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1 (1966) Le grain magique
a à cheval et prit une pose digne. La pauvre jeune fille dut suivre à pied . Les voyageuses atteignirent enfin le village où
ait ton cœur ? Elle répondit : — Je voudrais sa Tête pour chenet. Son pied pour tisonnier. Sa main pour pelle à cendre. Ils
à l’endroit où avaient été éparpillées les cendres de la négresse, un pied de mauve poussa. La jeune fille le coupa et en fi
que je sois rassasié. Chant de dansb Le pot s’est renversé C’est mon pied qui l'a heurté Le pot s’est renversé Le vieillard
us aiguës, grandirent démesurément. Tseriel passa néanmoins, mais ses pieds furent déchirés et ses habits mis en lambeaux. El
e : Au matin, il enchante ; Au soir, il déçoit. Marche en suivant tes pieds Non en suivant tes yeux. Qui a chanté tes louange
in, tristement, la sacoche de légumes et la corbeille de fruits à ses pieds . Le Chevrier vint à passer : — Qu'as-tu, mon oncl
t’inspirer. Retourne auprès de ton mari. — Va, occupe-toi donc de tes pieds pleins de gerçures ! — Suis-je venu pour que tu m
du son visage semblable à une rose ; les épines avaient égratigné ses pieds et ses mains. Ses vêtements étaient déchirés. Tan
usqu'ici. Il prit de l’eau pour lui laver le visage, les mains et les pieds . Il la fit asseoir et lui servit à manger. Elle m
tu le resteras tant que je vivrai, afin que les hommes te foulent aux pieds I C’est ainsi qu’il fut changé en serpent. Il aba
re une créature, une créature... une nappe d’or la couvrait jusqu’aux pieds . La lumière qui en émanait m’éblouit. Sans doute
ussée et la veuve vit une silhouette géante, formidable pénétrer. Les pieds foulaient le sol de terre battue ; la tête toucha
vers ses épaules. Le feu gagna ses vêtements et descendit jusqu'à ses pieds . Elle ne fut bientôt qu’une torche en plein vent
n dattier qui touchait à la terre et au ciel. La gazelle s’étendit au pied de l’arbre tandis que Aîcha s’élevait jusqu'aux p
rté un plat à galette et de la farine dans un torchon. Elle creusa au pied de l’arbre le foyer, elle le garnit de trois gros
rès du vieux puits, la fit asseoir sur la margelle, s’accroupit a ses pieds et lui dit : — Regarde ce qu’il peut y avoir dans
irent sur des nattes. Lorsqu’ils furent reposés, ils baignèrent leurs pieds endoloris et se disposèrent à partir. A peine sor
eter. Il se dit : ‹ Elle dort. › Il prit une corde et lui attacha les pieds . Son frère dormait. Il le secoua et lui dit : — L
olives Aoulêlam t La petite aile de l'oisillon ! Ma mère. J'ai mal au pied I Aoulêlam Pousse et berce I La tille aux yeux bl
ors, peut-être, jouirons-nous un peu. Proverbes Il n’emporte avec ses pieds que poussière, Comme les chevaux qui battent le h
. Il attendit que le jeune homme eût rempli son outre et le ramena au pied de l’arbre où il l’avait trouvé. Mehend s’en revi
i passé la porte basse : Mes sandales se sont détachées ; J'ai avancé pieds nus, en retenant mon souffle. Louisa, le petit lo
e soir sur trois, c’est l’homme. Au matin de sa vie, il rampe sur les pieds et les mains, plus grand, il avance sur ses deux
rampe sur les pieds et les mains, plus grand, il avance sur ses deux pieds . Devenu vieux, il s’appuie sur un bâton. Quant à
ois, c’est l’homme. Au matin de sa vie, il rampe sur les mains et les pieds . Plus grand, il avance sur ses deux pieds. Devenu
rampe sur les mains et les pieds. Plus grand, il avance sur ses deux pieds . Devenu vieux, il s’aide d’un bâton. Et quant à l
aison. Le surveillant répondit : — Bien, seigneur. Et ils partirent à pied . Le prince déclara : — Je me suis enfui du paradi
Et toi, tu as pris les pattes parce que tu es l’invité : ce sont tes pieds qui t’on amené jusqu’ici, ce sont eux qui te remm
ches. A la nuit noire, les fauves se rassemblèrent et se massèrent au pied de l’arbre : — Je sens l’odeur de l’homme ! annon
ambes ! › Et tu le verras se tenir debout. ‹ O joie, mon frère met un pied en avant I › Et tu le verras faire un pas. «O joi
le sur les lèvres de l’enfant et s’écria : — O joie, mon frère met un pied en avant I Elle le vit faire son premier pas. Alo
assise dans la cour au soleil. H s’approcha d’elle, s’allongea à ses pieds et enfouit la tête dans le creux de ses genoux. E
Lorsque cette jeune fille aura mangé à satiété, sus- pends-la par les pieds , la tête en bas, la bouche ouverte au- dessus d’u
la génisse la plus grasse. Tl la tua. Il la dépeça et l’abandonna au pied d’un olivier. Caché derrière un gros arbre, il at
Elle était là comme un joli objet, ses petites mains croisées et ses pieds repliés sous elle. Et elle regardait sans se lass
orphelines. Elle leur teignit au henné les cheveux, les mains et les pieds . Elle entreprit de moudre un couffin de blé et de
épondait à peine dans sa barbe touffue. La mule maintenant posait son pied avec une particulière prudence car 'des rochers v
a corbeille, des couffins, des vêtements et des bijoux entassés à ses pieds et les jeta pêle-mêle au fond de la crevasse. Pui
chère Que de fois ai-je teint au henné Tes cheveux, tes mains et tes pieds . Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma très chère, Pou
r le délivra et se retira tout penaud. Et le pauvre prince s'assit au pied d’un arbre et se mit à méditer. La nuit venait, u
na enfin vers son père pour lui clouer contre le mur les mains et les pieds . — Qu’on allume un feu lent à ses pieds, ordonna-
ontre le mur les mains et les pieds. — Qu’on allume un feu lent à ses pieds , ordonna-t-il d'une voix sombre, afin que lenteme
s ânes : Tseriel, l’ogresse, allait boire au ruisseau qui arrosait le pied du figuier. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui
risa et les cailloux se répandirent et roulèrent, blessant Tseriel au pied . — Que Dieu te trompe comme tu m’as trompé I s’éc
r. Il s’éleva jusqu'à la plus haute branche et, regardant non pas ses pieds mais le ciel, il se mit à clamer : — Qui veut man
sclaffa : —Oh I elle a attrapé une racine et elle croit que c’est mon pied ! Comme elle était aveugle, elle lâcha prise. Vel
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
l, cuisiniers, marmitons, galopins, gardes, suisses, pages, valets de pied ; elle toucha aussi tous les chevaux qui estoient
des gueridons, des tables et des miroirs où l’on se voyoit depuis les pieds jusqu’à la teste, et dont les bordures, les unes
tre place auprés des dames que vous y avez veuës. » Elle se jetta aux pieds de son mari en pleurant, et en luy demandant pard
maison en trembla. La pauvre femme descendit, et alla se jetter à ses pieds toute épleurée et toute échevelée. « Cela ne sert
our prendre des rats et des souris, comme quand il se pendoit par les pieds ou qu’il se cachoit dans la farine pour faire le
des plus à la mode, & des miroirs où elles ſe voyoient depuis les pieds juſqu’à la teſte ; la pauvre fille ſouffroit tout
ls du Roy fit publier à ſon de trompe, qu’il épouſeroit celle dont le pied ſeroit bien juſte à la pentoufle. On commença à l
les deux ſœurs, qui firent tout leur poſſible pour faire entrer leur pied dans la pentoufle, mais elles ne purent en venir
il fit aſſeoir Cendrillon, & approchant la pentoufle de ſon petit pied , il vit qu’elle y entroit ſanspeine, et qu’elle y
ndrillon tira de ſa poche l’autre petite pentoufle, qu’elle mit à ſon pied . Là-deſſus arriva la Maraine, qui, ayant donné un
belle perſonne qu’elles avoient veuë au Bal. Elles ſe jetterent à ſes pieds pour luy demander pardon de tous les mauvais trai
promenoit, rêvant profondement, elle entendit un bruit sourd sous ses pieds , comme de plusieurs personnes qui vont et viennen
ce feu. » La terre s’ouvrit dans le même temps, et elle vit sous ses pieds comme une grande cuisine pleine de cuisiniers, de
ui les chaussoit , de sorte qu’elles se trouverent aussi justes à ses pieds et à ses jambes que si elles avoient esté faites
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