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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
dit la vieille, qui ne la connoissoit pas. — Ha ! que cela est joli ! reprit la princesse ; comment faites-vous ? Donnez-moy q
it de retirer de la serrure, luy tomba de la main. Aprés avoir un peu repris ses esprits, elle ramassa la clef, referma la por
it la pauvre femme, plus pasle que la mort. — Vous n’en sçavez rien ! reprit la Barbe-Bleuë. Je le sçay bien, moy. Vous avez v
peu de temps pour prier Dieu. — Je vous donne un demy-quart d’heure, reprit la Barbe-Bleuë, mais pas un moment davantage. » L
e vous avouë que je tiens cela tout à fait impossible. — Impossible ? reprit l’ogre : vous allez voir. » Et en même temps il s
pondit la brutale, aller à la fontaine ! — Je veux que vous y alliez, reprit la mere, et tout à l’heure. » Elle y alla, mais t
d’avis : beuvez à même si vous voulez. — Vous n’estes guere honneste, reprit la fée sans se mettre en colere. Et bien ! puisqu
Monsieur », lui répondit la princesse, et en demeura là. « La beauté, reprit Riquet à la Houppe, est un si grand avantage qu’i
La princesse demeura toute interdite, et ne répondit rien. « Je voy, reprit Riquet à la Houppe, que cette proposition vous fa
’aime en vous tout ce que vous venez de me dire. — Si cela est ainsi, reprit Riquet à la Houppe, je vais estre heureux, puisqu
que vous sentez. Je sens la chair frâiche, te disje encore une fois, reprit l’Ogre, en regardant sa femme de travers, et il y
e qu’il est, n’aurés vous pas assez de temps demain matin ? Tais-toy, reprit l’Ogre, ils en seront plus mortifiés. Mais vous a
ils en seront plus mortifiés. Mais vous avez encore là tant de viande reprit sa femme , voilà un Veau, deux Moutons et la moit
2 (1966) Le grain magique
rchèrent, marchèrent encore. Une colline apparut. — Je suis fatiguée, reprit la Grenouille. — Lève la tête, répondit le Crapau
. — C’est l’eau de la laine qui dégoutte du couffin. Mais le Crapaud reprit , de plus en plus courroucé : — Sans doute viens-t
est la dernière. › Il en survient toujours une autre Avant que j’aie repris haleine. LA MARE OU ETEINDRE CES FLAMMES O AIC
e, A celui qu'emporte la rivière- Un courant m’abandonne, un autre me reprend : A la moindre racine je me suis agrippé. O Dieu,
ur la plus belle fille du monde. Et le jeune homme aux yeux de faucon reprit de sa voix la plus impérieuse, en regardant inten
l'eau le disait aux racines et les racines le disaient aux arbres qui reprenaient ce chant de toutes leurs feuilles. Les moineaux,
les hommes surent que le temps de la confiance était revenu : ils se reprirent à vivre et à travailler. Les sources que le malhe
’endormit profondément sur le sable. Mettant à profit son sommeil, je repris ma forme humaine pour veiller sur lui. Il avait a
répondit l’autre, notre mère n’a que nous... Mais le premier, Mehend, reprit : — Tu veilleras sur notre mère, sur notre maison
eillerai avec vous, déclara le jeune homme. — Si tu nous en délivres, reprirent les chevriers, nous te donnerons une chèvre. Il t
ai, tu me l’accorderas? insista le jeune homme. — Je te l'accorderai, reprit le sultan. Parle I — Alors, Dieu veuille t’inspir
t ses poulains. Mehend reconnut son bien. Il s’en empara et le voyage reprit . La princesse et les jumeaux traversaient mainten
et se joignit avec ses agnelets à la vache et aux veaux. Et le voyage reprit encore plus lentement. Les jumeaux sentaient déjà
es chevreaux, les uns après les autres, l’imitèrent. Et la chevauchée reprit lente, très lente. La princesse et les deux frère
s. Mehend cueillit autant de pommes que put en contenir son panier et reprit le chemin de sa demeure. A peine entendit-elle so
t la jeune femme avec l’outre de lait et le cadavre de l’Ogre, Mehend reprit avec son ami le chemin de la forêt. Mon conte est
ce que je vais dire. › — Et que vous a demandé de deviner le prince ? reprit la jeune fille. — Il nous a demandé quel est l’êt
introduire chez nous une étrangère qui nous diviserait ? Mais la sœur reprit : — Quelqu’un peut-il nous séparer?... Rassure-to
es pas malade au moins ? — Je veux aller chez mon oncle. — Mon petit, reprit le père, tu n’as pas d’oncle. J’ai trouvé ta mère
enture. — Si tu nous promettais solennellement de ne pas nous manger, reprirent -elles toutes à la fois, nous te délivrerions. — C
sous lui, car il aimait cette femme. Sûre de son pouvoir, la marâtre reprit : — Demain, dis à tes filles de se lever matin et
craintivement : — Ils nous poursuivent. C’est moi qu’ils cherchent à reprendre . Ils vont me ramener au sultan I Cheikh Smaïn éta
royaume. A peine son cheval noir en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit la forme d’une femme splendide, à la noble coiffu
la volonté de Dieu et celle de mon père s’accomplissent 1 — Du moins, reprit l’épouse, emporte cette ‘levrette dans tes bras :
poignets, alors seulement je serais sans défense. — Tu te ris de moi, reprit le sultan. Comment veux-tu que je te croie? — Ess
eut bien me prendre, ce ne sera pas une grande perte. — Je partirai I reprenait avec plus d’ardeur le prince. Et le débat menaçai
ans son merveilleux palais l’attendait le nègre fidèle qui, à sa vue, reprit la forme d'une femme à la noble coiffure. Mais le
ine Vetellis ! — Mange donc ! lui répliqua sa mère. Mais l’ogrillonne reprit en élevant la voix : — Je te dis que c’est l’œil
s, Mais daigne me consoler Toi qui m’as tout donné, toi qui m’as tant repris . Seghir, pousse de grenadier, Avait un parler si
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