un au xv' siècle, racontent un si grand nombre d'histoires que, si on
prenait
ia peine de les mettre par écrit, on en remplirai
illa de ses vêtements pour s’en habiller. Puis elle monta à cheval et
prit
une pose digne. La pauvre jeune fille dut suivre
’il est Jaune est perdu. Chant d'exil Petit oiseau, fils d’étourneau,
Prends
ton essor dis la prière de l’aube Vers la jeune t
profita pour délivrer le jeune homme et lui dire : — Vite, elle dort.
Prends
tes jambes à ton cou I Mais lui répondit : — Je n
ara à l'aide d’un bâton. Mais le plus grand des aigles se vengea : il
prit
sous son aile le jeune homme et l'éleva dans les
jeune homme. Elle dit au père en arrivant : — Ton fils, un aigle l’a
pris
sous son aile et l’a enlevé en plein ciel ! * Le
était aussi chétif et faible dans l’herbe qu’un oisillon. Le père le
prit
contre lui et le ramena. Loundja prit soin de cel
sins et des figues. Le Crapaud se saisit d’une sacoche et d’un sac et
prit
le chemin du marché. La Grenouille, elle, courut
rte-nous des légumes, tandis que je m’en vais tout ranger. Le Crapaud
prit
la sacoche et la corbeille de joncs pour se rendr
rs seul si tu veux. Je ne puis plus faire un pas. Alors le Crapaud la
prit
à califourchon sur ses épaules. Au bout d’un mome
de est entrée dans la mare I — Est-ce tout?... Ce n’est pas grave. Il
prit
son vol. —Qui donc est sur mon toit? cria la Gren
ntants dans la campagne. La voisine nous accompagnera. Au matin, elle
prit
deux montants bien solides et une grosse pelote d
vie... Je l’ai perdue de vue et j’ai continué à marcher jusqu'ici. Il
prit
de l’eau pour lui laver le visage, les mains et l
ie incandescente du brandon qu’elle appliqua sur sa tête. Ses cheveux
prirent
feu en un éclair et le buisson épineux qu’ils éta
ô Aïcha ma fille, la mare où éteindre ces flammes ! › une torche aux
prises
avec l'immense hurlement des chiens et du vent. U
en pleurant : — La vache m'a frappée comme j’allais m’approcher pour
prendre
sa mamelle I Le soir, lorsque le père rentra, la
n défaire. — Tu as entendu ? Tu vendras la vache, tu la vendras ou je
prendrai
ma fille par la main et je te laisserai à ta mais
lle s’en revint en vomissant par les chemins. Alors, sa mère furieuse
prit
un vieux plat ébréché qu’elle remplit de braise,
plus que l’exil. Elle glissa dans son corsage un morceau de galette,
prit
son frère par la main et ils partirent droit deva
pose le plat à galette I Settoute répondit : — Je ne sais comment m’y
prendre
, mon enfant. Je n’y vois goutte. La jeune fille r
finit par dire à un serviteur : — Egorge-moi cette gazelle ! L’homme
prit
un grand couteau et s'approcha de la gazelle. Mai
qu'il a bu ou mangé qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors, le Cheikh
prit
de l’eau (car il était aussi magicien), prononça
prince le mangea de grand appétit ; lorsqu'il n’en resta que l’os, il
prit
cet os et le frappa contre le mur pour en extrair
Il sortit de sa chambre comme un fou, s’empara d'un poulain qu’il ne
prit
pas le temps de seller et, agrippé à sa crinière,
t sa mère et se jeta sur un lit en frissonnant. La reine inquiète lui
prit
la main : — Mon fils, lui dit-elle, on t'a jeté u
qu’on lui préparât des provisions et qu’on sellât son cheval. Puis il
prit
congé de ses parents. Le roi et la reine le suppl
déjà son couteau lorsque Mehend, fils de roi, s’interposa et dit : —
Prends
mon cheval et donne-moi ce poisson. Le pêcheur cr
cheval contre un poisson aussi gros fût-il? Mais le prince répéta : —
Prends
mon cheval et donne-moi ce poisson. Alors le pêch
oyaume. Mais écoute mon aventure : un jour, voulant me divertir, j’ai
pris
la forme d'un énorme poisson. Et je riais de ma m
une nostalgie indéfinissable m’alanguissaient. Quand j’eus mangé, je
pris
l’os et le frappai contre la muraille pour en fai
pour la caresser à loisir tout en murmurant les tendres berceuses qui
prenaient
naissance dans son cœur. Dehors, le vent soufflai
e garçon taciturne était devenu un homme qui refusait farouchement de
prendre
femme et fuyait toute compagnie. Son visage tranc
os biens. Et je partirai seul sur mon cheval d'éclairs et de vent. Je
prendrai
ma carabine, mon sabre et l’un de nos lévriers (j
mon secours. Le lévrier que je te laisse te conduira jusqu'à moi. Il
prit
son sabre, sa carabine, son lévrier et il partit
êtèrent : — Pour Dieu, lui dirent-ils, tue-nous l’oiseau de proie qui
prend
entre ses serres nos agneaux l A l’heure où le so
aine. L’homme ou l’animal qui se hasarde jusque-là est perdu : il est
pris
entre les sept têtes et la queue du dragon et, en
ux-sept-têtes, déclara Mehend. Le lendemain, il se leva dès l’aube. H
prit
son sabre, emmena un berger et son troupeau pour
la septième tête, de toutes la plus monstrueuse. Le jeune homme alors
prit
son sabre à deux mains et la fit voler au loin. L
i boitait un peu. Le lévrier partit le premier et Mehend s’élança. Il
prit
dans ses bras la jeune fille si belle qu’autour d
quatre-vingt-dix-neuf jeunes filles, il offrit des présents. Lorsque
prirent
fin les réjouissances, il dit à son gendre qui ét
rs et de vent et s’éloigna dans la direction qu’il n’aurait jamais dû
prendre
. Il atteignit la forêt comme le soleil se montrai
gnent I Il monta son cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier,
prit
son sabre, sa carabine et, à son tour, s’éloigna.
Elle chavira et s’écroula lourdement. Alors, il descendit de cheval,
prit
un fin poignard et fendit doucement, très douceme
en réjouit et courut retrouver son frère au jardin. Il le souleva, le
prit
dans ses bras et le porta jusqu’à la demeure de l
nstallèrent tous les trois pour la veillée. C’est alors que le Subtil
prit
sa plus douce voix pour demander à Tseriel : — Ma
a vache meugler et les poules caqueter. Il se dit : ‹ Elle dort. › Il
prit
une corde et lui attacha les pieds. Son frère dor
t à son frère : — Remets les épines I L’Innocent déposa la porte pour
prendre
sur son dos un buisson d’épines. Il faisait nuit.
ier? — C’est toi qui me l’as dit. — T’ai-je dit cela ? T'ai-je dit de
prendre
l’olivier sur ton dos? Je t’ai crié : ‹ Prends ga
prends garde à l’arbre... › Allons, pose ton olivier I Le Subtil lui
prit
la main et chercha le gué. Il faisait jour lorsqu
'une toute jeune fille, A la chair tendre, au teint blanc comme lait,
Prenne
Aichoucha Lârbi Youssef. Mais toi, ô Fatima, Bijo
ier. Libére-toi, ou tu n'es qu’une juive, L’adolescent qui te plaira,
prends
-le I Proverbe C’est la branche dédaignée qui aveu
e se leva pour goûter le sel. La viande était presque cuite : elle en
prit
un morceau et s’éloigna. Mais l’odeur la suivait,
cha dans sa couchette. Dès que s’éloignaient ses parents, la fillette
prenait
le linge sur ses genoux et pleurait, pleurait son
’Ogre entra et dévora le pauvre vieux. Et puis il revêtit ses habits,
prit
sa place et attendit la petite fille pour la dévo
e jour pour la première fois. Ma vie est en elle et mon âme ! › Il la
prit
par la main et la conduisit à ses parents, elle,
: l'honneur nous le défend, mon fils, et notre nom est grand ! Mehend
prit
la jeune fille par la main et s’éloigna avec elle
erveilleuse pour laquelle se battent les monts. Le père des aigles le
prit
sous son aile et l’éleva vers le Septième Mont, d
sa compagne, en se dirigeant vers la trappe : — Cette fois, si tu t’y
prends
bien, si tu suis toutes mes recommandations, rien
s, répondit la lionne, mais rends-moi mon petit. — Laisse-moi d’abord
prendre
de ton lait dans cette outre et profite de ce que
sses : ils sont les soutiens, les piliers de la maison. Et toi, tu as
pris
les pattes parce que tu es l’invité : ce sont tes
t l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles en vinrent à crier. A se
prendre
aux cheveux. Le roi était perplexe. La reine, int
dans la maison de ses parents, la jeune reine ouvrit le coffre. Elle
prit
doucement son époux dans ses bras et l’étendit su
en souriant : — Souviens-tol. Tu m’as dit : ‹ Regarde autour de toi,
prends
tout ce qui te plaira dans le palais et emporte-l
porte-le. › Or, rien dans ton palais ne m’était cher que toi. Je t’ai
pris
, Et je t'ai emporté dans un coffre. ■Le roi et la
grand matin, N’a pas sa part des richesses. Chant des morts La mort a
pris
les talons Ses lèvres se dessèchent, Nous irons d
s la Maison Inconnue. (Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) La mort a
pris
les genoux Et se propage Comme le feu dans un fou
s tailler le linceul. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort a
pris
les doigts Que la famille l'entoure Et lui fasse
uvait ici, il nous tuerait I La mère remplit un panier de provisions,
prit
sa fille par la main et sortit. Elles marchèrent
le veux bien, je ne te demanderai que l’enfant qu’elle porte en elle.
Prends
-le délicatement, ne lui fais aucun mal. Et donne-
e village. Ali dormit mal cette nuit-là. Il se réveilla dès l’aube. H
prit
une corde et s’en alla trouver sa sœur : — Lève-t
Elle s’habilla pauvrement, jeta sur son épaule l'outre aux serpents,
prit
son fils d’une main, un panier de provisions de l
e Tant le matin que la nuit. Je lui dis : ‹ Console-toi, ma fille, Et
prends
appui sur Dieu : Il n’est pas de nœud qui ne se d
. Je prie les dieux de la rendre Aussi folle que je suis fou, Et nous
prendrons
la voie des champs ! Proverbes L’exil est frère d
e propriétaire de l'arbre est là ! Les chacals tentèrent de s’enfuir.
Pris
de panique, ils tirèrent de toutes leurs forces e
udents, regardant de droite et de gauche, comme s’il redoutait d’être
pris
. Le lion bondit et, de sa patte puissante saisit
lors, il ranimait son feu, s’étendait sur la peau de panthère et s’en
prenait
obstinément à sa queue. Il lui disait, en l’accab
entement et comprit qu’elle était mobile. Elle en trouva le secret et
prit
la clef des champs. Qui dira son émerveillement d
te fois il faudrait que la queue parle et renseigne son maître. Il la
prit
résolument entre ses griffes et lui dit, dardant
restes du chat furent enterrés et la demeure nettoyée. Les orphelines
prirent
possession des richesses que Moche avait amassées
cher du bois. Celui qui reviendra le premier goûtera le sel. 'La Puce
prit
une outre en peau de chèvre et le Pou une corde I
e un regard à droite et à gauche : il est bien le premier ! Alors, il
prend
la louche, il s’approche de la marmite ; il monte
it dans la louche flotter son époux ! Elle laisse retomber la louche,
prend
la marmite par les deux anses, et va la renverser
prince se tourna vers ses compagnons : — Séparons-nous, leur dit-il.
Prenez
par ici tandis que je prendrai par là et ce soir,
mpagnons : — Séparons-nous, leur dit-il. Prenez par ici tandis que je
prendrai
par là et ce soir, retrouvons-nous sous cet arbre
l’autre bout du monde. Le prince paya les oranges du perdant. Puis il
prit
son fusil, son cheval, et partit en hâte vers la
che dont un nègre immense gardait l’entrée. Le nègre dit : — Où as-tu
pris
l’audace d’arriver jusqu’ici ? Ne sais-tu pas que
jusqu’ici ? Ne sais-tu pas que c’est moi qui ai ruiné cette cité ? —
Prends
ton sabre, répondit Cheikh Smaïn avec calme. Pren
né cette cité ? — Prends ton sabre, répondit Cheikh Smaïn avec calme.
Prends
ton sabre, et battons-nous. Le nègre tomba et le
nce allait l’achever quand, à sa grande stupéfaction, il vit ce nègre
prendre
la forme d’une femme à la noble coiffure. Elle su
ien que moi, car je me battrai pour toi jusqu’à la mort. Cheikh Smaïn
prit
le nègre par la main et s'éloigna avec lui. Ils m
il n'y avait ni vaincus, ni vainqueurs, le prince et son nègre fidèle
prirent
leur sabre et s’unirent aux sept frères. L’armée
ire : — Grâce à toi et à ton vaillant compagnon, nous avons triomphé.
Prends
notre sœur, elle te revient. — Je la prendrai ave
non, nous avons triomphé. Prends notre sœur, elle te revient. — Je la
prendrai
avec joie, répondit Cheikh Smaïn, mais seulement
ur, car j’ai affaire au loin. Suivi de son nègre fidèle, Cheikh Smaïn
prit
le chemin des Indes. Durant des jours et des jour
, car vous avez été généreux avec moi tous les deux. Mais comment m’y
prendre
pour approcher cette jeune fille qu’on dit à demi
t que rose va passer en voiture devant la porte et tu n’auras qu’à la
prendre
au vol et à la confier à ton cheval noir. Roundja
lune et que rose ne tarda pas à passer. Cheikh Smaïn s’élança, il la
prit
dans ses bras, et le cheval plus vif que l’éclair
es de soie étoilés d'or. Elle attendait que son époux veuille bien la
prendre
par la main et l’emmener. Cheikh Smaïn parut, la
e renseignerai, sultan. Et le vent n’ira pas plus vite que moi I Elle
prit
un couffin de farine, elle alla s’installer à l’e
première à le saluer et à le presser sur mon cœur ! La jeune femme la
prit
par la main et la conduisit auprès de son maître.
de mon père s’accomplissent I — Du moins, poursuivit la jeune femme,
prends
cette bague que tu laisseras tomber dans ton assi
nduira. Mais pour Dieu, suis-la docilement ou tu es perdu I Le prince
prit
la petite chienne sous son bras et s’éloigna dans
t de regard que pour la chienne. Elle s’arrêta enfin. Cheikh Smain la
prit
alors sur ses genoux, s'assit à l’endroit qu’elle
s à ta merci et à la merci de quiconque me voudrait du mal. Le sultan
prit
la chaînette en tremblant et lia les poignets de
gravement le vieil aigle. S’il veut revoir la lumière de Dieu, qu’il
prenne
quelques feuilles à ce bel arbre auquel il est ad
s : il les mâcha. Dès qu’il en eut pressé le jus dans ses orbites, il
prit
délicatement ses yeux et replaça le gauche à gauc
a vie, à moi, est finie mais la tienne commence. La mort peut bien me
prendre
, ce ne sera pas une grande perte. — Je partirai I
de ses jeux. Proverbes Il n’a aucun sens Comme une lampe à midi. J’ai
pris
un chat pour qu’il me tienne compagnie : Et ses y
gres et ogresses avaient apportés, formaient un énorme tas. Velâjoudh
prit
un tison enflammé et le glissa au cœur du tas de
de main en main. Et chacun dit : —C’est l’œil de Vetellis ! Velâjoudh
prit
alors une poignée de poivre et sauta sur le toit
est morte Toutes les femmes peuvent disparaître ! Ils ont faim : ils
prennent
un panier et mendient. Ils sont repus : ils prenn
s ont faim : ils prennent un panier et mendient. Ils sont repus : ils
prennent
un poignard. Regarde vers ces cavaliers : En est-
i s’étaient assises près de lui et il engloutit ensuite tous les rats
pris
au piège qui tentaient vainement de fuir. Un seul
et, tiraillé entre ces deux furies, le pauvre homme était malheureux.
Prenait
-il le parti de sa mère, l'épouse rassemblait en u
. — J’ai laissé beaucoup de bois mort à la forêt et l’hiver approche.
Prends
une corde et viens avec moi ; nous en rapporteron
n ce sera au tour de la femme de m'accompagner. La mère sans méfiance
prit
une corde et suivit son fils. La forêt était proc
u mal l’assaillirent. Intrigués par l’aspect du capuchon, ils avaient
pris
le foie de la mère pour une bourse pleine d’or. L
dit à l’invité de Dieu i — Voici ta part du souper. Mais le mendiant
prit
l’écuelle encore chaude qu’il posa sur le seuil,
nt des premiers jours ? Il ne lui restait plus rien à découvrir. Elle
prit
au hasard une robe et sourit tristement à tant de
t ma présence à tes côtés. Yamina pleura, supplia mais en vain. Il la
prit
une dernière fois dans ses bras. Il la chargea su
est léger Celui de deux jours est fade, Celui de trois jours, Il faut
prendre
un bâton et le chasser. A la mémoire de mes frère
Oh ! ce jour où ils eurent des ailes, Où s'élançant dans l'espace lis
prirent
leur vol et me laissèrent ' Hirondelle, Bats des
ù est ma fille. A son côté repose-toi. Appuie la tête sur ses genoux,
Prends
toutes les peines de son cœur Pour les jeter du h