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1 (1966) Le grain magique
578-4 Dewey : 398.4 : Folklore. Contes et légendes des régions et des pays du monde (recueils). Public concerné : Tout publi
la tradition. Car j’ai voulu considérer ces contes et légendes de mon pays moins comme des documents que comme des œuvres d’
ève-toi, élève-toi, rocher Rocher, élève-toi Pour que m’apparaisse Le pays de mes parents 1 Une négresse pisseuse me dit : —
ève-toi, élève-toi rocher, Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse & la maison deme
lève-toi, élève-toi rocher Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse à la maison demeure
Des débris tombent sur mon repas I — C’est la Perdix la plus jolie du pays . — Vraiment 1 si tu étais la Perdrix la plus joli
s jolie du pays. — Vraiment 1 si tu étais la Perdrix la plus jolie du pays , aurais-je trouvé tes sœurs en boule dans la gibe
partions Jeune tille, ô perdrix, Veux-tu que nous allions Changer de pays ? 0 Mali, Mali, ô Mali Mon bien s’en est allé. Il
tous les passants il demandait inlassablement : — Connaissez-vous le pays de Soumicha fille de Hitine? Et tous lui montraie
sable, près du poisson, et se mit à réfléchir : il était loin de son pays et de ses parents ; il avait épuisé toutes ses pr
ère. Sept ans s'étaient écoulés depuis que le prince avait quitté son pays , depuis que son ami et lui erraient de contrée en
rte aux corbeaux. Bien des hommes jeunes et vieux accoururent de tous pays , les uns poussés par l'amour, les autres par la c
e j’ai rencontré sur mon chemin alors que j’étais seul et loin de mon pays . Souviens-toi que sans toi je ne saurais trouver
e humaine pour veiller sur lui. Il avait abandonné ses parents et son pays pour aller à la recherche de Soumicha, la princes
que je rencontrais, je demandais inlassablement: «Connaissez-vous le pays de Soumicha, fille de Hitine?» Et tous me désigna
vait versé des torrents de larmes après le départ de son fils pour le pays de Soumicha et refusé toute lumière et toute nour
neur de ce retour. Mehend et Soumicha avaient laissé loin derrière le pays d’Orient. C’étaient maintenant les terres d’Occid
us jamais revenir. Nul ne connut la fin de son triste destin. Mais le pays tout entier, informé par la flûte, chanta la mort
a les fleuves, parcourut les plaines, gravit les monts. Il laissa son pays loin, bien loin derrière lui et il entra dans une
toutes parts. Tu as été absent si longtemps ! T'es-tu rendu dans ton pays ?... La fille du sultan, ta femme, a accouché en t
t revenir. Nous pensâmes : ‹ Sans doute a-t-il eu la nostalgie de son pays ?... Maintenant, je crains qu’il ne soit allé du c
ne et nos champs et nos bêtes m’attendent. — Moi aussi j’ai le mal du pays , répondit Mehend. Je veux revoir ma mère et lui a
cun mal ne te viendra par moi. Ecoute, si tu voulais me suivre, De ce pays nous nous enfuirions, Avec les oiseaux nous nous
Jeune homme à la taille tie roseau, Quant à moi, je vais avec toi Aux pays même les plus lointains. A toi j'ai donné ma conf
te est comme un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Proverbes Au pays des aveugles Le chassieux est appelé l’homme aux
'un surveillant ? Ce serait une honte. Nous deviendrions la risée des pays voisins I — Si je ne l’épouse pas, dit le prince,
femme et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voudrions vivre dans ce pays . Où pourrais-je trouver une petite maison et du t
de mûres Que mon cœur l'oublie I Demande au bien-aimé S’il revient au pays . Proverbes La femme est comme un grain d’orge Qui
derais qu'à l'échanger, Mais c’est Dieu qui me l'impose. Je fuirai ce pays Car ma souffrance est à son comble. Encore que ma
e et la majesté du lion, vous que l’on nomme à raison ‹ les belles du pays › ! dit de sa grande voix le lion. Les perdrix pr
eux, La misère se guérit par la résignation. L’adolescent a le mal du pays . Au loin il est amoindri : Que ses frères en exil
ur destin. Mais notre prince maudit n’avait à coeur que le malheur du pays : il sema le mal à longueur de journée et fit cou
u’il était homme. H contraignit ses sujets à fuir la ville et même le pays . Loué soit Dieu mille fois qui nous en a enfin dé
vait englouti. Les orphelines l’habitèrent et firent savoir à tout le pays que Moche-le-Maudit était mort et mort dans les f
il revinrent à leurs maisons et à leurs biens. Et la ville et tout le pays connurent la paix et la prospérité d’antan. Les j
uand on a, comme moi, connu tant de douceur I Je ne préfère pas à mon pays l’exil Cela, mon Dieu, tu le sais bien. Mais les
sultan appela au chevet de son fils tous les docteurs et sorciers du pays . Comme ils défilaient vainement devant le malade,
rprenante beauté. Et les tambours et les flûtes annoncèrent à tout le pays les fiançailles de Cheikh Smain et de la fille la
eikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme, viens me chercher au pays des Indes. › Plus malfaisante que le diable, Sett
le dire ? Car je suis Cheikh Smaïn. — Eh bien, ta fiancée a quitté le pays . Ses frères l’ont emmenée à l’autre bout du monde
eikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme, viens me chercher au pays des Indes. › Le prince revint au palais sans perd
ur, par pluie et vent. Il traversa bien des contrées et entra dans un pays fort désolé. Des têtes coupées, montées sur des p
spérant tour à tour de ce qu’ils découvraient. Ils entrèrent enfin au pays des Indes. Une grande fatigue était dans leurs me
tous les trois, de jour et de nuit, traversant bien des contrées. Un pays riant s’ouvrit un matin devant eux, celui de la j
ikh Smaïn se disait le plus comblé des hommes : il avait retrouvé son pays . Et il vivait parmi des épouses aussi belles que
son père le plus agréablement du monde et à lui conter son voyage au pays des Indes. Blanc de peur et de rage, le sultan l’
que je néglige de taire le bien Pour vivre en prodigue à travers les pays , Et cheminer dans les ténèbres. Aujourd'hui, je c
au sous l’orage. Il vola, il vola longtemps, loin du village, loin du pays de Yamina. Ce n’est que vers la fin de la nuit qu
voici dans le village des Aith Ouerthiran Je m'appelle Othman Et mon pays est dans la plaine. J’ai fendu la grande nappe d'
transfigure-la au regard de chacun. Qu’on aimerait suivre les âmes Au pays où elle s'enfuient. Je marcherais la nuit, le jou
aimés Qui m’ont laissée le cœur blessé. Qui voudrait m'accompagner Au pays où se trouvent les âmes ? Nous irions ù leur rech
n ciel Vers mes enfants bien-aimés. Qu’on aimerait suivre les âmes Au pays où elles s’enfuient. J’irais à travers les deux,
vol et me laissèrent ' Hirondelle, Bats des ailes et hâte^toi Vers le pays où est ma fille. A son côté repose-toi. Appuie la
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ines à la petite princesse toutes les fées qu’on pust trouver dans le pays (il s’en trouva sept), afin que, chacune d’elles
les en furent auſſi priées, car elles faiſoient grande figure dans le pays . Les voilà bien aiſes & bien occupées à choiſ
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