mer et vit sur la plage un pêcheur qui venait de retirer de l'eau un
poisson
aussi grand qu’un homme. Ce poisson vivait encore
qui venait de retirer de l'eau un poisson aussi grand qu’un homme. Ce
poisson
vivait encore et se débattait farouchement pour s
fils de roi, s’interposa et dit : — Prends mon cheval et donne-moi ce
poisson
. Le pêcheur crut à une plaisanterie. Il se mit à
terie. Il se mit à rire : — Qui donc échangerait son cheval contre un
poisson
aussi gros fût-il? Mais le prince répéta : — Pren
s fût-il? Mais le prince répéta : — Prends mon cheval et donne-moi ce
poisson
. Alors le pêcheur libéra le poisson et s'éloigna,
Prends mon cheval et donne-moi ce poisson. Alors le pêcheur libéra le
poisson
et s'éloigna, emmenant le cheval par la bride. Me
menant le cheval par la bride. Mehend s’étendit sur le sable, près du
poisson
, et se mit à réfléchir : il était loin de son pay
il avait épuisé toutes ses provisions et troqué son cheval contre ce
poisson
. Et il ne possédait plus que ce poisson. Il s’end
t troqué son cheval contre ce poisson. Et il ne possédait plus que ce
poisson
. Il s’endormit. Dans son sommeil, il sentit une m
ble et l'eau en étaient tout roses. Le prince se réveilla, chercha le
poisson
et ne le vit pas. C'est alors qu’il remarqua un j
enture : un jour, voulant me divertir, j’ai pris la forme d'un énorme
poisson
. Et je riais de ma métamorphose quand je me senti
n père m’avait remis lorsque j’atteignis le bord de la mer. Un énorme
poisson
se débattait vainement dans un filet et le pêcheu
me restait : mon cheval. Et je demeurai seul sur le rivage, avec mon
poisson
. Le souci, le découragement me guettaient. Par ch
ve me disait à l’oreille : «Mehend, lève-toi et suis-moi. » O roi, le
poisson
avait disparu, mais le jeune homme aux yeux de fa
s partions, jeune tille ? Montons dans une barque, Glissons comme des
poissons
, Puisque vers nous s'avance la mort. Ma mère, le
prêta l’oreille au murmure des fleurs et s’amusa des jeux des petits
poissons
dans l’eau vive. Elle cueillit du jasmin à poigné
les fruits qui pendaient lourdement aux branches, ni les oiseaux, les
poissons
et les insectes d’or n’avaient pouvoir de la sauv