t lui déclara : — Je veux épouser la négresse. — Comment oserons-nous
regarder
en face nos voisins? s’indigna le père. Tu veux n
son cœur : — Lorsque cette enfant sera devenue adolescente, nul ne me
regardera
plus. L’enfant avait huit ans. Elle était pleine
sa un cri. Il dressa la tête, ouvrit des yeux comme des étoiles et la
regarda
.-11 regarda la petite fille que Dieu seul avait p
l dressa la tête, ouvrit des yeux comme des étoiles et la regarda.-11
regarda
la petite fille que Dieu seul avait pu ^réer. La
. Mais une nuit, par mégarde, il marcha sur un serpent. Ce serpent le
regarda
, se dressa et lui soufflant son haleine au visage
s : elle mit à profit ces absences. Tout d’abord, elle se contenta de
regarder
timidement au travers des hautes herbes et des br
ge défiait la lumière. Une nappe d'or l’habillait. Quand je voulus la
regarder
de plus près, je m’aperçus qu'elle n’était plus l
dit : — Je suis un être comme toi. Je suis la fille du serpent. Il la
regarda
tandis qu’elle parlait, s’émerveillant de son vis
rpent dit à la jeune fille : — Va, ma fille, sois vaillante, va et ne
regarde
surtout pas en arrière mais toujours en avant I E
pour que je lui donne confiance, éloignez-vous. Aîcha, le lendemain,
regarda
entre les palmes et vit une vieille femme toute v
s comment m’y prendre, mon enfant. Je n’y vois goutte. La jeune fille
regarda
prudemment autour d’elle et ne vit personne. Alor
a fit asseoir sur la margelle, s’accroupit a ses pieds et lui dit : —
Regarde
ce qu’il peut y avoir dans mes cheveux, j’ai une
homme prit un grand couteau et s'approcha de la gazelle. Mais elle le
regarda
, les yeux pleins de larmes. Le domestique revint
tuer : cette gazelle n’est pas une bête mais un être humain. Elle me
regarde
, et les mains m’en tombent ! La femme jalouse dem
elle et avec toi I › Très surpris, le sultan avança vers le puits et
regarda
: il vit une jeune femme élevant dans ses bras un
seller et, agrippé à sa crinière, il s’élança. La foule stupéfaite le
regarda
et s’ouvrit pour laisser passer le fils du roi qu
me beau comme un clair de lune. L'inconnu était de noble stature ; il
regarda
Mehend et lui dit : — Je suis ton frère. Il ne te
mit à l’implorer dans la nuit : «Par Dieu et son prophète, ô femme !
regarde
-moi, parle-moi et dis-moi qui tu es ! › Elle lui
après l’autre. Un peu à l’écart, son lévrier près de lui, Mehend les
regarda
passer. Chaque fois que l’une apparaissait, le su
ait me mettre immédiatement à la recherche de mon frère. Le sultan le
regarda
longuement et finit par dire : — Mon fils, ton fr
e. Il l’étendit avec précaution sur la couche la plus moelleuse et le
regarda
intensément dormir. Il lui vit des joues plus ple
rbe Comme la sauterelle qui en a enfanté quatre-vingt-dix-neuf ; Elle
regarde
en arrière, disant : Ma mère, ma mère ! Moi qui m
ée parmi les jeunes filles du village et pose la main sur elle. Je ne
regarderai
ni à l’argent, ni à rien. Mais, te laisser épouse
nt successivement. Les sept frères gisaient en désordre et Mehend les
regardait
se demandant ce qu’il ferait d’eux, lorsqu'il avi
un arbre, il attendit les aigles. Il les vit bientôt descendre et les
regarda
manger. Ils mangèrent, mangèrent comme jamais. Al
re filtrait à travers les fissures de la porte. Ils s’approchèrent et
regardèrent
, l’un après l’autre, par le trou de la serrure. A
Ogre et la fit voler en éclats. Alors, se tenant sur le seuil, Mehend
regarda
la jeune femme et lui dit d’une voix terrible : —
é ou je le chercherai ». Lorsque tu es entré dans notre maison, tu as
regardé
ma sœur et tu as dit : ‹ Le plat est beau, mais i
enu ? Elle lui répondit en souriant : — Souviens-tol. Tu m’as dit : ‹
Regarde
autour de toi, prends tout ce qui te plaira dans
dans un coin et lui chuchota : — As-tu observé ta sœur? L’as-tu bien
regardée
?... Vois comme son ventre grossit de jour en jour
croire, demain dis à ta sœur : ‹ Je sens une démangeaison à la tête,
regarde
un peu ce que je puis y avoir. › Et tu poseras, c
endit de cheval et chercha d’où pouvait provenir ces lamentations. Il
regarda
tout autour de lui et finit par découvrir le trou
jette dans ce trou en pleine forêt et m’y abandonne I Le cavalier la
regarda
, la regarda longuement en silence. Et puis il l’a
ce trou en pleine forêt et m’y abandonne I Le cavalier la regarda, la
regarda
longuement en silence. Et puis il l’assit devant
n de mon frère, laisse-nous partir et Dieu t’en saura gré. Le père la
regarda
et ne dit mot. Reskia se leva dès l'aube. Elle s’
es Seigneurs. Chant de méditation La mort s'aborde avec courage Et se
regarde
avec orgueil, Le rire des ennemis est seul redout
t, ses petites mains croisées et ses pieds repliés sous elle. Et elle
regardait
sans se lasser les flammes. Et elle écoutait le v
arer à ce nouveau danger, Aïcha tenait à deux mains son cœur, n’osant
regarder
vers le pauvre homme qui les menait à la mort. Le
t les vapeurs l’entraînent I Peu de temps après, arrive la Puce. Elle
regarde
autour d’elle : point de Pou I Elle s’en réjouit
. Sept frères y demeuraient avec leur sœur, une toute jeune fille, et
regardaient
avec inquiétude approcher les voyageurs. L'aîné d
emblant d’espoir. Quand il les rouvrit, l’instant d’après, la lune le
regardait
dans le ciel fleuri d’étoiles. Cheikh Smaïn remer
eillard, poussant un troupeau le remarqua sur le bord du chemin et le
regarda
avec bonté. — Mon père, lui dit le prince, veux-t
ent un panier et mendient. Ils sont repus : ils prennent un poignard.
Regarde
vers ces cavaliers : En est-il un, parmi eux, Qui
in de Dieu, û hommes de bonne volonté I implorait cette voix. La mère
regarda
ses enfants et son mari assis autour du haut plat