i en donnait un plein panier pour la payer de sa peine. L’hiver, elle
ramassait
les olives et recevait de l’huile en échange. Ell
a mère furieuse prit un vieux plat ébréché qu’elle remplit de braise,
ramassa
des branchages et courut au cimetière pour brûler
ant de source en source et demandant parfois la charité. L’hiver, ils
ramassaient
les olives d’autrui. L’été, ils aidaient aux mois
eil, un jour qu’il poursuivait dans le ravin une chèvre rétive. Il le
ramassa
et s’en fit une flûte. Quand il eut percé sept tr
is, ils mangèrent la galette, les œufs, les olives et les figues. Ils
ramassèrent
avant la nuit de l’herbe pour leur âne et un peu
u fond : c’était là tout ce qui restait de son frère. La fillette les
ramassa
soigneusement, les essuya et les étendit sur le t
rtant aidaient aux travaux des champs, menaient paître les troupeaux,
ramassaient
l’herbe, cueillaient des légumes et des fruits da
t de se mettre à l'ouvrage. Les petites, s’encourageant mutuellement,
ramassèrent
à qui mieux mieux du bois mort. Elles se trouvaie
i, alla tout près, à l’endroit du village où l’on jette les détritus,
ramasser
quelques brindilles : il était pressé d’arriver l
11 se leva. Il cueillit un bouquet de feuilles à l’arbre merveilleux,
ramassa
son bâton et se remit en marche. Il alla, il alla
blutions dans le ruisseau pour rom- pre le lien fragile et sortir. Il
ramassa
des cailloux ; il en remplit l’outre qu’il referm
forêt était proche du village ; il l’atteignirent de grand matin. Ils
ramassèrent
du bois et firent deux fagots. Comme la mère se b