D'autres qu’enchantent les vergers : Ils sont en fleur, leur joie est
pleine
. Il y en a qui en leurs enfants vivent : Ils espè
ux. L'abondance et la prospérité emplissaient leur maison. C’était la
pleine
saison des figues et l’automne approchait. Un mat
rdre. A midi, c’est à peine si elle mangea. Elle s’attela à moudre un
plein
couffin de blé. Quand elle eut fini, elle passa l
r. Elle posa bientôt la marmite à terre et mit sur le feu un chaudron
plein
d'eau. La Grenouille et le Crapaud dînèrent paisi
irer. Retourne auprès de ton mari. — Va, occupe-toi donc de tes pieds
pleins
de gerçures ! — Suis-je venu pour que tu m’insult
rbes Lorsque manquent le cœur et le foie, Mange le mou qui voudra. La
pleine
lune paraît, Les étoiles peuvent bien scintiller
e une louche Et elle paraîtra belle. Il est indiscret comme une jarre
pleine
de fèves. S'inquiéter des racines du brouillard I
ne femme belle, aussi belle que la lune. Et cette femme, les nuits de
pleine
lune, se fardait, peignait et parfumait ses longs
scente, nul ne me regardera plus. L’enfant avait huit ans. Elle était
pleine
de vie et de grâce. Sa mère lui dit un soir : — D
de raisins, de figues, de pêches et de poires et on lui en donnait un
plein
panier pour la payer de sa peine. L’hiver, elle r
d couteau et s'approcha de la gazelle. Mais elle le regarda, les yeux
pleins
de larmes. Le domestique revint vers sa maîtresse
les remparts Allant prier près d'une source. De pièces d'or la trouva
pleine
. — O source, donne-moi de l'eau Car ce monde est
ct les fauves et de l'entretenir tandis que dormiraient ses aînés. La
pleine
lune éclairait merveilleusement la forêt. Soudain
îles firent leur apparition à toutes les fenêtres. Le ciel chantait à
pleine
voix : « Soumicha, notre princesse, est revenue à
mbre la plus secrète (celle dont toutes les fenêtres ouvraient sur le
plein
ciel). Nul ne devait m'approcher hormis ma mère e
pourrais-tu imiter un peu ton frère? Vois comme le Seigneur l’a créé
plein
de grâce : ‹ sa beauté se rit des parures, elle i
et de ses rires, car il était comme les oiseaux, heureux de vivre et
plein
d'insouciance. Un jour d’orage, l’aîné revint à l
moelleuse et le regarda intensément dormir. Il lui vit des joues plus
pleines
et plus colorées : il s’en réjouit et ressortit p
plein ciel un oiseau de proie, lorsqu’ils virent, le long d’un fossé
plein
de fleurs, une brebis blanche et douce, entourée
aim qui frappe à la tête, Le souvenir en reste, si même le ventre est
plein
. La faim qui frappe aux entrailles, Si le ventre
ventre est plein. La faim qui frappe aux entrailles, Si le ventre est
plein
, le souvenir en meurt. LE SUBTIL ET L’INNOCENT
onna une galette de blé, des œufs durs, des olives, des figues et une
pleine
sacoche de petits pois et de fèves qu’elle avait
i, toutes les fèves de la région étaient mûres. On les rapportait par
pleines
charges sur des ânes. — Les nôtres sont sûrement
arbre et se mirent à écosser. Ils en écossaient, tout en mangeant, de
pleins
tamis qu’ils déversaient dans leurs couffins. Or
heure. La nuit tomba sur eux par surprise mais leurs couffins étaient
pleins
. Comme ils se disposaient à les charger sur leur
ement l'oreiller Et vois s'il ne manque de rien. Le Seigneur l'a créé
plein
de grâce, Sa beauté se rit des parures, Elle illu
offert Et il a cassé le plat ! Comme qui ferait de l’œil à une jarre
pleine
de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ MON PERE M’A MANGÉ M
eux filles : l’une fort belle et l’autre, la plus jeune, chétive mais
pleine
d’esprit. Le soir, lorsque son père rentra, cette
on. La plus jeune fille du surveillant (celle qui était malingre mais
pleine
d’intuition) leur ouvrit. Elle ■leur dit : — Soye
osèrent à veiller. Le fils du roi se tourna alors vers la jeune fille
pleine
d’esprit et lui déclara : — Pour que tu m’aies di
pas d’autre Dieu qu'Allah.) La mort atteint les épaules Sa maison est
pleine
et regorge, Que ses mérites le sauvent. (Il n’est
e sentait bien lasse et la petite fille aussi. La nuit les surprit en
pleins
forêt : Où pourraient-elles s’abriter ?... Elles
r les pieds, la tête en bas, la bouche ouverte au- dessus d’un bassin
plein
d’eau que tu remueras à l’aide d'un bâton afin qu
il la suspendit au plafond, juste au-dessus d’un immense plat de bois
plein
d’eau. Et il se mit à remuer cette eau à grand br
sait jour après jour sur la tête de son pauvre homme. — La maison est
pleine
de tes filles, lui disait-elle d’une voix acerbe.
udre un couffin de blé et de cuire — comme l’exigeait la coutume — la
pleine
corbeille de beignets que les fillettes devaient
de la marâtre. En le voyant sans la mule, les mains vides et le cœur
plein
de tristesse, elle éclaterait et l’éclabousserait
hardit même jusqu’à préparer du couscous (elle en avait découvert une
pleine
jarre qui avait séché au soleil). Et des semaines
pièce et disparaître derrière une grosse pierre pour ne pas revenir.
Pleine
d’espoir, Aïcha s’approcha de la pierre, la touch
ans la marmite et il a disparu I 'Le Porteur laisse tomber ses outres
pleines
, charge sur ses épaules les bâts et abandonne ses
A la tombée de la nuit, les serviteurs arrivèrent avec leur gibecière
pleine
. Cheikh Smain avait la sienne vide. Ils la lui re
a mort avait été semée dans cette noble pièce. Et le sultan se disait
plein
d’espoir : — Cette fois, il ne m’échappera pas. I
utes les offrandes pour les mettre en lieu sûr. La maison fut bientôt
pleine
. Des groupes se formèrent : les souris se confiai
pect du capuchon, ils avaient pris le foie de la mère pour une bourse
pleine
d’or. Les malfaiteurs levaient déjà leur matraque
ivre Zârour, Zârour, veux-tu me suivre ? Le mariage d'aujourd'hui Est
plein
de tromperie O mon frère, anneau d’argent clair.
ère regarda ses enfants et son mari assis autour du haut plat de bois
plein
à ras bord. Puis elle remplit une écuelle de cous
oururent des villages voisins pour fêter son retour. Et la maison fut
pleine
comme au temps bienheureux de l’enfance. Durant t
s Afin qu'elles thésaurisent le bien Et se présentent à lui les mains
pleines
, Après avoir couché dans le froid de la tombe. Qu
s d'un enfant, Elles ont la douceur de la soie. Le Seigneur l’a créée
pleine
de grâce ; Les jours où des bijoux rehaussent sa
ler si doux ; Le oui fleurissait sur ses lèvres. Sâdi était un entant
Plein
d'insouciance A la bouche chantante. Mohand était