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1 (1966) Le grain magique
c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus jeune des sept garçons se rendit auprès de ses frères et leur répéta ce qu'il vena
is le chien dit : Dieu multiplie les habitants de la maison et me les rende favorables Afin que chacun me donne une bouchée E
gue, prépare une bûche ›. Il est temps pour nous de penser à l'hiver. Rends -toi au marché, achète de la laine. Je te tisserai
t ranger. Le Crapaud prit la sacoche et la corbeille de joncs pour se rendre dans un jardin potager qui se trouvait tout près
regarda la petite fille que Dieu seul avait pu ^réer. La course avait rendu son visage semblable à une rose ; les épines avai
irai. Comme le prince dépérissait de jour en jour, le roi céda. Il se rendit chez le serpent et lui dit : — Donne-moi ta fille
it, j’ai marché sur un serpent par mégarde. Il s’est vengé car il m’a rendu serpent comme lui. Mais il est mort et son pouvoi
imée au contraire et tu l’as protégée. Voici tes enfants... Je te les rends . Et il poussa vers lui les six enfants aux cheveu
ravaillait pour autrui ; la nuit, elle travaillait pour elle. Elle se rendait à la fontaine de grand matin et puis au bois d’où
En pleine inconscience. Le tabac de Cheikh Amar Ranime et fouette Et rend faciles les prouesses I Le chat qui souille le bl
e saurait vivre dans ma maison. Il égorgea la vache. Les orphelins se rendirent alors au cimetière pour pleurer sur la tombe de l
e feu engendre la cendre. Faites du bien à une pierre Et elle vous le rendra . Qui se blesse soi-même ne se manque jamais. Chan
de bornes. Mehend choisit le jour de la naissance de l’enfant pour se rendre auprès du sultan et lui parler en ces termes : —
use de l'oublier. Le pêcher au bord du fleuve, Manger ses fruits vous rend heureux. La marmite noire de suie N’a rien à envi
le précipice. La terre éboulée A recouvert mon corps. » Le berger se rendit au village pour faire entendre sur la place publi
escence. Mais un jour l’un dit à l'autre : — Cette vie me déplaît. Me rendre , le matin, de la maison aux champs et, le soir, d
ndamne à mourir de soif, j’accorderai ce qu’il demandera. › Mehend se rendit à l’endroit où se réunissaient les vieillards et
hes, se parent de tous leurs bijoux, montent des juments bleues et se rendent à mon palais t Au jour dit, quatre-vingt-dix-neuf
ui criait-on de toutes parts. Tu as été absent si longtemps ! T'es-tu rendu dans ton pays?... La fille du sultan, ta femme, a
escendrons tous les jours un peu plus vers la rivière. Les enfants se rendirent au champ plusieurs matins en suivant. Mais au lie
— Que m'importe l'âne, que m’importent les fèves, puisque vous m’êtes rendus I Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté
marché pour que tu puisses nous faire un bon couscous de fête. Il se rendit donc au marché de grand matin et il en revint, te
rmée de fourmis entra dans sa gorge. Au bout de deux jours, l’Ogre se rendit à la masure et chanta : — Ouvre-moi la porte, ô m
voix fut aussi fine, aussi claire que celle de la fillette. L'Ogre se rendit alors chez le vieillard et chantonna devant sa ma
ans un coffre Et leur honneur est sur la place du marché ; Combien se rendent au marché Et leur honneur est dans un coffre ! Ch
aux yeux bleus A volé tout le sel I Aoulêlam ! Le fleuve l'entraîne ! Rendez -le nous O Gueldaman I Aoulêlam l Les eaux l’empor
l ne soit trop tard, sépare-toi de cette jeune fille. Elle ne peut te rendre heureux car elle ne porte pas le bien dans son cœ
bier y abondait. Le jeune homme se sentit profondément heureux. Il se rendit auprès de sa belle compagne et lui dit ; — Quelle
unesse. le jeune homme ne put s’endormir tant il était inquiet. Il se rendit au petit jour chez le Vieux Sage, son ami, qui l’
r s'en repaître et le plus âgé te viendra en aide. Va, et que Dieu te rende la raison I Le jeune homme se mit en quête de la
it-il — Exige de moi tout ce que tu voudras, répondit la lionne, mais rends -moi mon petit. — Laisse-moi d’abord prendre de to
ouffle. Louisa, le petit louis d’or, m'a dit : ‹ En Arabie tu peux te rendre , Dans un an j’aurai grandi 1 › Proverbe C’est la
le roi vint à mourir, son fils lui succéda. Un jour que le jeune roi rendait la justice, deux femmes se présentèrent avec un e
ermer. Et puis elle appela les domestiques et leur annonça qu’elle se rendait en villégiature dans sa famille. Elle leur recomm
lle s’y fut bien reposée : — Toi et moi, si tu veux, nous allons nous rendre chez le Vieux Sage. Lui, j’en suis sûr, nous révé
rore éclose, Dans un jardin, près de l’étang. Je prie les dieux de la rendre Aussi folle que je suis fou, Et nous prendrons la
harges de bois mort. Les plus jeunes trottinaient par la maison et se rendaient utiles. Les pauvrettes espéraient désarmer ainsi
es louves et la menacer de la dévorer qu’elle trouva le courage de se rendre chez son redoutable voisin. Elle fit craintivemen
nte, Un sommeil profond sur de doux tapis. Moi, un méchant destin m’a rendue démente Et me taillade à petits coups : Me voici
ais un jour un grand vent se leva qui emporta la maison du Pou. Il se rendit sur l’heure chez la Puce avec dix sous et lui déc
pour aller à l’école, le peuple voulut qu’il eût un nom, le peuple se rendit au palais et cria de loin au sultan : — La paix s
voudras bien être le mien. Te lendemain, quand Cheikh Smaïn voulut se rendre chez son père, Roundja plus belle que lune et que
elle était rustique mais propre ; un beau figuier l’ombrageait et la rendait accueillante. — Dieu nous a envoyé un fils I anno
illera sur le fils et moi je prierai pour que vous me soyez bien vite rendus . Ils partirent donc, le vieillard armé d’un bâton
roite, fauchait à gauche. Dès qu’il aperçut Cheikh Smaïn qu’un masque rendait méconnaissable, le nègre, à travers un judas, ann
couvert d’injures. Cheikh Smain enfin laissa tomber le masque qui le rendait méconnaissable pour tout autre que son nègre fidè
, percé de toutes parts. Enfin, tu as voulu savoir ce qui pourrait me rendre aussi impuissant et inoffensif qu’un enfant, et j
tissait tout le jour et même une partie de la nuit. Les fillettes se rendaient utiles et trottaient par la maison : c’étaient el
lle venait de quitter. Elle prit part aux travaux des champs. Elle se rendit & la fontaine, la cruche sur l'épaule. Elle m
urs entrouvertes Et des troupeaux y viendront paître. L’été nous sera rendu Et la terre se fera toute chaude. Dans les plaine
Ouvre-lui toutes grandes les portes et les voies. Peuple sa solitude, rends -lui léger l'exil Et transfigure-la au regard de c
de qui j’ai partagé la joie. Qu'il vienne se réjouir avec moi. Et me rendre la joie que je lui ai donnée. Depuis longtemps, d
nd je vais à la fontaine I Entre le crépuscule et la nuit noire Je te rendrais ta forme humaine ! Chant d’amour Complainte de la
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
t surpris que la même Princesse à qui la nature & l’éducation ont rendu familier ce qu’il y a de plus élevé ne dédaigne p
uoi qu’il en soit, MADEMOISELLE,   Pouvois-je mieux choisir pour rendre vrai-semblable Ce que la Fable a d’incroyable ?
joye : on rompit plus de douze lacets à force de les ſerrer pour leur rendre la taille plus menuë, & elles eſtoient toûjou
faire pour vôtre satisfaction, je vais luy donner pour don de pouvoir rendre beau ou belle la personne qui luy plaira. » A mes
ne doute point que vous ne veniez ici pour executer la vostre, et me rendre , en me donnant la main, le plus heureux de tous l
; comment voulezvous qu’ayant l’esprit que vous m’avez donné, qui me rend encore plus difficile en gens que je n’estois, je
rit Riquet à la Houppe, je vais estre heureux, puisque vous pouvez me rendre le plus aimable de tous les hommes. — Comment cel
ue la même fée qui, au jour de ma naissance, me fit le don de pouvoir rendre spirituelle la personne qui me plairoit, vous a a
elle la personne qui me plairoit, vous a aussi fait le don de pouvoir rendre beau celuy que vous aimerez, et à qui vous voudre
ù jamais l’art ne sçauroit arriver, Tous ces dons pourront moins pour rendre un cœur sensible Qu’un seul agrément invisible Qu
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