égresse. Ils la brûlèrent et répandirent ses cendres dehors. Puis ils rapportèrent à leur sœur de l’eau puisée à la fontaine des bla

Grenouille, elle, courut à la fontaine chercher de l’eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour mettre sa maison en ordre

te direction ; essaie de trouver, parmi les ronces, quelques mûres et rapporte aussi des figues, si tu peux. Le Crapaud partit à

r, la Grenouille dit au Crapaud : — Homme ! lève-toi. Il faut partir. Rapporte -nous des légumes, tandis que je m’en vais tout ra

lle se rendait à la fontaine de grand matin et puis au bois d’où elle rapportait des fagots et de l'herbe pour ses lapins et pour

ailli pour les sucer. La fillette s’en retourna vers sa mère pour lui rapporter ce qu’elle avait surpris. La mère lui dit : — Ne

ez pas, c’est contagieux I Chanson des Noirs Selma m’a dit Mohand mon frère Rapporte -moi de l’huile Pour engraisser Ah lima. Selma m'a

orte-moi de l’huile Pour engraisser Ah lima. Selma m'a dit Mohand mon frère Rapporte -moi de l’orge Pour gaver Ahlima. La négresse m'a

n frère Rapporte-moi de l’orge Pour gaver Ahlima. La négresse m'a dit Rapporte de l’huile, Si tu oubliais, Nous nous brouillerio

l’huile, Si tu oubliais, Nous nous brouillerions. La négresse m'a dit Rapporte des figues, Si tu oubliais Nous nous quitterions.

aux enfants : — Nos fèves doivent être mûres. Allez au champ nous en rapporter quelque peu. Us y allèrent mais pour dire au reto

. Au mois de mai, toutes les fèves de la région étaient mûres. On les rapportait par pleines charges sur des ânes. — Les nôtres so

t du café à ses hôtes. Et puis 11 les reconduisit. Et la femme courut rapporter un tamis qu’une voisine lui avait prêté. Alors, Z

vait coutume de rentrer. Mehend revenait tout joyeux de la chasse. Il rapportait beaucoup de gibier. Mais il trouva sa compagne al

is que tu me mènes sur le plus haut glacier et que tu me permettes de rapporter un peu de cette eau merveilleuse pour laquelle se

, remplissaient à la source lointaine les outres en peau de chèvre et rapportaient même de la forêt des charges de bois mort. Les pl

tes, toute notre famille enfin. Nous reviendrons par la forêt et nous rapporterons du bois. Toi, pendant ce temps, allume le feu et

Puisses-tu déverser sur nos têtes quelques-unes des grâces que tu as rapportées de la Mecque I — Soyez les bienvenus, leur répond

rêt et l’hiver approche. Prends une corde et viens avec moi ; nous en rapporterons tous deux une bonne charge et demain ce sera au t

elles qui remplissaient à la fontaine les gourdes et les outres, qui rapportaient de la forêt de petites charges de bois mort, qui

oyez, Sire, répondit le marquis : c’est un pré qui ne manque point de rapporter abondament toutes les années. » Le maistre Chat,

omit une grosse somme d’argent s’il en venoit à bout. Le petit Pouçet rapporta des nouvelles dés le soir même , et cette premier