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1 (1966) Le grain magique
ourner à leur passe-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les repas et tenait la maison. L'année suivante, au printem
donc est sur mon toit? cria la Grenouille. Des débris tombent sur mon repas I — C’est ton seigneur le Gypaète, fils de gypaèt
-elle. — Qui marche au-dessus de mon toit? Des débris tombent sur mon repas I — C’est la Perdix la plus jolie du pays. — Vrai
s légumes et des fruits, et rentra. Il alluma le feu, mit tn train le repas et alla réveiller la fillette. Il lui demanda ave
pour elle à la fois un père et une mère. Il lui apprit à préparer les repas et à aimer l’ordre. Il la combla, l’entoura de te
soin d’eux et Aïcha, la fillette, était trop jeune pour préparer les repas et tenir la maison. Le père se remaria. D’abord,
e, vers ma pauvre grand-mère aveugle ! Celui qui arrive à la fin d’un repas qu’il dise : ‹ J'ai mangé ». Celui qui arrive à l
seoir sur le pas de sa porte ; son mari pourrait être fier d’elle, le repas serait prêt à l’heure et il promettait d’être exc
ans un coin. Peu après, arriva le père, accompagné de ses invités. Le repas était prêt et la sauce répandait une odeur engage
balayait la masure, aérait le lit. Puis elle servait au vieillard son repas , lui versait à boire. Après s’être longuement att
omme. L’ami souhaita la bienvenue aux visiteurs et leur servit un bon repas . Il les invita à séjourner chez lui aussi longtem
mière et boire une terrine de lait. Et puis la jeune femme prépara le repas du soir. L’Ogre avala précipitamment son dîner et
éunie. L’on tua un poulet et l’on fit un couscous de fête. Lorsque le repas fut prêt, le prince dit : — C’est moi qui partage
qui te plaira dans le palais et emporte-le. Elle prépara elle-même le repas . Elle donna au roi, sans qu’il s’en doutât, un na
la première maison pour demander l’hospitalité. On lui servit un bon repas et on lui prépara un lit. Au lever du soleil, ell
s du chat. Mais du jour où ses sœurs se mirent à exiger de véritables repas , elle trembla de voir Moche pisser sur les braise
Alors les deux époux décidèrent que de ces dix sous ils feraient leur repas de noces. Ils réfléchirent un moment et se dirent
r des légumes, de la viande et des fruits. Elle put ainsi préparer un repas digne de ses hôtes et de leur grande faim. Au cou
use. Le sultan qui s’attendait à ce qu’il tombât foudroyé à la fin du repas , fut grandement déçu de lui voir la mine florissa
is mort, qui lavaient les écuelles et préparaient le plus souvent les repas . Les garçons aidaient aux travaux des champs et m
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