épondait : — Toi et moi sommes également belles, mais la fille que tu
portes
en toi nous passera en beauté. Et la jeune femme
épondait : — Toi et moi sommes également belles, mais la fille que tu
portes
en toi nous passera en beauté. Elle mit au monde
l’éclairait faiblement et la lampe posée près du métier. Soudain, la
porte
qui était restée entrouverte fut poussée et la ve
s. Ils avaient soif. Ils avaient faim. Ils s’arrêtèrent à la première
porte
et demandèrent au nom de Dieu une cruche d’eau et
eigneur qui est là sous vos yeux. A ses fenêtres, à ses murs et à ses
portes
sont accrochées des têtes. Et ce sont toutes ces
e. Et Mehend, ébloui, l’aperçut de très loin. Il fut en un éclair aux
portes
du palais. Mon conte est comme un ruisseau, je l’
, sournois, morose et déplaisant. ■L’hiver, à la veillée, lorsque les
portes
étaient closes et que dormaient les bêtes sous le
naissance dans son cœur. Dehors, le vent soufflait, entassant contre
portes
et fenêtres de lourdes brassées de neige. Et l’en
ur faisaient escorte. Lorsque les derniers chevreaux eurent passé les
portes
du village, c’était la nuit. Mon conte est comme
our le réveiller tout à fait. Puis il tira la targette, entrouvrit la
porte
et se glissa le premer dehors. — N'oublie pas la
entrouvrit la porte et se glissa le premer dehors. — N'oublie pas la
porte
! recommanda-t-il à son frère. L’Innocent arracha
lie pas la porte ! recommanda-t-il à son frère. L’Innocent arracha la
porte
et la chargea sur son dos. Us traversèrent la cou
ssage et dit à son frère : — Remets les épines I L’Innocent déposa la
porte
pour prendre sur son dos un buisson d’épines. Il
it et le vit venir portant l’olivier. — Pourquoi, mon frère, pourquoi
portes
-tu l’olivier? — C’est toi qui me l’as dit. — T’ai
ouscous à la vapeur et vint tranquillement s’asseoir sur le pas de sa
porte
; son mari pourrait être fier d’elle, le repas se
s’arrachait les cheveux d’angoisse, Ali, son petit garçon, poussa la
porte
et entra. Il venait de courir dans les champs et
ortait, car il était paralysé. On lui avait traîné son lit près de la
porte
, et cette porte, il en tirait la targette à l’aid
tait paralysé. On lui avait traîné son lit près de la porte, et cette
porte
, il en tirait la targette à l’aide d’un fil. Or c
et un plat de couscous, chantonnait à peine arrivée : — Ouvre-moi la
porte
, Ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! Et le g
cachette jusqu’à la masure et l’entendit chantonner : — Ouvre-moi la
porte
, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I Il ente
e présenta devant la masure et dit de sa grosse voix : — Ouvre-moi la
porte
, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba 1 — Sauve
e deux jours, l’Ogre se rendit à la masure et chanta : — Ouvre-moi la
porte
, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! Mais le
lors chez le vieillard et chantonna devant sa masure : — Ouvre-moi la
porte
, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I — Fais
ndit l'aïeul. L'Ogre s’était muni d’une chaîne : il la fit tinter. La
porte
s’ouvrit. L’Ogre entra et dévora le pauvre vieux.
marqua, dès qu’elle fut devant la masure, que du sang coulait sous la
porte
. Elle se dit : ‹ Qu’est-il arrivé à mon grand-pèr
le se dit : ‹ Qu’est-il arrivé à mon grand-père? » Elle verrouilla la
porte
de l’extérieur et chantonna : — Ouvre-moi la port
Elle verrouilla la porte de l’extérieur et chantonna : — Ouvre-moi la
porte
, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! L’Ogre
on grand-père, leur annonça-t-elle en pleurant. J’ai fermé sur lui la
porte
. Et maintenant qu’allons- nous faire? Le père fit
eu. L’Ogre essaya vainement de fuir. Il pesa de toute sa force sur la
porte
qui résista. C’est ainsi qu'il brûla. L’année sui
en exil I › Mais si nous vivons une longue vie, L’argent affluera par
portes
et fenêtres. Et alors, peut-être, jouirons-nous u
-toi de cette jeune fille. Elle ne peut te rendre heureux car elle ne
porte
pas le bien dans son cœur. Comment oses-tu lui sa
ans bruit le jardin. La lumière filtrait à travers les fissures de la
porte
. Ils s’approchèrent et regardèrent, l’un après l’
rires : «Mehend, nous l’avons confié à la gueule du lion ›, quand la
porte
s’ouvrit brusquement. Un coup de sabre trancha la
a torture O mes amis, me voici maigre. Comme un voleur, j’ai passé la
porte
basse : Mes sandales se sont détachées ; J'ai ava
econde : Quel est l'arbre qui a douze branches et dont chaque branche
porte
trente feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les
trois ; quel est l'arbre qui a douze branches et dont chaque branche
porte
trente feuilles. La jeune fille réfléchit un peu
Quant à l’arbre, c’est l’année : l’année a douze mois et chaque mois
porte
trente jours. Une semaine passa. En ramenant le j
quant à l’arbre, c’est l’année ; l’année a douze mois, et chaque mois
porte
trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le fil
aradis de Dieu. J’ai refusé ce que voulait Dieu. Le chemin est long ;
porte
-moi ou je te porterai. Parle ou je parlerai. Le s
us ne voulons pas. Tu as dit enfin à mon père : ‹ Le chemin est long,
porte
-moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», po
la mère. Si tu le veux bien, je ne te demanderai que l’enfant qu’elle
porte
en elle. Prends-le délicatement, ne lui fais aucu
s fauves. Elle ne consentit à se reposer qu’au crépuscule, devant les
portes
d'un village. Elle mit un peu de moelle sur les l
he. Et à la tombée de la nuit les sept petites filles frappaient à la
porte
de leur père, au grand déplaisir de la marâtre qu
t. Elles allèrent, s’étonnant de ne rencontrer aucun être vivant. Les
portes
d’une ville leur apparurent, d’énormes portes aux
aucun être vivant. Les portes d’une ville leur apparurent, d’énormes
portes
aux clous de cuivre. Le silence, l’aspect désert
re homme blanc de poussière et vêtu comme un mendiant se présenta aux
portes
du palais. Il tenait dans sa main le bâton des pè
ez le chien, sauf votre respect ! La mort est une mendiante qui va de
porte
en porte. Si ce n’est fade, c’est salé, O mauvais
en, sauf votre respect ! La mort est une mendiante qui va de porte en
porte
. Si ce n’est fade, c’est salé, O mauvaise étoile
u de chèvre et le Pou une corde Ils sortirent ensemble et tirèrent la
porte
derrière eux. La Puce alla bien jusqu’à la fontai
il était pressé d’arriver le premier et de goûter le sel Il ouvre la
porte
, il entre, il lance un regard à droite et à gauch
ves, Le jour de mauvaises nouvelles. La blessure fait souffrir qui la
porte
. 178 Chant db méditation Mère, ma douce mère, Dan
an, un ange s'en détacha pour venir à sa rencontre et lui dire : — Où
portes
-tu tes pas si matin, sultan ? N’es-tu pas riche e
e un beau soir que deux jeunes garçons jouaient des oranges devant sa
porte
. Le perdant s’exclama tout à coup : — Le tour qui
fille plus belle que lune et que rose va passer en voiture devant la
porte
et tu n’auras qu’à la prendre au vol et à la conf
lune et que rose déclara : — Voici une pomme. Lance-la lui : s’il la
porte
à ses narines et la met dans sa poche, c’est lui.
out ce que tu voudras, lui recommanda-t-elle. Et elle tira sur lui la
porte
. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mange
e tout soit prêt pour notre arrivée. Velâjoudh, l’oreille collée à la
porte
, ne perdait pas un mot des recommandations que l’
ges et se dirigea vers la dépense. Mais à peine en eut-elle ouvert la
porte
, que Velâjoudh lui sautait à la gorge. H l’égorge
répondu à son appel, le Chat-pèlerin fit signe au chaton : — Ferme la
porte
et tiens-toi prêt I lui dit-il d’un ton sans répl
t vieux) avait refusé d’entrer. Il se tenait debout, sur le pas de la
porte
, et il observait. Il attendait de voir sortir ceu
les une vieille couverture, traversa la cour sous l'averse, ouvrit la
porte
et dit à l’invité de Dieu i — Voici ta part du so
pour qu’il se souvienne... Depuis un an me voici sans nouvelles, Les
portes
du retour sont closes : Il m’a dérobé son visage.
prends soin d'elle et comble-la de joie. Ouvre-lui toutes grandes les
portes
et les voies. Peuple sa solitude, rends-lui léger
ure ! Proverbe Les dents ont beau rire Le cœur sait la blessure qu’il
porte
. Appel a la joib Aubade rituelle Celui de qui j’a