e l'ai conté à des Seigneurs › qui nous indiquait que le conte devait
passer
en nous comme un ruisseau, nous enchantant pour t
e sel. Chant du berceau Et toi, ô Torkia, Petit monceau de fleurs. Tu
passeras
parmi les foules, Les hommes, pour toi, perdront
ta cruche avec cette cupule ? Si tu as du temps de reste, laisse-moi
passer
I Settoute lui répondit : — Comment oses-tu parle
dous. Un jour, le plus jeune des frères se dit à lui-même : — Que se
passe-t
-il ? Depuis que cette servante est là, elle ne fa
re. Je sens l’odeur de l’homme ! Loundja répondit : — Un mendiant est
passé
, ce soir, et je lui ai fait l’aumône, au nom de D
les arrêta. Loundja dit : — O haie de miel et de beurre, laisse-nous
passer
I La haie d'épines s’ouvrit pour les laisser pass
arut. Loundja supplia : — O rivière de miel et de beurre, laisse-nous
passer
! Les eaux de la rivière se retirèrent devant Lou
d’épines elle dit d’une voix furieuse : — Haie d'ordures, laisse-moi
passer
I Les épines se firent plus aiguës, grandirent dé
I Les épines se firent plus aiguës, grandirent démesurément. Tseriel
passa
néanmoins, mais ses pieds furent déchirés et ses
esse. Tseriel lui cria furieusement : — Rivière d’immondices, je veux
passer
I Mais la rivière se mit à gronder de façon menaç
car nous irons, dès l’aurore, laver notre laine à la rivière. Et nous
passerons
à la campagne tout le jour. Nous reviendrons chez
s’attela à moudre un plein couffin de blé. Quand elle eut fini, elle
passa
la farine au tamis. La semoule la plus fine, la p
de légumes et la corbeille de fruits à ses pieds. Le Chevrier vint à
passer
: — Qu'as-tu, mon oncle le Crapaud? demanda-t-il.
vé la patte brisée, dans un piège, au fond d’un ravin? Le Lion vint à
passer
: — Qu’as-tu, Crapaud, à garder les chemins ? — O
chien. Le Lion découragé, s’en alla retrouver le Crapaud. Le Gypaète
passa
: — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud ? — La grâce d
moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous
passera
en beauté. Et la jeune femme se lamentait et maud
moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous
passera
en beauté. Elle mit au monde une fille à la cheve
l'a tué. Il en est de moi, ma mère, Comme d'Ali aux multiples peines.
Passe
une peine, au monde je dis : ‹ Celle-là est la de
étier une belle couverture pour que ses petits aient chaud l’hiver et
passait
-elle ses veillées à tisser. Une nuit, elle crut s
hèrent, ils marchèrent. Ils atteignirent au crépuscule une forêt. Ils
passèrent
la nuit dans un palmier-dattier. Au matin, ils se
i l › Le Cheikh de la Mosquée pouvait seul les entendre, car lui seul
passait
près du puits avant le lever du soleil, à cette h
es sortes de légumes et de fruits. Et des jours, des mois, des années
passèrent
ainsi. Mehend était un beau jeune homme aux yeux
et quelquefois des olives, ainsi qu'une gourde de petit lait. Et ils
passaient
dans les montagnes, tout près du ciel, leurs jour
enant se souvenait encore du petit Hacène?... Bien des années avaient
passé
. La douleur des parents n'était plus aussi vive.
te de chagrin. Le père aveugle ne sortait plus. Mais le coupable, qui
passait
là par hasard, comprit que son crime était découv
’autre. Un peu à l’écart, son lévrier près de lui, Mehend les regarda
passer
. Chaque fois que l’une apparaissait, le sultan de
: — Je reviendrai. Et il pensa : ‹ Quel bonheur ! mon frère est donc
passé
par là. › Plus loin, il rencontra des bergers. Il
— Emmène ta vache et tes veaux I Il leur dit : — Je reviendrai. Et il
passa
. Il atteignait les grands espaces découverts qu’a
is il leur cria : — Je reviendrai ! Il leur fit signe de s’écarter et
passa
. Son cheval l’emportait si vite qu’Ahmed distingu
er joyeusement : — Ta chamelle et tes chamelons t’attendent I Mais il
passa
devant eux comme l’éclair. Il voyagea, il voyagea
aux qui leur faisaient escorte. Lorsque les derniers chevreaux eurent
passé
les portes du village, c’était la nuit. Mon conte
btil courait toujours. Il atteignit à l’aube la rivière mais n’osa la
passer
sans son frère. Il l’attendit et le vit venir por
mon frère et nous nous sommes sauvés. Le père leur dit : — Ce qui est
passé
est passé : je n'aurais jamais pu vous punir comm
et nous nous sommes sauvés. Le père leur dit : — Ce qui est passé est
passé
: je n'aurais jamais pu vous punir comme' Dieu vi
aux yeux bleus A volé tout le sel I Aoulêlam I La soupe au lait I Qui
passe
devant Y trempe la main l Aoulêlam I L'alcôve d’o
de son lit et se précipitait vers la trappe. Elle délivrait l’Ogre et
passait
tout le jour en sa compagnie, car l’Ogre ne regag
accepté la torture O mes amis, me voici maigre. Comme un voleur, j’ai
passé
la porte basse : Mes sandales se sont détachées ;
: l’année a douze mois et chaque mois porte trente jours. Une semaine
passa
. En ramenant le jour de marché, elle ramena le fi
i as dit, lorsque vous vous êtes trouvés devant la rivère : «Fais-moi
passer
la rivière ou je te la ferai passer» : tu voulais
uvés devant la rivère : «Fais-moi passer la rivière ou je te la ferai
passer
» : tu voulais dire : ‹ Indique-moi le gué ou je l
d’autre Dieu qu’Allah.) La mort atteint le menton La vie le fuit, Il
passera
la nuit au tombeau. (Il n’est pas d’autre Dieu qu
t. Elle appela et pleura d'abord en vain. Mais un cavalier vint &
passer
qui revenait d’un marché voisin. Il l'entendit pl
on que nous rencontrerons et nous demanderons qu’on nous permette d’y
passer
la nuit. Mais toi, dès que nous aurons mangé et q
leura. Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un cavalier vint à
passer
qui revenait d’un marché voisin : c’est Dieu qui
hauffait au soleil sur la pente d'une colline, quand un chacal vint à
passer
qui dit au roi des animaux : — O maître, veux-tu
n le chacal qui l’avait trahi. Mais voici qu’un vol de perdrix vint à
passer
au-dessus de sa tête, froufroutant de toutes ses
tte fois ma patience est usée. Ce jour qui luit est le dernier que je
passerai
sous ce toit, si tes filles y demeurent. Le père
et l’éclabousserait de sarcasmes et d’injures. Aurait-il la force de
passer
le seuil de sa maison? Dans la caverne où se trou
Dès la tombée de la nuit, Aïcha se mettait à l’affût et voyait Moche
passer
, majestueux et roux. Il soufflait sur les braises
écouvert une pleine jarre qui avait séché au soleil). Et des semaines
passèrent
ainsi, sans que Moche eût réussi ô faire parler s
in, toute recroquevillée sur elle-même. Le tas de fumier s’effondre !
Passe
le Chevrier, précédé de son troupeau, n voit la P
houlette. Ses chèvres se dispersent et se répandent par les chemins.
Passe
le Porteur d’eau qui revenait de la fontaine entr
a marmite et il a disparu I La source se dessèche. Une brebis vient à
passer
. Elle dit aussi : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Ce que
nant une jeune fille ? lui cria Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est
passée
une femme plus belle que lune en plein ciel. Elle
Et recommande à Cheikh Smaïn de se tenir prêt à m’enlever dès que je
passerai
devant sa maison. La vieille retourna auprès du s
usement au prince : la jeune fille plus belle que lune et que rose va
passer
en voiture devant la porte et tu n’auras qu’à la
n cheval noir. Roundja plus belle que lune et que rose ne tarda pas à
passer
. Cheikh Smaïn s’élança, il la prit dans ses bras,
.. les soirées me semblent bien longues. Demain, ne pourrais-tu venir
passer
la veillée avec moi ? Il y a si longtemps que je
onté à des Seigneurs. Proverbes n a été piqué par les guêpes, Et il a
passé
sa colère sur les criquets. La chose en commun Es
e figuier ne portait pas une seule figue. A l'heure chaude, l'ogresse
passa
. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tseriel,
ant la voix : — Je te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis ! L’œil
passa
de main en main. Et chacun dit : —C’est l’œil de
même du paradis terrestre. Il te suffira de tourner cet anneau que je
passe
à ta main gauche pour que tout ce que tu désires
nnant le jardin au crépuscule. Et des jours, des semaines et des mois
passèrent
ainsi. Dès qu’il faisait nuit noire, une brise lé
ieu est là. Comme aujourd’hui la tristesse nous sera enlevée, L'hiver
passera
tel un vilain songe, Les froids nous quitteront E
is comme l'aigle des montagnes, Sur la roche le plus haut dressée. Il
passe
ses nuits à observer le ciel Espérant découvrir,