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1 (1966) Le grain magique
a négresse & la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez , chameaux, comme je pleure ! › Elle posait sur un
emeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez, chameaux, comme je pleure ! › Elle posait sur une pierre la galette d’orge
tte d’orge et se laissait mourir de faim. Six chameaux l'imitaient et pleuraient avec elle. Le septième seul, qui était sourd, se
I La négresse à la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez , chameaux, comme je pleure I › Le plus jeune des
emeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez, chameaux, comme je pleure I › Le plus jeune des frères sortit de sa cachett
Ils lui racontèrent comment les chameaux dépérissaient et comment ils pleuraient ; comment ils prenaient part & la peine de la
le mur d’enceinte Et conte-lui ma peine Dis-lui : ‹ Ta mire chante et pleure . » Oiseau, sois vif comme le vent. Toi aux brilla
it par casser le pot. Chant de méditation Une des fidèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses enfants. La voix de Dieu lui répond
e Pleurait l'aîné de ses enfants. La voix de Dieu lui répondit : — Ne pleure plus ton fils Tîfas. Tifas est au paradis, Uni à
te fille, ce qui t'a conduite jusqu'à moi. Elle était sur le point de pleurer . Entendant le serpent lui parler un langage humai
par céder. Le lendemain, il traîna la vache au marché. Les orphelins pleurèrent et se lamentèrent. Lorsqu’il fut arrivé sur la pl
égorgea la vache. Les orphelins se rendirent alors au cimetière pour pleurer sur la tombe de leur mère. Mais voici que deux ro
me-arbrisseau qui n’était qu’une méchante fée. Et la femme-arbrisseau pleura le jeune homme qu’elle aimait et le bonheur qui l
ère dont le crime est de m’avoir trop aimé, et vers cette mère qui me pleure depuis tant d’années? Garde près de toi notre pet
e de bien ! Frappe ta tête au mur ! Chant de méditation Une mendiante pleurait Son fils la consolait. Il lui disait : ‹ Ne pleur
on Une mendiante pleurait Son fils la consolait. Il lui disait : ‹ Ne pleure plus, ma mère. Tourne tes regards vers ces cavali
a son frère sur un lit d’herbe et s'assit près de lui en pleurant. Il pleurait et se lamentait : — Mon frère que faire pour toi
x autres I Mais le lézard qui l’entendit lui répondit avec ironie : — Pleure sur toi, pleure ta misère, car moi, si j’ai tué m
le lézard qui l’entendit lui répondit avec ironie : — Pleure sur toi, pleure ta misère, car moi, si j’ai tué mon frère, je sau
tan. Et il courut porter l’heureuse nouvelle à sa fille. La princesse pleura de joie en montrant à Mehend son fils. Et la cour
t de vous punir. Allons vite retrouver votre mère : elle n’a cessé de pleurer toute la nuit. Lorsqu'ils lui eurent raconté leur
te les voleurs. Complainte du jeune homme assassiné I Venez, amis, et pleurons Laounis, le bien-aimé. Comme il revenait du Sud D
il resplendissait Dans ses vêtements blancs du Djérid. Comme sa mère pleurait en le voyant partir, Il lui dit : — Samedi nous s
u malade. Ses propos ont des cheveux. Celui qui rit, qu'il craigne de pleurer . Les mains, qu’on les fasse travailler Ou qu’on l
oignaient ses parents, la fillette prenait le linge sur ses genoux et pleurait , pleurait son petit compagnon. Ainsi fit-elle cha
ses parents, la fillette prenait le linge sur ses genoux et pleurait, pleurait son petit compagnon. Ainsi fit-elle chaque jour.
uce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer... Car ma sœur pleurerait , pleurerait... Et serait orpheline. L’oiseau ne r
l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer... Car ma sœur pleurerait, pleurerait ... Et serait orpheline. L’oiseau ne revint plus s
se coucher. Son mari ne tarda pas à rentrer. Elle se mit à gémir et à pleurer dès qu'elle l’entendit. Il devint blême et dit :
pas, elle les appela et se mit à rugir plaintivement. Quand elle eut pleuré et appelé en vain, le jeune homme se montra, tena
conté à des Seigneurs. Proverbes J’allais 1e marier Et il s’est mis à pleurer ! Laissez-nous l’enfanter et vous l’étranglerez !
t ! Elle le vit sourire et l’entendit gazouiller. Alors elle cessa de pleurer et se remit en marche. Elle traversa la forêt, to
omme y conduisit sa sœur et l’y précipita sans un mot. Elle appela et pleura d'abord en vain. Mais un cavalier vint & pass
lier vint & passer qui revenait d’un marché voisin. Il l'entendit pleurer . Il descendit de cheval et chercha d’où pouvait p
père rentrera ce soir, quand il reviendra du marché, n’oublie pas de pleurer devant lui et de dire : ‹ Tous les petits garçons
pas de me dire : ‹ Mère, je veux une histoire avant de m'endormir ›. Pleure et supplie-moi jusqu’à ce que je t’en raconte une
on fils. Comme ils se disposaient tous à veiller, Vouïedhmim se mit à pleurer : — Raconte-lui donc une histoire, conseilla le f
qu’il la précipita au fond d’un trou et l’abandonna sans un mot. Elle pleura . Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un c
ipita au fond d’un trou et l’abandonna sans un mot. Elle pleura. Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un cavalier vint
me tuer si tu veux dans cet autre. Chant de méditation La jeune femme pleurait En racontant sa peine, La jeune femme revivait Le
e cherchèrent. Elles l’appelèrent de plus en plus fort et se mirent à pleurer . Alors Aïcha rassembla ses sœurs et leur dit : —
mirent à pleurer. Alors Aïcha rassembla ses sœurs et leur dit : — Ne pleurez pas. Notre père nous a abandonnées à cause de not
trouvaient les orphelines, les ténèbres étaient complètes. Tandis que pleuraient et se désespéraient ses sœurs, Aïcha tâtait les p
nt du berceau Ma mère, ma douce mère, Que celui qui s'apitoie sur moi Pleure avec moi. Ma mère, ma tendre mère, Si j’ai par le
avec moi. Ma mère, ma tendre mère, Si j’ai par le monde un ami Qu'il pleure avec moi I Proverbe Personne ne monte la garde da
me venait de tomber sur sa joue. Alors, il vit que celle qu’il aimait pleurait . — Qu’as-tu, lui dit-il, n’es-tu pas heureuse aup
plaie ! Le criquet est frère de la sauterelle. Chant d’amour L’oiseau pleure L’été est fini pour lui. Mon cœur pleure L’hiver
elle. Chant d’amour L’oiseau pleure L’été est fini pour lui. Mon cœur pleure L’hiver tombe sur lui. Je plains la gerbe de soie
mbe sur lui. Je plains la gerbe de soie Qui s'épanouit et retombe. Je pleure la jeune fille Que la mort a couchée Dans sa beau
s que je sois fatigué, Ce sont mes genoux qui me font mal ! Comme qui pleurerait un mort : Le ramener, ii ne le peut Mais il accum
ne soupçonnait pas. Il se pencha et dit dans un souffle : — Pourquoi pleures -tu ? Ce bonheur ne te suffit-il plus ?... — Je vo
entier, toi qui possédais ma voix et ma présence à tes côtés. Yamina pleura , supplia mais en vain. Il la prit une dernière fo
e n’en a eu qu’un seul Et il était mort-né ! » Chant d'amour Mon cœur pleure , des maux multiples l’accablent. Des ciseaux le c
. Des ciseaux le cisaillent : Fièvre, douleurs, mal au côté. Mon cœur pleure , il est égaré A cause de la tille svelte comme un
îtront ma joie. Ceux qui ont eu froid je les vêtirai, Et ceux qui ont pleuré auprès de moi riront. Ceux qui sont séparés se re
entre les ailes. Tous ses enfants se sont envolés Et lui ne cesse de pleurer . Pitié, ô maître des vents, Venez en aide à ceux
r, Soleil, épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœur pleure Les yeux de l’aigle qui n’est plus : Je ne me rés
t survenue Qui d'un coup l’a déraciné Et l'a couché en plein exil. Je pleure , mes yeux n'ont pas de répit. Soir et matin je pl
plein exil. Je pleure, mes yeux n'ont pas de répit. Soir et matin je pleure Les entants dont s'est retirée la vie : Seghir, l
a frayeur m’habite, je ne suis que tremblement : Si j'ai un ami qu'il pleure ! Proverbe Les dents ont beau rire Le cœur sait l
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ible don fit fremir toute la compagnie, et il n’y eut personne qui ne pleurât . Dans ce moment, la jeune fée sortit de derriere
riant se jetter à son col, et luy demander du bon du bon. Il se mit à pleurer : le couteau luy tomba des mains, et il alla dans
mena aussitost à sa chambre, où, la laissant embrasser ses enfans et pleurer avec eux, il alla accommoder une biche, que la re
, luy demanda ce qu’elle faisoit là toute seule et ce qu’elle avoit à pleurer . « Helas ! Monsieur, c’est ma mere qui m’a chassé
us longtemps qu’elle put ; lorſqu’elle ne les vit plus, elle ſe mit à pleurer . Sa Maraine, qui la vit toute en pleurs, luy dema
ourné. Lors que ces enfans se virent seuls, il se mirent à crier et à pleurer de toute leur force. Le petit Poucet les laissoit
à coucher par charité. Cette femme les voyant tous si jolis se mit à pleurer , et leur dit , helas ! mes pauvres enfans, où est
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