté, encore chaud, au fond du capuchon de son burnous, il ne lui
resta
qu’à ensevelir sa mère, ce qu’il fit en grande hâ
e soie. Mais où était l’émerveillement des premiers jours ? Il ne lui
restait
plus rien à découvrir. Elle prit au hasard une ro