orcière, s’avança et leur dit : — Bienvenu soit votre frère I Ils lui
répondirent
: — Maudite sois-tu I Et ils partirent droit deva
cupule ? Si tu as du temps de reste, laisse-moi passer I Settoute lui
répondit
: — Comment oses-tu parler, toi dont les sept frè
nous avons tant cherché. Et je n'ai plus que toi. Mais la jeune fille
répondit
fermement : — Puisqu’ils ne me connaissent pas, i
sa fille. La jeune fille qui l’entendait grâce au Grain Magique, lui
répondait
alors pour la rassurer. Et le Grain transmettait
se me dit : — Descends pour que je monte ! » Un écho mélancolique lui
répondit
: — Va... Va... Va... I La négresse apeurée n'ins
e dis-je ! La jeune fille appela vainement sa mère. Comme le Grain ne
répondait
plus, la négresse contraignit la jeune fille à de
compagnerez-vous à la maison de notre père et de notre mère ? Ils lui
répondirent
: — Repose-toi quelques jours. Nous réfléchirons.
errogea la jeune fille. Il lui dit : — Qui es-tu, créature ? Elle lui
répondit
: — Moi? Je-suis ta sœur. Lorsque j’étais dans la
Je lui ai dit : ‹ Donne-moi ton tour ! › (j’étais pressée). Elle m’a
répondu
: ‹ Comment oses-tu parler, toi dont les sept frè
sœur pour lui demander : — Qu’est-ce qui soulagerait ton cœur ? Elle
répondit
: — Je voudrais sa Tête pour chenet. Son pied pou
une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang ! L’autre
répondit
: — Il n’y a que Loundja, la fille de Tseriel, qu
Ne pourrais-tu me donner asile pour cette nuit, au nom de Dieu ? Elle
répondit
: — Moi, je suis la fille de Tseriel. La fille de
s une odeur qui n’est pas nôtre. Je sens l’odeur de l’homme ! Loundja
répondit
: — Un mendiant est passé, ce soir, et je lui ai
lui dire : — Vite, elle dort. Prends tes jambes à ton cou I Mais lui
répondit
: — Je ne partirai que si tu m’accompagnes. Car j
qu'à prononcer ces mots : ‹ O fille de nègres, dépouille ta peau I ›
répondit
l’aîné. Le cadet se dit alors : ‹ Si une négresse
uptiale, il lui dit : — Fille de chiens, dépouille ta peau t Elle lui
répondit
par un aboiement furieux. — Dépouille ta peau, fi
i ce jour pouvait ne pas finir I — Nous reviendrons quand tu voudras,
répondit
le Crapaud. La Grenouille chargea en soupirant le
ne apparut. — Je suis fatiguée, reprit la Grenouille. — Lève la tête,
répondit
le Crapaud. Derrière cette colline se trouve le v
agacé : — Quelle est cette eau qui mouille mes talons? La Grenouille
répondit
. — C’est l’eau de la laine qui dégoutte du couff
. — Dame Grenouille? appela-t-il. — Qui marche au-dessus de mon toit?
répondit
-elle, irritée. Des débris tombent sur mon dîner.
dèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses enfants. La voix de Dieu lui
répondit
: — Ne pleure plus ton fils Tîfas. Tifas est au p
nous est la belle, ô lune, qui de nous est la belle ? Et la lune lui
répondait
: — Toi et moi sommes également belles, mais la f
st la belle, ô lune, qui de nous est la belle? Et chaque fois la lune
répondait
: — Toi et moi sommes également belles, mais la f
age et celui de tes parents pour que je te reconduise vers eux ? Elle
répondit
: — Je m’appelle Jedjigha, mais je ne sais ni le
eilles du prince qui n’hésita pas à interroger le bûcheron. — Prince,
répondit
le bûcheron, une créature m’est bien apparue à l’
: — Au nom de Dieu, je t’en prie, dis-moi qui tu es, créature I Elle
répondit
: — Je suis un être comme toi. Je suis la fille d
omme une rose. Il l’interrogea sur son village, sur ses parents. Elle
répondit
: — C’est ici, dans cette caverne, que j’ai vécu
e serpent et lui dit : — Donne-moi ta fille pour mon fils. Le serpent
répondit
: — Roi, il y a sept ans qu'elle est venue à moi.
e la fille du serpent ? Mais le prince qui mettait son espoir en Dieu
répondit
& la reine et au roi : — J’ai choisi Jedjigha
brise. La pierre a dit : « La tête me fait mal ». La motte de terre a
répondu
: « Il ne me reste plus rien à dire. » C'est la j
et si roses : ils boivent le lait de la vache ! — Tu feras comme eux,
répondit
la mère. Tout ce que tu les verras faire, fais-le
it vivre dans ma maison. Homme, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui
répondit
: • — Femme, Dieu veuille te raisonner . comment
. — Dieu veuille nous préserver de la malédiction des orphelins I lui
répondait
-on. Nous ne déposséderons pas des orphelins. Il r
est pas ainsi, bonne mère, que l’on pose le plat à galette I Settoute
répondit
: — Je ne sais comment m’y prendre, mon enfant. J
successivement à tous les serviteurs de la lui égorger. Mais tous lui
répondirent
: — Nous ne pouvons tuer la gazelle au regard hum
uvre O Aïcha ma sœur, fille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui
répondait
: Aïcha, ta sœur, est dans le puits Aïcha, ta s
: Dès qu’elle entendait sa voix plaintive, elle levait la tête et lui
répondait
du fond du puits : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le
fille de ma mère, Délivre-moi I › C’est ainsi qu'il entendit le puits
répondre
à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puit
, ma sœur, fille de ma mère. Délivre-moi ! › Ils entendirent le puits
répondre
à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur, est dans le puit
le, qui est-elle ? — Cette gazelle? C'est le frère de ma jeune femme,
répondit
le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou mangé qui
rents. Le roi et la reine le supplièrent vainement de rester. Il leur
répondit
d'une voix ferme : — Je reviendrai avec Soumicha
pays de Soumicha fille de Hitine? Et tous lui montraient l’Orient et
répondaient
: — Va, va toujours face au soleil levant I Après
ans toi je ne saurais trouver celle que je cherche. — Ne crains rien,
répondit
le jeune homme aux yeux de faucon. Je suis sous l
e, ô femme ! regarde-moi, parle-moi et dis-moi qui tu es ! › Elle lui
répondit
dans un murmure : «Je suis celle qui t'aime. › Le
main avant que tu ne m’aies montré la voie qui mène à Soumicha », lui
répondis
-je posément. Alors, elle m’indiqua l’Orient de sa
le pays de Soumicha, fille de Hitine?» Et tous me désignant l’Orient
répondaient
: « Va, va toujours face au soleil levant I » J'a
isse-nous aller ta fille et moi vers mon père et ma mère. — Mon fils,
répondit
gravement le sultan, tout ce que tu viens de dire
s revenir. Peut-être même est-il déjà en route ! Le sultan ne sut que
répondre
. Mais telle était la certitude de sa femme qu’il
iries et du ciel d’ici. Je veux découvrir le monde. — Oh I mon frère,
répondit
l’autre, notre mère n’a que nous... Mais le premi
ce dragon qui condamne à la soif toute la contrée ? L’un d’entre eux
répondit
: — C’est un dragon qui a sept têtes et une queue
les richesses du sultan, quelle est la plus précieuse ? . — Sa fille,
répondit
le plus vieux de l’assemblée, son unique fille qu
dragon dit encore : — Celle-là n’est pas ma tête I Et le jeune homme
répondit
: — Celui-là n’est pas mon coup I Par six fois le
chée ; par six fois il dit : — Celle-là n’est pas ma tête ! Et Mehend
répondit
; — Celui-là n’est pas mon coup ! ■Le dragon mont
me donner ta fille ! Le sultan garda un instant le silence et puis il
répondit
: — Après-demain, sortiront de mon palais cent je
raissait, le sultan demandait : — Est-ce celle-là ? Et le jeune homme
répondait
: — Non I Elles défilèrent lentement devant lui,
elèrent : — Ta chèvre s’est multipliée, viens voir tes chevreaux I Il
répondit
: — Je reviendrai. Et il pensa : ‹ Quel bonheur !
a des bergers. Ils lui dirent : — Ta brebis est devenue troupeau I Il
répondit
: — Laissez-moi, je reviendrai. Et il alla, il al
e la forêt ? — Parce que c’est là que se trouve le jardin de Tseriel,
répondit
le Vieux Sage. Si Mehend s’y est aventuré, elle l
se font du mal les uns aux autres I Mais le lézard qui l’entendit lui
répondit
avec ironie : — Pleure sur toi, pleure ta misère,
nos champs et nos bêtes m’attendent. — Moi aussi j’ai le mal du pays,
répondit
Mehend. Je veux revoir ma mère et lui amener ma f
a lorsqu’ils rentrèrent. Il leur dit : — Comment avez-vous fait ? 'Us
répondirent
: — Nous avons commencé par le haut du champ. Nou
ir : — Cette fois, vous devez avoir fini. Jusqu'où avez-vous semé? Us
répondirent
: — Des fèves ? Nous en avons semé jusqu'à la riv
ais bien que nous n’avons pas semé de fèves? — Ne t’inquiète de rien,
répondit
le Subtil : faisons rouler notre tamis : là où il
nnocent : — Va voir un peu si l’âne ne s’est pas sauvé. Et l’Innocent
répondait
: — Il est toujours à la même place. Je vois boug
er car, moi, je me lève et parle quelquefois la nuit à mon insu. Elle
répondit
: — Lorsque tu entendras l’âne braire dans mon ve
as voir le petit garçon qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la femme
répondit
: — Mes parents s’ennuyaient de lui. Us sont venu
. Car chaque jour le père demandait : — Où est le petit ? Et la femme
répondait
, de plus en plus embarrassée : — Il est chez mes
arents, il rentrera bientôt. Arriva le moment où la femme ne put plus
répondre
: ‹ H est chez mes parents, il rentrera bientôt.
i la porte, Ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! Et le grand-père
répondait
: — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma
te, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I Il entendit le vieillard
répondre
: — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma
e, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba 1 — Sauve-toi, maudit ! lui
répondit
le vieux. Crois-tu que je ne te reconnaisse pas ?
oix aussi fine, aussi claire que celle de sa petite fille. Le sorcier
répondit
: — Va, enduis-toi la gorge de miel et allonge-to
père Inoubba I — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille !
répondit
l'aïeul. L'Ogre s’était muni d’une chaîne : il la
— Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! L’Ogre
répondit
de sa voix fine et claire : — Fais sonner tes pet
it. Il leur déclara : — C’est elle que je veux ou je mourrai. Le père
répondit
: — Mon fils, je t’ai tout donné, tout accordé ju
les étoiles en plein midi I La terre regorge de femmes I Mais Mehend
répondit
: — Il n'existe plus de femme au monde pour qui a
e ce matin éclatante de santé comme une grenade et toute rieuse? Elle
répondit
: — Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir guérir,
visage? Ne sais-tu pas qu'elle en veut à ta vie? — Si tu es mon ami,
répondit
Mehend, indique-moi où me procurer la pomme encha
re que tu as foulée I Mais, que puis-je pour toi? — Maman-grand'mère,
répondit
Mehend, on m’a appris que tu avais dans ton jardi
e bien portante et joyeuse lorsque je suis parti pour la chasse. Elle
répondit
dans un souffle : — Si tu m’aimes, si tu tiens à
uelle se battent les monts ! Le Sage le considéra longuement avant de
répondre
: — Crois-moi, je te le jure par cette barbe tout
e de leur malédiction parce que je t’ai épousée contre leur gré. Elle
répondit
à travers ses larmes : — Mieux vaudrait te résign
t en ma possession, lui-dit-il — Exige de moi tout ce que tu voudras,
répondit
la lionne, mais rends-moi mon petit. — Laisse-moi
moi aller au marché et voir tes sujets. — Fais selon ton plaisir, lui
répondit
le roi. ■Le prince s’en vint donc au marché et di
branches et dont chaque branche porte trente feuilles ? Aucun ne sut
répondre
. Tous les hommes restèrent muets. Le marché se di
u pars et que tu nous reviens les mains vides. Pourquoi ? — Ma fille,
répondit
le surveillant, le fils du roi est venu et nous a
anche porte trente feuilles. La jeune fille réfléchit un peu avant de
répondre
: — C'est facile, mon père : l’être qui le matin
veillant et lui dit : — Je veux entrer dans ta maison. Le surveillant
répondit
: — Bien, seigneur. Et ils partirent à pied. Le p
ou je te la ferai traverser. Le surveillant qui ne comprenait rien ne
répondit
pas. Us arrivèrent en vue de la maison. La plus j
mur derrière elle et devant elle un autre : le métier. La jeune fille
répondit
: — Lorsque tu t’es mis en route, tu as déclaré à
ù ton savoir dépassera le mien, ce jour-là nous nous séparerons. Elle
répondit
: — Je ferai toujours tout ce que tu voudras. Néa
mère de l'enfant vivant. La reine réfléchit un instant. Et puis elle
répondit
: — ‹}ue le roi dise simplement aux deux femmes :
élera plus grand que le mien, ce jour-là nous nous séparerons. › Elle
répondit
: — Je me souviens. Mais accorde-moi encore une g
e vers le soir. Il dit : — Où suis-je ? Et qui m’a conduit ici ? Elle
répondit
: — C’est moi. Il lui dit encore : — Pourquoi ?..
. Il lui dit encore : — Pourquoi ?... Comment suis-je venu ? Elle lui
répondit
en souriant : — Souviens-tol. Tu m’as dit : ‹ Reg
veux faire pipi. — Retiens-toi ! supplia la mère. — Je ne peux pas !
répondit
l’enfant. Alors, la mère, lui tendit l’une après
pourrais-je trouver une petite maison et du travail? La vieille femme
répondit
: — Je suis âgée, fatiguée, seule au monde et je
vers son frère et lui dit : — Ali, mon frère, je veux te marier I Il
répondit
: — Ma sœur, ne sommes-nous pas heureux? Pourquoi
mme et lui dire : — Tu as dit vrai ! — Fais d’elle ce que tu voudras,
répondit
Zahoua. Nous ne pouvons plus la garder chez nous
trouver l'agilité de ta jeunesse? — J’avoue que la chose me plairait,
répondit
le lion. — Alors, arme-toi de patience. Je serai
reprirent-elles toutes à la fois, nous te délivrerions. — C’est juré,
répondit
le lion. Alors, les perdrix se posèrent gracieuse
t que tu aies retrouvé l’agilité de ta jeunesse I Le lion se garda de
répondre
et fit le mort. Le chacal s’approcha au point de
er du soleil ? demandaient- elles par moment à leur père. Et lui leur
répondait
à peine dans sa barbe touffue. La mule maintenant
es rochers. Il appela, il appela désespérément, mais le vent seul lui
répondit
, un vent qui hurlait à la mort. Alors, le père ro
emment son œil et s’éloigna, laissant le chat gronder sa queue qui ne
répondait
pas. Le bel animal avait pour habitude de se leve
ouper? Parie ou je pisse sur le feu pour l’éteindre. Et comme elle ne
répondait
pas, il la fouettait à tour de pattes. Tant que A
s, notre prince, qui n’en a point. — Appelez-le comme il vous plaira,
répondit
le sultan. C’est alors qu’apparut l’ange, parmi l
père, j’aimerais sortir et aller à la chasse. — C’est bien, mon fils,
répondit
le sultan. Et il ordonna à deux serviteurs fidèle
is-tu pas que c’est moi qui ai ruiné cette cité ? — Prends ton sabre,
répondit
Cheikh Smaïn avec calme. Prends ton sabre, et bat
mphé. Prends notre sœur, elle te revient. — Je la prendrai avec joie,
répondit
Cheikh Smaïn, mais seulement à mon retour, car j’
s : Ta galette ne cuira jamais I — Je suis aveugle, ma pauvre enfant,
répondit
Settoute. Ne pourrai-tu me venir en aide ? Celle
arrêta par ces mots : — Maître, je vois du sang parmi tes proches. Il
répondit
; — Que la volonté de Dieu et celle de mon père s
à mon fils? tonna-t-il devant ses serviteurs rassemblés. — Seigneur,
répondirent
en tremblant les serviteurs, vous avez été obéi c
e, lui dit-elle avec tendresse, je vois du sang sur tes vêtements. Il
répondit
: — Que la volonté de Dieu et celle de mon père s
rince qui se reposait près d’une fontaine, dans son admirable jardin,
répondit
simplement : — Je ne crains ni le plomb, ni le fe
faut bien qu’il y en ait une ? Le prince réfléchit un temps avant de
répondre
. 11 dit : — J’ai là, dans ma poche, une chaînette
ins que rien ne puisse te sauver I Et il avait été assez insensé pour
répondre
encore : — Que la volonté de Dieu et celle de mon
ir de leurs ailes car il tremblait de froid. — Nous n’en ferons rien,
répondaient
férocement les aiglons. Tu peux bien mourir de fr
vir de pâture aux fauves I — Cheikh Smaïn a ses yeux dans ses poches,
répondit
gravement le vieil aigle. S’il veut revoir la lum
je sois ton fils? Tu es vieux et je te vois travailler. ' — Mon fils,
répondit
le vieillard, c’est Dieu qui t’envoie, car nous s
eur à l’intérieur du palais : — Je sens l’odeur du maître I — Va, lui
répondirent
-elles avec tristesse, le maître est bien mort. Au
permis au sultan d’épouser les veuves de son fils. — Bien. Seigneur,
répondirent
humblement les Notables. Une foule énorme se pres
es genoux, Velâjoudh, ils me font mal au dos ! De loin, Velâjoudh lui
répondit
dans un éclat de rire : — Que me veux-tu, maman-g
t à tout. Les ogresses lui dirent : — Viens donc manger, Vetellis t H
répondit
aimablement : — Quand vous aurez fini, mes tantes
râces que tu as rapportées de la Mecque I — Soyez les bienvenus, leur
répondit
le chat en lissant ses moustaches avec lenteur. M
e. Alors, lorsqu’il fut assuré que tous les rats des environs avaient
répondu
à son appel, le Chat-pèlerin fit signe au chaton
n mendiant demandait l’aumône, nul ne faisait la sourde oreille ni ne
répondait
cruellement : ‹ Dieu y pourvoira ›, car dans cett
tu désires dans le secret de ton cœur ? Et l’enfant, à demi endormie,
répondait
en se tournant vers le mur : — Je ne désire rien