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1 (1966) Le grain magique
épondait : — Toi et moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Et la jeune femme
épondait : — Toi et moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle mit au monde
l’éclairait faiblement et la lampe posée près du métier. Soudain, la porte qui était restée entrouverte fut poussée et la ve
s. Ils avaient soif. Ils avaient faim. Ils s’arrêtèrent à la première porte et demandèrent au nom de Dieu une cruche d’eau et
eigneur qui est là sous vos yeux. A ses fenêtres, à ses murs et à ses portes sont accrochées des têtes. Et ce sont toutes ces
e. Et Mehend, ébloui, l’aperçut de très loin. Il fut en un éclair aux portes du palais. Mon conte est comme un ruisseau, je l’
, sournois, morose et déplaisant. ■L’hiver, à la veillée, lorsque les portes étaient closes et que dormaient les bêtes sous le
naissance dans son cœur. Dehors, le vent soufflait, entassant contre portes et fenêtres de lourdes brassées de neige. Et l’en
ur faisaient escorte. Lorsque les derniers chevreaux eurent passé les portes du village, c’était la nuit. Mon conte est comme
our le réveiller tout à fait. Puis il tira la targette, entrouvrit la porte et se glissa le premer dehors. — N'oublie pas la
entrouvrit la porte et se glissa le premer dehors. — N'oublie pas la porte ! recommanda-t-il à son frère. L’Innocent arracha
lie pas la porte ! recommanda-t-il à son frère. L’Innocent arracha la porte et la chargea sur son dos. Us traversèrent la cou
ssage et dit à son frère : — Remets les épines I L’Innocent déposa la porte pour prendre sur son dos un buisson d’épines. Il
it et le vit venir portant l’olivier. — Pourquoi, mon frère, pourquoi portes -tu l’olivier? — C’est toi qui me l’as dit. — T’ai
ouscous à la vapeur et vint tranquillement s’asseoir sur le pas de sa porte ; son mari pourrait être fier d’elle, le repas se
s’arrachait les cheveux d’angoisse, Ali, son petit garçon, poussa la porte et entra. Il venait de courir dans les champs et
ortait, car il était paralysé. On lui avait traîné son lit près de la porte , et cette porte, il en tirait la targette à l’aid
tait paralysé. On lui avait traîné son lit près de la porte, et cette porte , il en tirait la targette à l’aide d’un fil. Or c
et un plat de couscous, chantonnait à peine arrivée : — Ouvre-moi la porte , Ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! Et le g
cachette jusqu’à la masure et l’entendit chantonner : — Ouvre-moi la porte , ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I Il ente
e présenta devant la masure et dit de sa grosse voix : — Ouvre-moi la porte , ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba 1 — Sauve
e deux jours, l’Ogre se rendit à la masure et chanta : — Ouvre-moi la porte , ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! Mais le
lors chez le vieillard et chantonna devant sa masure : — Ouvre-moi la porte , ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I — Fais
ndit l'aïeul. L'Ogre s’était muni d’une chaîne : il la fit tinter. La porte s’ouvrit. L’Ogre entra et dévora le pauvre vieux.
marqua, dès qu’elle fut devant la masure, que du sang coulait sous la porte . Elle se dit : ‹ Qu’est-il arrivé à mon grand-pèr
le se dit : ‹ Qu’est-il arrivé à mon grand-père? » Elle verrouilla la porte de l’extérieur et chantonna : — Ouvre-moi la port
Elle verrouilla la porte de l’extérieur et chantonna : — Ouvre-moi la porte , ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! L’Ogre
on grand-père, leur annonça-t-elle en pleurant. J’ai fermé sur lui la porte . Et maintenant qu’allons- nous faire? Le père fit
eu. L’Ogre essaya vainement de fuir. Il pesa de toute sa force sur la porte qui résista. C’est ainsi qu'il brûla. L’année sui
en exil I › Mais si nous vivons une longue vie, L’argent affluera par portes et fenêtres. Et alors, peut-être, jouirons-nous u
-toi de cette jeune fille. Elle ne peut te rendre heureux car elle ne porte pas le bien dans son cœur. Comment oses-tu lui sa
ans bruit le jardin. La lumière filtrait à travers les fissures de la porte . Ils s’approchèrent et regardèrent, l’un après l’
rires : «Mehend, nous l’avons confié à la gueule du lion ›, quand la porte s’ouvrit brusquement. Un coup de sabre trancha la
a torture O mes amis, me voici maigre. Comme un voleur, j’ai passé la porte basse : Mes sandales se sont détachées ; J'ai ava
econde : Quel est l'arbre qui a douze branches et dont chaque branche porte trente feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les
trois ; quel est l'arbre qui a douze branches et dont chaque branche porte trente feuilles. La jeune fille réfléchit un peu
Quant à l’arbre, c’est l’année : l’année a douze mois et chaque mois porte trente jours. Une semaine passa. En ramenant le j
quant à l’arbre, c’est l’année ; l’année a douze mois, et chaque mois porte trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le fil
aradis de Dieu. J’ai refusé ce que voulait Dieu. Le chemin est long ; porte -moi ou je te porterai. Parle ou je parlerai. Le s
us ne voulons pas. Tu as dit enfin à mon père : ‹ Le chemin est long, porte -moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», po
la mère. Si tu le veux bien, je ne te demanderai que l’enfant qu’elle porte en elle. Prends-le délicatement, ne lui fais aucu
s fauves. Elle ne consentit à se reposer qu’au crépuscule, devant les portes d'un village. Elle mit un peu de moelle sur les l
he. Et à la tombée de la nuit les sept petites filles frappaient à la porte de leur père, au grand déplaisir de la marâtre qu
t. Elles allèrent, s’étonnant de ne rencontrer aucun être vivant. Les portes d’une ville leur apparurent, d’énormes portes aux
aucun être vivant. Les portes d’une ville leur apparurent, d’énormes portes aux clous de cuivre. Le silence, l’aspect désert
re homme blanc de poussière et vêtu comme un mendiant se présenta aux portes du palais. Il tenait dans sa main le bâton des pè
ez le chien, sauf votre respect ! La mort est une mendiante qui va de porte en porte. Si ce n’est fade, c’est salé, O mauvais
en, sauf votre respect ! La mort est une mendiante qui va de porte en porte . Si ce n’est fade, c’est salé, O mauvaise étoile
u de chèvre et le Pou une corde Ils sortirent ensemble et tirèrent la porte derrière eux. La Puce alla bien jusqu’à la fontai
il était pressé d’arriver le premier et de goûter le sel Il ouvre la porte , il entre, il lance un regard à droite et à gauch
ves, Le jour de mauvaises nouvelles. La blessure fait souffrir qui la porte . 178 Chant db méditation Mère, ma douce mère, Dan
an, un ange s'en détacha pour venir à sa rencontre et lui dire : — Où portes -tu tes pas si matin, sultan ? N’es-tu pas riche e
e un beau soir que deux jeunes garçons jouaient des oranges devant sa porte . Le perdant s’exclama tout à coup : — Le tour qui
fille plus belle que lune et que rose va passer en voiture devant la porte et tu n’auras qu’à la prendre au vol et à la conf
lune et que rose déclara : — Voici une pomme. Lance-la lui : s’il la porte à ses narines et la met dans sa poche, c’est lui.
out ce que tu voudras, lui recommanda-t-elle. Et elle tira sur lui la porte . Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mange
e tout soit prêt pour notre arrivée. Velâjoudh, l’oreille collée à la porte , ne perdait pas un mot des recommandations que l’
ges et se dirigea vers la dépense. Mais à peine en eut-elle ouvert la porte , que Velâjoudh lui sautait à la gorge. H l’égorge
répondu à son appel, le Chat-pèlerin fit signe au chaton : — Ferme la porte et tiens-toi prêt I lui dit-il d’un ton sans répl
t vieux) avait refusé d’entrer. Il se tenait debout, sur le pas de la porte , et il observait. Il attendait de voir sortir ceu
les une vieille couverture, traversa la cour sous l'averse, ouvrit la porte et dit à l’invité de Dieu i — Voici ta part du so
pour qu’il se souvienne... Depuis un an me voici sans nouvelles, Les portes du retour sont closes : Il m’a dérobé son visage.
prends soin d'elle et comble-la de joie. Ouvre-lui toutes grandes les portes et les voies. Peuple sa solitude, rends-lui léger
ure ! Proverbe Les dents ont beau rire Le cœur sait la blessure qu’il porte . Appel a la joib Aubade rituelle Celui de qui j’a
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
sa mere, ayant cui et fait des galettes, luy dit : « Va voir comme se porte ta mere-grand, car on m’a dit qu’elle estoit mala
hevillette, la bobinette cherra. » Le Loup tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il se jetta sur la bonne femme, et la d
y avoit plus de trois jours qu’il n’avoit mangé. Ensuite il ferma la porte , et s’alla coucher dans le lit de la mere-grand,
le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps aprés, vint heurter à la porte : toc, toc. « Qui est là ? » Le petit Chaperon ro
bobinette cherra » Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Le Loup, la voyant entrer, luy dit en s
u’elle pensa se rompre le cou deux ou trois fois. Estant arrivée à la porte du cabinet. elle s’y arresta quelque temps, songe
surmonter : elle prit donc la petite clef, et ouvrit en tremblant la porte du cabinet. D’abord elle ne vit rien, parce que l
rés avoir un peu repris ses esprits, elle ramassa la clef, referma la porte , et monta à sa chambre pour se remettre un peu ;
Dieu » ; et, levant son bras… Dans ce moment, on heurta si fort à la porte que la Barbe-Bleuë s’arresta tout court. On ouvri
aine tout ce qui s’étoit paſſé au bal, les deux ſœurs heurterent à la porte ; Cendrillon leur alla ouvrir : Que vous eſtes lo
lle de celle qu’elle avoit laiſſé tomber. On demanda aux Gardes de la porte du Palais s’ils n’avoient point veu ſortir une Pr
rest. Ils n’oserent d’abord entrer, mais ils se mirent tous contre la porte pour écouter ce que disaient leur pere et leur me
nfans ? Elle le dit une fois si haut que les enfans, qui étoient à la porte l’ayant entendu se mirent à crier tous ensemble,
s ensemble, nous voyla, nous voyla. Elle courut viste leur ouvrir la porte , et leur dit en les embrassant, que je suis aise
sser des petits cailloux, il ne put en venir à bout, car il trouva la porte de la maison fermée à double tour. Il ne sçavoit
les fois qu’ils descendoient dans quelques fonds. Ils heurterent à la porte , et une bonne femme vint leur ouvrir. Elle leur d
se chauffer ils entendirent heurter trois ou quatre grands coups à la porte , c’estoit l’Ogre qui revenoit. Aussi tost sa fem
oit. Aussi tost sa femme les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la porte . L’Ogre demanda d’abord si le soupé estoit prest
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