e se réveilla, chercha le poisson et ne le vit pas. C'est alors qu’il
remarqua
un jeune homme beau comme un clair de lune. L'inc
ffensait Abderahman et le faisait souffrir. Le pauvre Hacène, lui, ne
remarquait
rien. Son frère avait beau le rudoyer, le battre
és au loin. Seul restait encore l’os de l’avant-bras. Un jeune berger
remarqua
cet os blanc comme craie et net dans le soleil, u
que faire pour toi ?... Mon frère que faire pour toi? Tout à coup, il
remarqua
deux petits lézards en train de se disputer. L'un
attendit la petite fille pour la dévorer aussi. Elle vint. Mais elle
remarqua
, dès qu’elle fut devant la masure, que du sang co
me I Reskia et son frère entrèrent dans le village au crépuscule. Ils
remarquèrent
une vieille femme qui avançait à quelques pas d’e
is chacals approchèrent tout naturellement de la bête. Soudain, il en
remarqua
un qui avançait à pas prudents, regardant de droi
tour le verger. Le poète et le tailleur dormaient quand le menuisier
remarqua
un frêle arbrisseau qui semblait danser sous la l
a sur son cheval noir. Un berger le rencontra : — Berger, n’as-tu pas
remarqué
une caravane emmenant une jeune fille ? lui cria
Ils marchèrent. Ils marchèrent longtemps. A la tombée de la nuit, ils
remarquèrent
sur la .nJine une maisonnette tout éclairée. Sept
s’arrêta pour souffler un peu. Un vieillard, poussant un troupeau le
remarqua
sur le bord du chemin et le regarda avec bonté. —