e fille, allait remplir son outre à la fontaine. Mais un jour, elle y
rencontra
Settoute qui puisait de l'eau à l’aide d'une cupu
, et elle lui fit cette suprême recommandation : — Sur ton chemin, tu
rencontreras
deux fontaines. L’une est celle des négresses et
m’a donné un cheval, un Grain Magique et une négresse. En chemin j’ai
rencontré
deux fon taines : je me suis trompée. Je me suis
I Mais le jeune homme eut le temps de lui crier : — Va devant toi. Tu
rencontreras
une fontaine. Une négresse, notre servante, y vie
» Mais lui, dans le secret, cheminait vers la Mecque. Ceux qui l’ont
rencontré
sont venus témoigner. Proverbes Noire et camuse.
rent en marche. Ils demandaient la charité de village en village. Ils
rencontrèrent
une source sur leur chemin : le petit garçon y bu
mon frère, s’écria Mehend devenu pâle, ne me quitte pas, toi que j’ai
rencontré
sur mon chemin alors que j’étais seul et loin de
ne éclairait merveilleusement la forêt. Soudain, les yeux du veilleur
rencontrèrent
, à l’entrée de la caverne, un arbrisseau aussi vi
veillait sur moi jour et nuit. J’étais à peine adolescent quand je le
rencontrai
. Je venais d’échapper par miracle à la surveillan
je partis, ô roi, le visage tourné vers l’Orient. A tous ceux que je
rencontrais
, je demandais inlassablement: «Connaissez-vous le
èrent. La mère courut annoncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a
rencontré
la femme qu’il aime et l’a épousée ! Le sultan so
ur son cheval d’éclairs et de vent. Il voyageait depuis peu lorsqu'il
rencontra
des chevriers. Ils étaient fort ennuyés et agités
a : ‹ Quel bonheur ! mon frère est donc passé par là. › Plus loin, il
rencontra
des bergers. Ils lui dirent : — Ta brebis est dev
na le buisson pour la pierre. Le Subtil courait, courait toujours. Il
rencontra
un olivier : — Veille à l’olivier ! cria-t-il enc
et de bois en bois, le fusil sur l’épaule, au gré de sa fantaisie. Il
rencontra
un jour une créature si belle qu’on en bénissait
erai ni à l’argent, ni à rien. Mais, te laisser épouser une vagabonde
rencontrée
par hasard sur le chemin et de qui nous ne savons
porterai. Parle ou je parlerai. Le surveillant garda le silence. Ils
rencontrèrent
une rivière : Le fils du roi dit : — Fais-moi tra
us voici bien fatigués. Nous frapperons à la première maison que nous
rencontrerons
et nous demanderons qu’on nous permette d’y passe
homme. Une nuit, à l’entrée d’un village inconnu, le frère et la sœur
rencontrèrent
une vieille femme. Ils lui dirent : ‹ Notre mère,
les traversèrent et que de champs d’oliviers ! Que de troupeaux elles
rencontrèrent
I — Arriverons-nous avant le coucher du soleil ?
Dieu et se remit à gratter le sol. Elle gratta si bien que ses doigts
rencontrèrent
une fève. Elle l’éplucha, en fit six parts qu’ell
elles, humant le vent et folâtrant. Elles allèrent, s’étonnant de ne
rencontrer
aucun être vivant. Les portes d’une ville leur ap
ongtemps des yeux. Il alla. Il alla sur son cheval noir. Un berger le
rencontra
: — Berger, n’as-tu pas remarqué une caravane emm
e voyage, et le cheval aussi. Une vieille femme, vêtue pauvrement les
rencontra
. Cheikh Smaïn lui parla doucement, du haut de sa
lle n’avait pas de corde, à tâtons, elle chercha un lien : ses doigts
rencontrèrent
des feuilles d’oignons sauvages. Elle s’en servit
elle se répandit de village en village. Les souris et les rats qui se
rencontraient
se disaient les uns aux autres : — Avez-vous ente