c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus jeune des sept garçons se
rendit
auprès de ses frères et leur répéta ce qu'il vena
is le chien dit : Dieu multiplie les habitants de la maison et me les
rende
favorables Afin que chacun me donne une bouchée E
gue, prépare une bûche ›. Il est temps pour nous de penser à l'hiver.
Rends
-toi au marché, achète de la laine. Je te tisserai
t ranger. Le Crapaud prit la sacoche et la corbeille de joncs pour se
rendre
dans un jardin potager qui se trouvait tout près
regarda la petite fille que Dieu seul avait pu ^réer. La course avait
rendu
son visage semblable à une rose ; les épines avai
irai. Comme le prince dépérissait de jour en jour, le roi céda. Il se
rendit
chez le serpent et lui dit : — Donne-moi ta fille
it, j’ai marché sur un serpent par mégarde. Il s’est vengé car il m’a
rendu
serpent comme lui. Mais il est mort et son pouvoi
imée au contraire et tu l’as protégée. Voici tes enfants... Je te les
rends
. Et il poussa vers lui les six enfants aux cheveu
ravaillait pour autrui ; la nuit, elle travaillait pour elle. Elle se
rendait
à la fontaine de grand matin et puis au bois d’où
En pleine inconscience. Le tabac de Cheikh Amar Ranime et fouette Et
rend
faciles les prouesses I Le chat qui souille le bl
e saurait vivre dans ma maison. Il égorgea la vache. Les orphelins se
rendirent
alors au cimetière pour pleurer sur la tombe de l
e feu engendre la cendre. Faites du bien à une pierre Et elle vous le
rendra
. Qui se blesse soi-même ne se manque jamais. Chan
de bornes. Mehend choisit le jour de la naissance de l’enfant pour se
rendre
auprès du sultan et lui parler en ces termes : —
use de l'oublier. Le pêcher au bord du fleuve, Manger ses fruits vous
rend
heureux. La marmite noire de suie N’a rien à envi
le précipice. La terre éboulée A recouvert mon corps. » Le berger se
rendit
au village pour faire entendre sur la place publi
escence. Mais un jour l’un dit à l'autre : — Cette vie me déplaît. Me
rendre
, le matin, de la maison aux champs et, le soir, d
ndamne à mourir de soif, j’accorderai ce qu’il demandera. › Mehend se
rendit
à l’endroit où se réunissaient les vieillards et
hes, se parent de tous leurs bijoux, montent des juments bleues et se
rendent
à mon palais t Au jour dit, quatre-vingt-dix-neuf
ui criait-on de toutes parts. Tu as été absent si longtemps ! T'es-tu
rendu
dans ton pays?... La fille du sultan, ta femme, a
escendrons tous les jours un peu plus vers la rivière. Les enfants se
rendirent
au champ plusieurs matins en suivant. Mais au lie
— Que m'importe l'âne, que m’importent les fèves, puisque vous m’êtes
rendus
I Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté
marché pour que tu puisses nous faire un bon couscous de fête. Il se
rendit
donc au marché de grand matin et il en revint, te
rmée de fourmis entra dans sa gorge. Au bout de deux jours, l’Ogre se
rendit
à la masure et chanta : — Ouvre-moi la porte, ô m
voix fut aussi fine, aussi claire que celle de la fillette. L'Ogre se
rendit
alors chez le vieillard et chantonna devant sa ma
ans un coffre Et leur honneur est sur la place du marché ; Combien se
rendent
au marché Et leur honneur est dans un coffre ! Ch
aux yeux bleus A volé tout le sel I Aoulêlam ! Le fleuve l'entraîne !
Rendez
-le nous O Gueldaman I Aoulêlam l Les eaux l’empor
l ne soit trop tard, sépare-toi de cette jeune fille. Elle ne peut te
rendre
heureux car elle ne porte pas le bien dans son cœ
bier y abondait. Le jeune homme se sentit profondément heureux. Il se
rendit
auprès de sa belle compagne et lui dit ; — Quelle
unesse. le jeune homme ne put s’endormir tant il était inquiet. Il se
rendit
au petit jour chez le Vieux Sage, son ami, qui l’
r s'en repaître et le plus âgé te viendra en aide. Va, et que Dieu te
rende
la raison I Le jeune homme se mit en quête de la
it-il — Exige de moi tout ce que tu voudras, répondit la lionne, mais
rends
-moi mon petit. — Laisse-moi d’abord prendre de to
ouffle. Louisa, le petit louis d’or, m'a dit : ‹ En Arabie tu peux te
rendre
, Dans un an j’aurai grandi 1 › Proverbe C’est la
le roi vint à mourir, son fils lui succéda. Un jour que le jeune roi
rendait
la justice, deux femmes se présentèrent avec un e
ermer. Et puis elle appela les domestiques et leur annonça qu’elle se
rendait
en villégiature dans sa famille. Elle leur recomm
lle s’y fut bien reposée : — Toi et moi, si tu veux, nous allons nous
rendre
chez le Vieux Sage. Lui, j’en suis sûr, nous révé
rore éclose, Dans un jardin, près de l’étang. Je prie les dieux de la
rendre
Aussi folle que je suis fou, Et nous prendrons la
harges de bois mort. Les plus jeunes trottinaient par la maison et se
rendaient
utiles. Les pauvrettes espéraient désarmer ainsi
es louves et la menacer de la dévorer qu’elle trouva le courage de se
rendre
chez son redoutable voisin. Elle fit craintivemen
nte, Un sommeil profond sur de doux tapis. Moi, un méchant destin m’a
rendue
démente Et me taillade à petits coups : Me voici
ais un jour un grand vent se leva qui emporta la maison du Pou. Il se
rendit
sur l’heure chez la Puce avec dix sous et lui déc
pour aller à l’école, le peuple voulut qu’il eût un nom, le peuple se
rendit
au palais et cria de loin au sultan : — La paix s
voudras bien être le mien. Te lendemain, quand Cheikh Smaïn voulut se
rendre
chez son père, Roundja plus belle que lune et que
elle était rustique mais propre ; un beau figuier l’ombrageait et la
rendait
accueillante. — Dieu nous a envoyé un fils I anno
illera sur le fils et moi je prierai pour que vous me soyez bien vite
rendus
. Ils partirent donc, le vieillard armé d’un bâton
roite, fauchait à gauche. Dès qu’il aperçut Cheikh Smaïn qu’un masque
rendait
méconnaissable, le nègre, à travers un judas, ann
couvert d’injures. Cheikh Smain enfin laissa tomber le masque qui le
rendait
méconnaissable pour tout autre que son nègre fidè
, percé de toutes parts. Enfin, tu as voulu savoir ce qui pourrait me
rendre
aussi impuissant et inoffensif qu’un enfant, et j
tissait tout le jour et même une partie de la nuit. Les fillettes se
rendaient
utiles et trottaient par la maison : c’étaient el
lle venait de quitter. Elle prit part aux travaux des champs. Elle se
rendit
& la fontaine, la cruche sur l'épaule. Elle m
urs entrouvertes Et des troupeaux y viendront paître. L’été nous sera
rendu
Et la terre se fera toute chaude. Dans les plaine
Ouvre-lui toutes grandes les portes et les voies. Peuple sa solitude,
rends
-lui léger l'exil Et transfigure-la au regard de c
de qui j’ai partagé la joie. Qu'il vienne se réjouir avec moi. Et me
rendre
la joie que je lui ai donnée. Depuis longtemps, d
nd je vais à la fontaine I Entre le crépuscule et la nuit noire Je te
rendrais
ta forme humaine ! Chant d’amour Complainte de la