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1 (1966) Le grain magique
i sont arrivés de bouche en bouche jusqu'à toi, et que tu m’as légués pour que je les fixe en cette langue française, presque au
une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi, rocher Rocher, élève-toi Pour que m’apparaisse Le pays de mes parents 1 Une négress
se Le pays de mes parents 1 Une négresse pisseuse me dit : — Descends pour que je monte ! » Un écho mélancolique lui répondit :
confiés à sa garde : ‹ Elève-toi, élève-toi rocher, Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse
’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi rocher Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse
Va, occupe-toi donc de tes pieds pleins de gerçures ! — Suis-je venu pour que tu m’insultes? Reste dans ta mare si tu t’y trouv
ns un endroit bien abrité, il lui étendit une couche et l’y conduisit pour qu’ elle s’y reposât. Il faut dire que ce serpent n’ét
est ton nom ? Quel est le nom de ton village et celui de tes parents pour que je te reconduise vers eux ? Elle répondit : — Je
e le sentait. Aussi avait-elle mis sur le métier une belle couverture pour que ses petits aient chaud l’hiver et passait-elle se
’abattre le dattier, je me charge de la faire descendre demain. Mais, pour que je lui donne confiance, éloignez-vous. Aîcha, le
te rivale, la fée l’avait attrapée au vol et conduite dans une grotte pour qu’ elle y mît au monde le fils du sultan. La fée soig
illir. Elle y jeta la semoule en fine poussière et la remua doucement pour qu’ il ne s’y fît pas de grumeaux. Mehend bondit, s’em
coche de petits pois et de fèves qu’elle avait fait tremper la veille pour qu' ils germent plus vite. Le père leur remit des pioc
— Demain nous aurons des invités. J’achèterai de la viande au marché pour que tu puisses nous faire un bon couscous de fête. Il
e tourna alors vers la jeune fille pleine d’esprit et lui déclara : — Pour que tu m’aies dit : « Ma mère est allée voir un être
oir un être qu'elle n'a jamais vu ›, il faut qu’elle soit sage-femme. Pour que tu m’aies dit : ‹ Mes frères frappent l’eau avec
chemin est long, porte-moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», pour que le chemin te semble plus court. Tout comme tu lui
érité. Le roi se tourna vers son ministre et dit : — Apporte une lame pour que nous partagions cet enfant. — Non, Seigneur I s’é
ur lui. ta mort a touché la langue Toi, son fils, penche-toi vers lui Pour qu’ il te recommande sa maison et ses biens. (U n’est
ation Mon cœur est ulcéré Par de venimeuses paroles Trop innombrables pour que je les endure. Dieu m'a fait une nature chagrine,
oir-là, Moche rentra plus tard que de coutume. Tl faisait trop sombre pour que Aïcha pût rien découvrir. Mais elle ne perdit pas
à vos tendres bouches d’apporter si importante nouvelle, asseyez-vous pour que je vous raconte son histoire. Et les sept filles
rt. Ma mère, le fleuve m'a emportée. Proverbes I! a nourri un serpent pour qu' il s’enroule autour de son cou ! Les parents se so
e de lait n’eut qu’à faire tourner un anneau d’or autour de son doigt pour que d’innombrables tables en bois précieux surgissent
s ma poche, une chaînette d’argent. Si je consentais à te la remettre pour que tu l’enroules autour de mes poignets, alors seule
onna qu’on le chargeât sur un mulet et qu’on le menât en pleine forêt pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut arrivé au c
us les deux, dit-elle. Le père veillera sur le fils et moi je prierai pour que vous me soyez bien vite rendus. Ils partirent don
Proverbes Il n’a aucun sens Comme une lampe à midi. J’ai pris un chat pour qu’ il me tienne compagnie : Et ses yeux menaçants me
approcha du guichet et dit : — Velâjoudh, mon fils, donne-moi ta main pour que je voie si elle est plus potelée. Il lui tendit l
l fait beau, nos figues sécheront. Chant dbs noces Donne-nous ta main Pour que nous l’enduisions de henné. Dénoue ta longue cein
semé un champ dans la plaine Et non dans la pierraille, Et j'ai prié pour que lève une abondante moisson. C'était du blé de rac
re. Il te suffira de tourner cet anneau que je passe à ta main gauche pour que tout ce que tu désires te soit accordé. Tu habite
les chèvres, les agneaux et même l’âne — se mirent alors à chuchoter pour que seule Yamina les entende : — Tes parents feront t
s, A dévasté deux contrées. Ni teint, ni sourire, Ni longue chevelure pour que nous la tressions. Que celui qui tire sur la cord
onner Connaît la maison. Lorsque la chance vous précède Un mot suffit pour que les marchés se concluent Chant d'exil Je t’en pri
en prie, ô jeune Taleb, Ecris pour moi une longue lettre Au bien-aimé pour qu’ il se souvienne... Depuis un an me voici sans nouv
visage de ceux qui se sont envolés. Je prie Dieu et les amis de Dieu Pour que lui apparaissent en rêve Les enfants qui s’en son
eu Pour que lui apparaissent en rêve Les enfants qui s’en sont allés, Pour qu' il les voie dans l'autre vie, Alors, peut-être, il
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