épondit : — Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir guérir, donne-moi la
pomme
enchantée qui confère l’éternelle jeunesse. le je
e? — Si tu es mon ami, répondit Mehend, indique-moi où me procurer la
pomme
enchantée. — Dans le jardin de Tseriel, consentit
puis-je pour toi?» Alors, tu lui demanderas de te laisser cueillir la
Pomme
Enchantée. Va, et que Dieu vienne en aide à celui
mère, répondit Mehend, on m’a appris que tu avais dans ton jardin des
pommes
enchantées, des pommes qui donnent aux bienheureu
on m’a appris que tu avais dans ton jardin des pommes enchantées, des
pommes
qui donnent aux bienheureux qui les goûtent une é
omme vers un bel arbre constelle de fruits. Mehend cueillit autant de
pommes
que put en contenir son panier et reprit le chemi
lit. Le jeune époux s’approcha d'elle très doucement et lui remit les
pommes
enchantées. Elle en mangea et sembla revenir à la
it : — Qu’as-tu? lui demanda-t-il, atterré. Ne t’ai-je pas apporté la
pomme
enchantée, la pomme d'éternelle jeunesse? Je t’ai
demanda-t-il, atterré. Ne t’ai-je pas apporté la pomme enchantée, la
pomme
d'éternelle jeunesse? Je t’ai pourtant laissée bi
à mourir, mes biens iront à des étrangers. L'ange lui remit une belle
pomme
luisante et lui dit : — Donne les épluchures de c
une belle pomme luisante et lui dit : — Donne les épluchures de cette
pomme
à ta jument et le coeur à ta femme. La sultane se
Alors, Roundja plus belle que lune et que rose déclara : — Voici une
pomme
. Lance-la lui : s’il la porte à ses narines et la
aisse à terre, il ne nous restera plus qu’à mourir. Le nègre lança la
pomme
. Le jeune guerrier l’attrapa, la res* pira longue
la prune et la pêche, l’abricot, la grenade, la nèfle, la fraise, la
pomme
et la poire, sans parler des fruits venus des ter
Dans les arbres, entre les feuilles. Les abricots et les pêches, Les
pommes
et les mûres, Les poires et les figues Et toutes