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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
u’il avoit fait ; mais, comme elle estoit grandement prévoyante, elle pensa que, quand la princesse viendrait à se réveiller,
t par un petit escalier dérobé, et avec tant de précipitation qu’elle pensa se rompre le cou deux ou trois fois. Estant arriv
uë avoit épousées. et qu’il avoit égorgées l’une aprés l’autre). Elle pensa mourir de peur, et la clef du cabinet, qu’elle ve
s tost ou tard elle a sa récompense, Et souvent dans le temps qu’on y pense le moins.             CENDRILLON LA PETI
ne put s’empêcher de luy reprocher plusieurs fois sa bestise : ce qui pensa faire mourir de douleur cette pauvre princesse. U
sme. Quand elle fut retournée au palais, toute la cour ne sçavoit que penser d’un changement si subit et si extraordinaire : c
nda, aprés avoir remercié son pere, qu’il luy donnast du temps pour y penser . Elle alla par hasard se promener dans le même bo
pareil jour elle avoit promis d’épouser le prince Riquet à la Houppe, pensa tomber de son haut. Ce qui faisoit qu’elle ne s’e
’hui une resolution que je n’ay pû prendre dans ce temps-là ? Si vous pensiez tout de bon à m’épouser, vous avez eu grand tort
les garçons qu’il vouloit égorger. La chose réüssit comme il l’avoit pensé ; car l’Ogre s’estant éveillé sur le minuit, eut
2 (1966) Le grain magique
Qui trouve une figue, prépare une bûche ›. Il est temps pour nous de penser à l'hiver. Rends-toi au marché, achète de la lain
re que son époux la battait. A midi, toute la laine était propre. Ils pensèrent alors à déjeuner. La Grenouille dit au Crapaud :
uyée à un arbre, et elle portait à sa bouche des grains de raisin. Il pensa : « Puisqu’elle mange, je puis l’aborder I › Il é
lle tissait, tissait comme un démon, tandis que la veuve tremblait et pensait : ‹ Ma mère I ma mère I elle va nous avaler, mes
e mirent à jaunir. Ahmed qui les surveillait s’en aperçut aussitôt. H pensa : ‹ Mon frère est en danger. › Il courut vers sa
liée, viens voir tes chevreaux I Il répondit : — Je reviendrai. Et il pensa : ‹ Quel bonheur ! mon frère est donc passé par l
s et princesses, lorsque ton frère partit pour ne point revenir. Nous pensâmes : ‹ Sans doute a-t-il eu la nostalgie de son pays
ère. Le lézard évanoui éternua, se réveilla et se mit à bouger. Ahmed pensa : ‹ Si le lézard a ressuscité son frère, peut-êtr
ndants cheveux la couvraient d’or jusqu’à la taille. Il fut ébloui et pensa : « C’est comme si je voyais le jour pour la prem
emps, assise parmi ses sœurs dans la caverne obscure, la petite fille pensait avec mélancolie : ‹ Si notre père n’avait roulé c
et nèfles lui sortaient par les oreilles et les narines. Alors, elle pensa à ses sœurs. Retroussant sa robe jusqu’aux genoux
èrent et burent, burent et mangèrent avec une joie nouvelle. Et Aicha pensait , en promenant ses regards autour d’elle : ‹ Quel
evant eux. — O notre fille, s’écrièrent-ils, est-ce bien toi que nous pensions à jamais perdue ?... Et d’où nous reviens-tu si g
e et sourit tristement à tant de beauté qui ne la comblait plus. Elle pensa : «Peut-être serais-je plus heureuse dans mon jar
je te remplacerai, Et je leur ouvrirai ma maison toute grande. › J’ai pensé : « Le mal ne peut l'atteindre Lui qui d'un jet a
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