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1 (1966) Le grain magique
èrent le henné. La servante le pila, en fit une bouillie qu’elle leur présenta . Alors l’atné ordonna aux deux jeunes filles d'en
ed de mauve poussa. La jeune fille le coupa et en fit un plat qu’elle présenta à ses sept frères, lorsqu’ils rentrèrent de la ch
d’un chasseur? La Perdrix s’en revint pleurant. Le Roitelet enfin se présente : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud ? Pourquoi cet
ux prises avec l'immense hurlement des chiens et du vent. Une mare se présenta enfin devant elle. Tseriel s’y jeta et s'enlisa d
parée Me voici dédaignée. Ma fille, ô ma tille Ah I la la Se sont-ils présentés ? Me suis-je sauvée ? Ma mère, ô ma mère Ah I la l
èles de veiller jalousement sur lui. Il leur recommanda surtout de ne présenter à l’enfant, dès qu’il serait en mesure d'y goûter
et nos serviteurs les plus fidèles qui avaient pour consigne de ne me présenter que des viandes désossées. Et mon père, dans son
uvint des invités que son mari devait lui amener. Qu’allait-elle leur présenter ? Comme elle s’arrachait les cheveux d’angoisse, A
gerai l › Le lendemain, peu avant que n’arrive la fillette, l’Ogre se présenta devant la masure et dit de sa grosse voix : — Ouv
succéda. Un jour que le jeune roi rendait la justice, deux femmes se présentèrent avec un enfant qu’elles se disputaient. L’une dis
-les à leur sort et reviens. Elles sont grandettes, maintenant. Il se présentera bien un passant pour les recueillir I Le pauvre h
'été, un pauvre homme blanc de poussière et vêtu comme un mendiant se présenta aux portes du palais. Il tenait dans sa main le b
itier du royaume, je donnerai ce qu’il demandera. ■C’est alors que se présenta un tout jeune homme : — Qu'on m'apporte un kilo d
ndemain, accompagné d’une imposante escorte, le sultan tout joyeux se présenta devant la tente. Sept hommes en sortirent aussi m
igner habilement ? › se demandait-il avec anxiété. C’est alors que se présenta Settoute, la vieille sorcière. Elle dit : — C’est
bague que tu laisseras tomber dans ton assiette chaque fois qu’on te présentera un plat nouveau. Grâce au précieux anneau, le pri
t l’œil vif. — N’avais-je pas ordonné qu’on empoisonnât tout ce qu’on présenterait à mon fils? tonna-t-il devant ses serviteurs rass
un chaton avec mission de conduire jusqu’à son trône tout rat qui se présenterait . Et puis il fit sa toilette. H revêtit une djella
, Les maladies et les pleurs Afin qu'elles thésaurisent le bien Et se présentent à lui les mains pleines, Après avoir couché dans
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