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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
sa place à table, on vit entrer une vieille fée, qu’on n’avait point priée , parce qu’il y avait plus de cinquante ans qu’ell
regardant les yeux baignez de larmes, donnez moy un peu de temps pour prier Dieu. — Je vous donne un demy-quart d’heure, repr
luy dit : « Ma sœur Anne (car elle s’appelloit ainsi), monte ; je te prie , sur le haut de la tour, pour voir si mes freres
emme, se tournant vers luy, et le regardant avec des yeux mourans, le pria de luy donner un petit moment pour se recueillir.
’elle estoit à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de luy donner à boire. « Ouy da, ma bonne mere »,
vit sortir de sa bouche cinq ou six perles et autant de diamants, la pria de luy dire d’où cela luy venoit. Elle luy conta
ifiquement. Il arriva que le fils du Roi donna un bal & qu’il en pria toutes les perſonnes de qualité : nos deux Damoiſ
outes les perſonnes de qualité : nos deux Damoiſelles en furent auſſi priées , car elles faiſoient grande figure dans le pays.
aller encore le lendemain au Bal, parce que le Fils du Roi l’en avoit priée . Comme elle eſtoit occupée à raconter à ſa Marain
mange, peut-estre qu’il aura pitié de nous, si vous voulez bien l’en prier . La femme de l’Ogre qui crut qu’elle pourroit le
t qu’ils luy tenoient le poignard sur la gorge, il m’a aperçeu et m’a prié de vous venir avertir de l’estat où il est, et de
2 (1966) Le grain magique
es chemins? — La jouvencelle du jouvenceau m’a délaissé. — Je vais la prier de revenir, si Dieu veut la conseiller. — Dame Gr
a pas fait bon visage. — Tu verras, moi, elle me suivra, car je ne la prierai pas. — Qui cogne à mon nid ? Des débris tombent s
é embaume comme un grain d’ambre noir. Disparut en allant à la source prier . Ses fidèles se sont dit : ‹ un lion l'a mangé. »
rta les branches et lui dit en s’avançant : — Au nom de Dieu, je t’en prie , dis-moi qui tu es, créature I Elle répondit : —
ont ri de moi. Ah I la la. Ma fille, ô ma fille Ah ! la la Il te faut prier Dieu Ah l la la Un jouvenceau viendra Ah ! la la
Il révéra de toi. Ah ! la la. Ma mère, ô ma mère Ah I la la J'ai déjà prié Dieu Ah ! la la Un vieillard est venu Ah I la la
in et je te laisserai à ta maison, à tes enfants et à ta vache. Il la pria , la supplia en vain. Il finit par céder. Le lende
Le Cheikh Mohand Quel Houssine Ramier nourri sur les remparts Allant prier près d'une source. De pièces d'or la trouva plein
lève l Vous aux vêtements de soie. Aux écharpes immaculées, Nous vous prions d'implorer Dieu. Qu'afflue vers nous l'abondance.
nche dédaignée qui aveugle. Chant du berceau Etoile du matin, je t’en prie , Parcours les deux A la recherche de mon enfant E
ez confiance dans le ciel de mars qui rit Ni en la femme si même elle prie . Chant de méditation Je suis semblable, ma mère,
s longtemps voir la perdrix. Un matin, elle dit à sa mère : — Je t’en prie , laisse-moi l’entrevoir, seulement l’entrevoir !
e est une rose A l'aurore éclose, Dans un jardin, près de l’étang. Je prie les dieux de la rendre Aussi folle que je suis fo
ésentera bien un passant pour les recueillir I Le pauvre homme lutta, pria , supplia et finit par céder. Recroquevillée près
lui dit, baissant les yeux : — Mon père, éloigne-toi un instant je te prie , car je n’ose me dévêtir devant toi. Il sourit tr
e menuisier lui a donné un corps, le tailleur une robe. Je vais, moi, prier Dieu de lui donner une âme». Et la poupée devint
éblouira au réveil. Cheikh Smaïn écouta le discours du vieil aigle et pria Dieu que se réalisât ce qu’il venait d’entendre.
artez tous les deux, dit-elle. Le père veillera sur le fils et moi je prierai pour que vous me soyez bien vite rendus. Ils part
uvrait d'épaisses couvertures, Et je riais sous cape de tous ceux qui priaient . Le démon m’a montré le chemin de l'ablme, Et du
x ; il en remplit l’outre qu’il referma et puis il s’éloigna. Tseriel pria . Ensuite elle tira de son corsage un morceau de g
J’ai semé un champ dans la plaine Et non dans la pierraille, Et j'ai prié pour que lève une abondante moisson. C'était du b
Un mot suffit pour que les marchés se concluent Chant d'exil Je t’en prie , ô jeune Taleb, Ecris pour moi une longue lettre
couvrir, parmi les étoiles, Le visage de ceux qui se sont envolés. Je prie Dieu et les amis de Dieu Pour que lui apparaissen
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