sa place à table, on vit entrer une vieille fée, qu’on n’avait point
priée
, parce qu’il y avait plus de cinquante ans qu’ell
regardant les yeux baignez de larmes, donnez moy un peu de temps pour
prier
Dieu. — Je vous donne un demy-quart d’heure, repr
luy dit : « Ma sœur Anne (car elle s’appelloit ainsi), monte ; je te
prie
, sur le haut de la tour, pour voir si mes freres
emme, se tournant vers luy, et le regardant avec des yeux mourans, le
pria
de luy donner un petit moment pour se recueillir.
’elle estoit à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la
pria
de luy donner à boire. « Ouy da, ma bonne mere »,
vit sortir de sa bouche cinq ou six perles et autant de diamants, la
pria
de luy dire d’où cela luy venoit. Elle luy conta
ifiquement. Il arriva que le fils du Roi donna un bal & qu’il en
pria
toutes les perſonnes de qualité : nos deux Damoiſ
outes les perſonnes de qualité : nos deux Damoiſelles en furent auſſi
priées
, car elles faiſoient grande figure dans le pays.
aller encore le lendemain au Bal, parce que le Fils du Roi l’en avoit
priée
. Comme elle eſtoit occupée à raconter à ſa Marain
mange, peut-estre qu’il aura pitié de nous, si vous voulez bien l’en
prier
. La femme de l’Ogre qui crut qu’elle pourroit le
t qu’ils luy tenoient le poignard sur la gorge, il m’a aperçeu et m’a
prié
de vous venir avertir de l’estat où il est, et de
es chemins? — La jouvencelle du jouvenceau m’a délaissé. — Je vais la
prier
de revenir, si Dieu veut la conseiller. — Dame Gr
a pas fait bon visage. — Tu verras, moi, elle me suivra, car je ne la
prierai
pas. — Qui cogne à mon nid ? Des débris tombent s
é embaume comme un grain d’ambre noir. Disparut en allant à la source
prier
. Ses fidèles se sont dit : ‹ un lion l'a mangé. »
rta les branches et lui dit en s’avançant : — Au nom de Dieu, je t’en
prie
, dis-moi qui tu es, créature I Elle répondit : —
ont ri de moi. Ah I la la. Ma fille, ô ma fille Ah ! la la Il te faut
prier
Dieu Ah l la la Un jouvenceau viendra Ah ! la la
Il révéra de toi. Ah ! la la. Ma mère, ô ma mère Ah I la la J'ai déjà
prié
Dieu Ah ! la la Un vieillard est venu Ah I la la
in et je te laisserai à ta maison, à tes enfants et à ta vache. Il la
pria
, la supplia en vain. Il finit par céder. Le lende
Le Cheikh Mohand Quel Houssine Ramier nourri sur les remparts Allant
prier
près d'une source. De pièces d'or la trouva plein
lève l Vous aux vêtements de soie. Aux écharpes immaculées, Nous vous
prions
d'implorer Dieu. Qu'afflue vers nous l'abondance.
nche dédaignée qui aveugle. Chant du berceau Etoile du matin, je t’en
prie
, Parcours les deux A la recherche de mon enfant E
ez confiance dans le ciel de mars qui rit Ni en la femme si même elle
prie
. Chant de méditation Je suis semblable, ma mère,
s longtemps voir la perdrix. Un matin, elle dit à sa mère : — Je t’en
prie
, laisse-moi l’entrevoir, seulement l’entrevoir !
e est une rose A l'aurore éclose, Dans un jardin, près de l’étang. Je
prie
les dieux de la rendre Aussi folle que je suis fo
ésentera bien un passant pour les recueillir I Le pauvre homme lutta,
pria
, supplia et finit par céder. Recroquevillée près
lui dit, baissant les yeux : — Mon père, éloigne-toi un instant je te
prie
, car je n’ose me dévêtir devant toi. Il sourit tr
e menuisier lui a donné un corps, le tailleur une robe. Je vais, moi,
prier
Dieu de lui donner une âme». Et la poupée devint
éblouira au réveil. Cheikh Smaïn écouta le discours du vieil aigle et
pria
Dieu que se réalisât ce qu’il venait d’entendre.
artez tous les deux, dit-elle. Le père veillera sur le fils et moi je
prierai
pour que vous me soyez bien vite rendus. Ils part
uvrait d'épaisses couvertures, Et je riais sous cape de tous ceux qui
priaient
. Le démon m’a montré le chemin de l'ablme, Et du
x ; il en remplit l’outre qu’il referma et puis il s’éloigna. Tseriel
pria
. Ensuite elle tira de son corsage un morceau de g
J’ai semé un champ dans la plaine Et non dans la pierraille, Et j'ai
prié
pour que lève une abondante moisson. C'était du b
Un mot suffit pour que les marchés se concluent Chant d'exil Je t’en
prie
, ô jeune Taleb, Ecris pour moi une longue lettre
couvrir, parmi les étoiles, Le visage de ceux qui se sont envolés. Je
prie
Dieu et les amis de Dieu Pour que lui apparaissen
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