tendirent leur retour. Le soir, lorsqu'ils rentrèrent, la négresse se
porta
vers eux, les embrassa et leur dit : — Mes frères
e dit : ‹ Je ne m’arrêterai que je n’aie atteint cette fumée. › Il se
porta
vers elle et découvrit une maisonnette, entourée
ur le feu, il ne lui resta plus qu’à attendre. Au crépuscule, elle se
porta
à la rencontre de l’époux : il avançait pénibleme
contempler la jeune fille. Elle se tenait appuyée à un arbre, et elle
portait
à sa bouche des grains de raisin. Il pensa : « Pu
pt trous et taillé le bout, il voulut en tirer des sons. Mais à peine
porta-t
-il la flûte à sa bouche qu’une voix cristalline s
ses feuilles seront vertes, sois sûr que là où je me trouverai je me
porterai
bien. Si tu les vois jaunir, alors dis-toi qu’il
ouver son frère au jardin. Il le souleva, le prit dans ses bras et le
porta
jusqu’à la demeure de l’ogresse. Il l’étendit ave
Tu es aussi valeureux que ton frère ! s’écria le sultan. Et il courut
porter
l’heureuse nouvelle à sa fille. La princesse pleu
famille offrit un fagot et des hommes accoururent de tous côtés pour
porter
ces fagots jusqu’à la masure et y mettre le feu.
pe. Elle tira l’anneau : l’un des Sept Ogres était encore vivant I II
portait
une blessure. La jeune femme le soigna, le nourri
i refusé ce que voulait Dieu. Le chemin est long ; porte-moi ou je te
porterai
. Parle ou je parlerai. Le surveillant garda le si
Tu as dit enfin à mon père : ‹ Le chemin est long, porte-moi ou je te
porterai
; parle ou je parlerai», pour que le chemin te se
emblèrent et se la partagèrent. Mais le lion épargna l’enfant qu’elle
portait
en elle et le donna à la lapine. La petite fille
c’était un garçon. Sa sœur le serra contre elle en pleurant. Elle le
porta
dans ses bras durant des jours et des jours. Elle
très loin, par-delà les montagnes. Une mule serait indispensable pour
porter
les présents et il convenait de se mettre aux pré
coutume — la pleine corbeille de beignets que les fillettes devaient
porter
en offrande à la jeune épousée. La marâtre donna
radis de Dieu est descendu sur la terre ! Bien entendu, le figuier ne
portait
pas une seule figue. A l'heure chaude, l'ogresse
s et ogrillonnes grouillaient autour d’eux. Velâjoudh descendit et se
porta
à leur rencontre. Il imita la voix de Vetellis et
r et d’ensevelir dans la forêt. Je l’avais détaché tout chaud pour le
porter
à ma femme : elle l’avait exigé. Car pour plaire
‹ Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant courait
porter
à l’envoyé de Dieu sa part de galette, de couscou
it une écuelle de couscous, de légumes et de viande et dit : — Qui va
porter
cela au malheureux qui ne craint pas de sortir pa