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1 (1966) Le grain magique
tendirent leur retour. Le soir, lorsqu'ils rentrèrent, la négresse se porta vers eux, les embrassa et leur dit : — Mes frères
e dit : ‹ Je ne m’arrêterai que je n’aie atteint cette fumée. › Il se porta vers elle et découvrit une maisonnette, entourée
ur le feu, il ne lui resta plus qu’à attendre. Au crépuscule, elle se porta à la rencontre de l’époux : il avançait pénibleme
contempler la jeune fille. Elle se tenait appuyée à un arbre, et elle portait à sa bouche des grains de raisin. Il pensa : « Pu
pt trous et taillé le bout, il voulut en tirer des sons. Mais à peine porta-t -il la flûte à sa bouche qu’une voix cristalline s
ses feuilles seront vertes, sois sûr que là où je me trouverai je me porterai bien. Si tu les vois jaunir, alors dis-toi qu’il
ouver son frère au jardin. Il le souleva, le prit dans ses bras et le porta jusqu’à la demeure de l’ogresse. Il l’étendit ave
Tu es aussi valeureux que ton frère ! s’écria le sultan. Et il courut porter l’heureuse nouvelle à sa fille. La princesse pleu
famille offrit un fagot et des hommes accoururent de tous côtés pour porter ces fagots jusqu’à la masure et y mettre le feu.
pe. Elle tira l’anneau : l’un des Sept Ogres était encore vivant I II portait une blessure. La jeune femme le soigna, le nourri
i refusé ce que voulait Dieu. Le chemin est long ; porte-moi ou je te porterai . Parle ou je parlerai. Le surveillant garda le si
Tu as dit enfin à mon père : ‹ Le chemin est long, porte-moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», pour que le chemin te se
emblèrent et se la partagèrent. Mais le lion épargna l’enfant qu’elle portait en elle et le donna à la lapine. La petite fille
c’était un garçon. Sa sœur le serra contre elle en pleurant. Elle le porta dans ses bras durant des jours et des jours. Elle
très loin, par-delà les montagnes. Une mule serait indispensable pour porter les présents et il convenait de se mettre aux pré
coutume — la pleine corbeille de beignets que les fillettes devaient porter en offrande à la jeune épousée. La marâtre donna
radis de Dieu est descendu sur la terre ! Bien entendu, le figuier ne portait pas une seule figue. A l'heure chaude, l'ogresse
s et ogrillonnes grouillaient autour d’eux. Velâjoudh descendit et se porta à leur rencontre. Il imita la voix de Vetellis et
r et d’ensevelir dans la forêt. Je l’avais détaché tout chaud pour le porter à ma femme : elle l’avait exigé. Car pour plaire
‹ Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant courait porter à l’envoyé de Dieu sa part de galette, de couscou
it une écuelle de couscous, de légumes et de viande et dit : — Qui va porter cela au malheureux qui ne craint pas de sortir pa
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
s armes avec un gros singe : il n’avoit pourtant que trois ans. Il le porta à sa femme, qui le cacha avec la petite Aurore, e
ter à écouter un loup, luy dit : « Je vais voir ma mere-grand, et luy porter une galette avec un petit pot de beurre, que ma m
ner pour boire. Le Chat continua ainsi, pendant deux ou trois mois, à porter de temps en temps au roy du gibier de la chasse d
alla auſſi toſt cueillir la plus belle qu’elle put trouver, & la porta à ſa Maraine, ne pouvant deviner comment cette ci
nſuite aux Ducheſſes, & à toute la Cour, mais inutilement : on la porta chez les deux ſœurs, qui firent tout leur poſſibl
, et va les mener coucher. La bonne femme fut ravie de joye, et leur porta bien à souper , mais ils ne purent manger tant il
du lit, et prenant son grand Couteau, allons voir, dit-il, comment se portent nos petits drolles , n’en faisons pas à deux fois
tout ce qu’il vouloit ; car, le Roi le payoit parfaitement bien pour porter ses ordres à l’Armée, et une infinité de Dames lu
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