ourner à leur passe-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les
repas
et tenait la maison. L'année suivante, au printem
donc est sur mon toit? cria la Grenouille. Des débris tombent sur mon
repas
I — C’est ton seigneur le Gypaète, fils de gypaèt
-elle. — Qui marche au-dessus de mon toit? Des débris tombent sur mon
repas
I — C’est la Perdix la plus jolie du pays. — Vrai
s légumes et des fruits, et rentra. Il alluma le feu, mit tn train le
repas
et alla réveiller la fillette. Il lui demanda ave
pour elle à la fois un père et une mère. Il lui apprit à préparer les
repas
et à aimer l’ordre. Il la combla, l’entoura de te
soin d’eux et Aïcha, la fillette, était trop jeune pour préparer les
repas
et tenir la maison. Le père se remaria. D’abord,
e, vers ma pauvre grand-mère aveugle ! Celui qui arrive à la fin d’un
repas
qu’il dise : ‹ J'ai mangé ». Celui qui arrive à l
seoir sur le pas de sa porte ; son mari pourrait être fier d’elle, le
repas
serait prêt à l’heure et il promettait d’être exc
ans un coin. Peu après, arriva le père, accompagné de ses invités. Le
repas
était prêt et la sauce répandait une odeur engage
balayait la masure, aérait le lit. Puis elle servait au vieillard son
repas
, lui versait à boire. Après s’être longuement att
omme. L’ami souhaita la bienvenue aux visiteurs et leur servit un bon
repas
. Il les invita à séjourner chez lui aussi longtem
mière et boire une terrine de lait. Et puis la jeune femme prépara le
repas
du soir. L’Ogre avala précipitamment son dîner et
éunie. L’on tua un poulet et l’on fit un couscous de fête. Lorsque le
repas
fut prêt, le prince dit : — C’est moi qui partage
qui te plaira dans le palais et emporte-le. Elle prépara elle-même le
repas
. Elle donna au roi, sans qu’il s’en doutât, un na
la première maison pour demander l’hospitalité. On lui servit un bon
repas
et on lui prépara un lit. Au lever du soleil, ell
s du chat. Mais du jour où ses sœurs se mirent à exiger de véritables
repas
, elle trembla de voir Moche pisser sur les braise
Alors les deux époux décidèrent que de ces dix sous ils feraient leur
repas
de noces. Ils réfléchirent un moment et se dirent
r des légumes, de la viande et des fruits. Elle put ainsi préparer un
repas
digne de ses hôtes et de leur grande faim. Au cou
use. Le sultan qui s’attendait à ce qu’il tombât foudroyé à la fin du
repas
, fut grandement déçu de lui voir la mine florissa
is mort, qui lavaient les écuelles et préparaient le plus souvent les
repas
. Les garçons aidaient aux travaux des champs et m